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Ma filiale :
Les quelques conseils d'administration où je " cachetonne " me laissent beaucoup de temps pour gérer ma propre société et le Blockhaus. Cela soulage PH qui en avait pris la direction l'an passé !!
Jona se concentre plus sur le développement physique de mes troupes et le reste quand je m'absente. Je tiens à savoir tout ce qui se passe, planning, formes de mes escorts... car il n'est pas à l'abri d'être appelé à tout moment.
Je descends une semaine à Barcelone voir mon Ernesto et faire avec lui le point sur ma filiale espagnole. Le petit immeuble qu'il avait acquis pour la société est terminé côté restauration. Le hall de réception, son bureau avec son canapé pour les premiers tests, la salle de réunion, les sanitaires très " pratiques " tous sont fonctionnels. L'arrière du bâtiment est occupé par une salle de muscu simple mais complète séparée des bureaux par un grand dressing où foisonnent les prénoms de mes employés. Dans le bureau, la frise des photos d'Escort en maillots ES et Addicted rend aussi bien que la mienne au Blockhaus en Aussiebum. Son appartement qui n'occupait que la moitié de la surface total de l'étage s'est agrandi d'une chambre d'amis. Vu sa taille elle doit certainement faire baisodrome. Ce sont peut-être les 3 murs sur 4 couverts de glaces qui m'y font penser !! Cette impression m'est confirmée quand Ernesto ouvre les murs constitués des grands placards dissimulés, contenant l'un des toys : godes et méga-godes, boules dont les plus grosses doivent bien atteindre les 8cm de diamètre, plugs de moyen à gros, menottes, écarteurs de mâchoires et de rondelles.... Un autre les " facilitateurs " d'intromission : kpotes, gels, poppers, graisse à fist, gants, un troisième les jocks slips et boxer de toutes marques. Il m'en ouvre un 4ème, vide pour mes petites affaires. Mais je ne compte pas dormir ici. Le lit de mon Ernesto sera bien plus chaud !!
Nous faisons un point complet sur ma filiale. Ernesto gère cela parfaitement. Les escorts sont tous demandés et leurs plannings montrent que leurs plages de disponibilités sont occupées sur les mois à venir. Après accord de mon amour, nous contactons les 3 espagnols que Rick avait rencontrés cet été au Portugal où ils officiaient comme escorts et auprès desquels il avait eu la présence d'esprit de prendre les coordonnées en plus des photos.
Deux sont sur Madrid le troisième sur Barcelone. Nous commençons par ce dernier.
Alors qu'il décroche, je lui explique rapidement qui je suis par rapport à Rick et ce pourquoi je souhaiterai qu'on se rencontre.
Juan est un peu dubitatif. Il a du mal à croire qu'avec ma boite il va gagner plus qu'en indépendant. Sans lui demander combien il s'est fait l'été dernier, je lui donne le salaire net de Rick pour cette même période. Le silence qui suit mon annonce me semble prometteur. J'en profite pour ajouter que ce salaire est net des charges sociales, cotisations diverses dont retraite qui lui sont dues par ailleurs.
Là, il me demande si je me fous de sa gueule. Je lui explique alors que nous sommes une société d'escort officielle, et que s'il le désire je peux lui donner le n° de Rick qu'il avait bien connu l'été dernier pour qu'il s'en persuade. Il peut aussi, et cela ne l'engage à rien passer nous voir et je lui donne l'adresse. Comme il n'est pas loin, il accepte de passer en sortant de ses cours.
Il arrive sous les coups des 16h30. Je le reconnais par la photo qu'avait prise Rick. Je me présente comme le boss de Rick et je lui explique que ce dernier m'a raconté leur rencontre et donne quelques détails qui le prouvent. Je lui présente Ernesto le directeur de ma filiale. Ce dernier se retrouve toisé de la tête aux pieds et vu ce qui brille dans l'oeil du candidat, il est trouvé à son goût !
Il accepte de passer dans le bureau. C'est quand il voit le nombre de jeunes mecs sur les photos de la frise qu'il prend conscience de notre sérieux. Il ne peut s'empêcher de nous demander si tous ces mecs font partie de notre écurie. Il les mate toutes et je vois ses yeux s'écarquiller deux fois. Vu qu'ils sont tous en maillots de bains et le sexe et demi érection, c'est surement parce qu'il les a reconnu.
Quand je le lui demande, il confirme mon impression et me montre deux escorts en me disant que l'un il l'a rencontré en boite et que c'était un méchant bon coup, quand à l'autre il est simplement dans son année d'école d'architecture. On apprend là son occupation actuelle.
Il nous dit comprendre mieux l'élévation du niveau de vie de son collègue depuis un an !!
Je lui dis que puisque le coté sexuel de la profession lui est connu et que selon nos sources, il donne satisfaction, j'embraye sur la partie soft : l'escort proprement dit. C'est finalement sur ce sujet que je dois le plus argumenter. Jusque-là, il faisait ce genre de " travail " principalement hors du pays où auprès d'étrangers dragués en boite. Ce n'est pas que son homosexualité soit au placard mais il ne s'affichait pas dans la partie qu'il tarifait.
Ernesto l'assure que dans le milieu de notre clientèle, les jeunes qu'il sera amené à côtoyer seront dans la même situation que lui où utilisateur de leurs services. Donc pas de craintes à avoir. Pour preuve les deux mecs qu'ils avaient reconnu et dont il ne savait pas qu'ils travaillaient pour nous depuis plus d'un an pour son collègue et 2 pour l'autre.
C'est ce dernier argument qui le convainc puisqu'assez proche du premier il n'en avait rien su.
Ernesto lui explique les subtilités du contrat en catalan dans le texte ce que je ne saurais faire, lui précisant les retenues sur salaire, la marge nette de la société et donc le pourcentage qui fera son salaire. Il ajoute que tous les frais inhérents à ce type de travail sont pris en charge, garde-robe, frais de transports (location de véhicule, billets d'avion en première....), ces derniers étaient intégralement refacturés au client.
Le mec hallucine et nous dévoile combien il s'était fait pour 4 semaines de location de son cul l'été dernier, soit moitié moins que Rick en 15 jours !!
Il demande direct où il doit signer.
J'interviens et là je lui donne nos exigences : santé, sobriété, obligation d'être au top de sa forme physique donc muscu, épilation quasi intégrale et autres joyeusetés dont le respect des contrats et le fait que pendant ces derniers, sauf demande du client, il ne doit pas se laisser aller à baiser avec d'autres. Ça va sans dire mais encore mieux en le précisant !
Il est ok vu qu'avec nous il ne sera plus obligé de travailler autant. Comme il me demande quand il commence, je lui explique qu'il lui reste deux points à vérifier : son physique avec ses capacités sexuelles et sa santé. Pour cette dernière, analyses au labo en sortant d'ici et pour le premier point qu'il se mette à poil.
Sans fausse pudeur il quitte jeans et polo. Bon point pour lui il nous apparait en slip ES, bien gonflé d'ailleurs ! Il tourne sur lui-même, bon pas trop de poils à faire partir. Il nous dit s'épiler le torse et les jambes. Il ne lui reste à faire que les aisselles et le pubis. Il quitte son slip, effectivement sa bite se développe aussitôt et nous montre qu'elle fait dans les 21x5 un peu désavantagés par les poils autours. Il ne fait aucune difficulté pour aller raser ça immédiatement. Nous l'accompagnons. Mousse, rasoir et il laisse juste un trait de 5mm de sa bite à son nombril, moi ça me va !
On peut voir maintenant qu'il a de belles grosses couilles qui pendent gentiment sous sa queue. Pour les aisselles c'est crème épilatoire. Le temps qu'elle fasse son effet, les bras écartés, il arrive, des dents, à baisser mon zip pour atteindre ma queue. Tel Zébulon dans le manège enchanté, elle sort et se dresse bien droite devant sa tête. Là il n'hésite pas et m'embouche d'un seul trait jusque dans sa gorge. Pour me montrer ses talents, il me garde bien au chaud dans sa gorge plus d'une minute !! Faudra voir s'il réitère cet exploit avec les 24cm d'Ernesto.
C'est fait dans les minutes qui suivent. Il en est capable !!
Passage sous la douche et il ressort typé Escort maison. Ses mains interviennent et il s'occupe de nous deux en même temps. Je me penche et ma main suit sa colonne vertébrale pour se faufiler entre ses deux fesses et atteindre sa rosette. Du doigt je vérifie sa tonicité et sa résistance à la pénétration. Bon tonus musculaire ! Je lui dis de se détendre et après avoir craché dans son sillon, me sert de ma salive pour lui enfiler un puis rapidement 2 doigts. Je lui donne une kpote et avec dextérité (et sa bouche surtout) il me recouvre la bite. Ernesto me remplace comme sourdine et moi j'en fait le tour pour l'enculer. Comme ce n'est pas un novice, j'y vais franchement, un peu trop d'ailleurs et heureusement que le grand d'Ernesto lui bouchait la gorge sinon les passants auraient appelé les pompiers !!
Une fois installé ça va mieux !! Il respire fort et me dit de tester. Je me fais plaisir quelques 15 mn puis passe le relais à Ernesto, oui, on travaille là !! Il me réclame un peu de poppers et alors qu'il sniffe de sa deuxième narine, Ernesto l'engage ! Du coup il en respire une sacrée quantité sous la pression des 24cm de chair raide ! Ça l'aide et il encaisse ! Avec mon gland je mets une sourdine dans sa gorge et ce n'est pas inutile quand Ernesto porte l'estocade en collant ses couilles aux siennes.
Nous travaillons jusqu'à juter, Ernesto dans sa kpote, enfoui au plus profond de notre candidat et moi sur ses cheveux coupés mode. Lui jute sur le sol sans avoir eu besoin de se toucher.
Il nous demande si la partie " physique " reçoit notre accessit. On lui confirme que c'est le cas. Il ne nous manque que les résultats des analyses qui seront parfaites quelques jours plus tard.
Les deux autres nous font faire le voyage à la capitale. Ernesto retient une chambre dans un appart hôtel. Elle dispose d'une partie salon/bureau et d'un bar avec cafetière et bouilloire. Comme pour Juan, nous contactons Alvaro et Ignacio par téléphone et nous usons des mêmes arguments pour les convaincre. En fait c'est plus facile car Juan leur avait déjà raconté ce qui lui était arrivé (bien qu'il ne sache pas que nous allions contacter ses collègues).
Pour gagner du temps nous les convoquons le lendemain à la même heure.
La soirée se passe entre restaurant, bars branchés où nous nous faisons draguer et, à l'hôtel, baise torride entre nous deux.
Lendemain 15h.
Nos deux contacts arrivent ensemble. Les présentations sont rapides, et nous notons les études de chacun. Alvaro est en 2ème année de Fac de Biologie et Ignacio en première d'école d'ingénieur informatique.
Alvaro tient du Celte, c'est un espagnol blond, d'1m85 aux yeux verts et à la peau claire mais bronzé. Ignacio est plus petit, 1m75 et noir de poil.
Après une explication de la société des avantages et des obligations, ils nous surprennent en se mettant à poil avant même que nous leur ayons demandé.
Rien à redire, sur les conseils de Juan, ils avaient pris les devants et passés la soirée de la veille à épiler et raser toutes leurs pilosités hors un point rond et ras au-dessus de leurs verges. Alvaro sourit et nous dit avoir eu quand même un peu de travail sur Ignacio ! Comme ils bandent, pas de problème pour mesurer leurs équipements. Le celte nous met à disposition une bite de 20x5, bien droite avec un beau gland rose vif débordant qui retient son prépuce, quant au petit brun, c'est un engin de 19x6 qui l'équipe. Coté rondelles, les deux se penchent devant nous et écartent leurs fesses, on devine qu'elles ne sont pas vierges mais elles ne présentent pas de déformations importantes. Je les questionne sur le sujet et ils nous disent qu'ils sont Recto/Verso et Verso principalement dans leurs activités tarifées. Pas de pratique du fist non plus.
Contrairement à la clientèle de ma société française, l'Espagnole ne se distingue pas par des sexes de gros formats. Mais cela ne m'empêche pas de préciser notre exigence de renforcement de ce muscle particulier et particulièrement sollicité.
Comme ils sont en position, je m'enfile le petit brun quand Ernesto encule le Celte.
Je ressens une bonne résistance à la pression que je mets puis tout au long de ma pénétration que son boyau me colle bien. Ça me rassure car sans connaitre son parcours, ce n'était pas évident de l'estimer.
Je questionne Ernesto qui me dit que le sien est bien musclé (entendez par là sa rondelle). Les deux jeunes se donnent bien et d'eux même propose des changements de position. Nous sommes même étonné quand le Celte (le surnom va lui rester !) me demande de l'enculer en chandelle et qu'il se courbe suffisamment pour s'auto-fellationner.
Bien élevés, ils attendent que nous jouissions pour, à leur tour, se permettre d'éjaculer.
On fait un rapide débriefing. Ils sont acceptés sous réserve des bons résultats de leurs analyses médicales. Comme ils ne pourront bénéficier des installations de musculation Barcelonaises, avec Ernesto nous leur trouvons une salle de sport entre leurs deux logements et prenons même contact avec le gérant et coach principal pour discuter un peu des services qu'il peut nous apporter, enfin à mes deux recrues.
En plus d'être un canon méchamment tanké, il a fait en sorte que son club soit gayfriendly. Quand nous visitons les installations, il est vrai que nous nous faisons mater sérieusement. J'ai même droit à des propositions explicites quand je m'aventure dans les vestiaires !!
Ce qui fait plaisir c'est que c'est un mec de mon âge qui me propose une douche commune et que lui aussi joue dans la cour des grands coté muscles.
La semaine suivante, les trois nouveaux commençaient à prestater pour nous.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!