Histoire vraie
En rangers, bombers, short lycra court, sac à dos, je descendais un chemin de terre. Dans quelques minutes, du moins je le pensais, débutera mon stage d'essai. J'avais rencontré ce mec (la quarantaine, cheveux ras, bien gaulé à la queue lourde, un accent du sud) sur le net. Il cherchait pour lui et son mec une lope à dispo. Un objet " tu seras un cul, une bite ou rien selon ses envies, m'avait-il prévenu et de poursuivre sur son mail, t'attends pas à de la tendresse de sa part, moi il m'aime, toi tu ne seras rien " ; Je pris mon temps avant de m'engager. Il avait été décidé que je ferais un essai " Tu obéis, t'es bon, on te garde, sinon on te jette avec une bonne trempe ". Après plusieurs échanges, son mec me convoque par sms. " Tu laisses ta bagnole au village, tu viens à pieds (il précisait le plan et la tenue) tu prends ton portable et ta carte d'identité puis le matos que t'as : pinces, plugs, menottes, fouet, collier et poppers ".
Voilà où j'en étais ce soir d'été, sur le bord du chemin. La route du village au chemin avait été dur pour moi, j'aime l'exhib mais en solo. Plusieurs camions avaient klaxonné. Mais le pire avait été une camionnette blanche avec deux beurs à son bord. Ils m'avaient insulté de tapette et me proposaient de sucer leurs bites. J'étais à la fois existé et terrorisé, une voiture arrivant au loin les a fait partir. A l'entrée du chemin, je pris une bonne bouffée de poppers.
Le jeune mec, il avait 22 ans, m'avait dit de me mettre face contre le mur de la grange, main derrière la tête, sac au pied. Pas âme qui vive. Alors que je commençais à croire en un lapin, un sms arrive sur mon portable, " vires ton bombers, recules de deux pas ". Je m'exécute, longue attente, mes pensées se bousculent, mais c'est de ça que j'ai envie, je ne veux pas laisser passer l'occasion. Enfin un bruit, des pas, une main me palpe, me fouille " ça va ? " je reconnais l'accent de la lope. Il a une forte odeur de sueur et de pisse, je trique. " OK mec tu me suis ". Il porte un lycra, un collier, son cul est superbe et ses couilles pendent. Elles sont énormes. Il me fait entrer dans une sorte de cave, un matelas dans un coin, une chaise pour mobilier. " Fous toi à poils, gardes les rangers ". il me palpe le cul, les couilles, les nibs. "C'est bon, tu nous as pas anarqué sur la marchandise, assis sur la chaise " J'entends un léger bourdonnement, il m'attrape les cheveux et me rase la tête, puis le cul et les couilles. " C'est le chef qui a décidé, tu lui diras chef, oui chef ou chef, non chef, s'il te pose une question, sinon tu baisses la tête, mains derrière le dos. Tu ne me touches pas sans qu'il te l'ait ordonné. Files dans la cour, rinces toi au robinet et reviens ". Il me jette une serviette pour m'essuyer, puis me poses un bracelet de cuir à chaque poignet et un collier. Il prend mon sac et avant de partir me sourit " Bonne chance larve, dès que tu entends le verrou tu te mets à genou et tu ouvres grand ta gueule. Fais gaffe le Chef a une gueule d'ange, mais il est très hard ".
Je suis là dans le noir, j'attends. Je prends conscience de ma condition. J'ai peur, mais je veux être à la hauteur. J'ai dû m'assoupir, il y a du bruit dehors. Je tente d'écouter, on dirait des coups et des râles. Le verrou ! je me fous à genou, la gueule ouverte ; la porte s'ouvre, je baisse la tête et vois le bas d'un treillis. Une main me saisi la gueule, un mollard s'écrase au fond de ma bouche. C'est le Chef. Il est bien foutu, a effectivement une gueule d'ange, mais je n'ai pas le temps de le mater plus, une baffe magistrale me fout par terre. Les coups pleuvent, violents, vicieux, sur tout le corps, les couilles, la bite. Puis il me tire les seins. Les larmes me montent aux yeux, mais je veux être à la hauteur. Il me fait sortir. La lope est à genou dans la grande pièce, les couilles sorties et ficelées. Il le dérouille sans ménagement, puis m'ordonne d'approcher. Il prend la tête de la lope et lui file ma bite. Il n'a pas un regard pour moi, je ne suis rien. La séance de suce dure un long moment, il lui travaille en même temps les nibs. Seule ma bite sert. Enfin, il décrète une pause. Il câline sa lope et me fout à genou dans un coin, face au mur. Il vient me foutre la fumée d'une clope dans la figure et m'ordonne d'aller chercher deux bières. J'obéis, puis retourne à ma place. Une autre séance débute pour la lope, ma bite est toujours utilisée. Il morfle, mais semble aimer ça. Enfin, il me file la bite de sa lope, à fond je vais gerber. Il n'est pas content et me travaille les seins hard. Heureusement il n'est pas avare sur le poppers. Une autre pause arrive, je suis remis au coin. La lope m'appelle, je ne bouge pas " Tu obéis à ma lope connard " gueule le Chef. J'arrive à leurs pieds. La lope roule une clope allumée entre ses doigts. Il me file du poppers et joue avec sa clope sur mes nibs. Le Chef est existé. Il me bâillonne, tant je gueule et me tient fort. Après la clope j'ai droit à la cire sur les nibs. La lope subira la bougie sur ses couilles. Pour l'empêcher de gueuler, le Chef me fait mettre ma bite dans sa gueule. Après cette séance hard, j'ai droit à la pisse de la lope et à une clope. Il me pose des questions, sont sympas avec moi. Cela ne dure pas, rapidement ils m'attache à un crochet, les yeux bandés. Ils font l'amour longtemps, puis plus un bruit. Un long moment plus tard, je suis emmené dans ma cellule. Je bande à mort et avant de m'endormir, je me dis que c'est ça ma vie.
A suivre.
Dans le prochain épisode " comment je deviens esclave de ménage, me fais violer et dérouiller au fouet ".
Je cherche jeune maître et maître.
Mat2336
Autres histoires de l'auteur : A la dispo d'un jeune maître et de sa lope