Introduction
" Voilà notre nouvelle maison "
C'est ces mots que mon père prononça lorsque nous descendîmes de la voiture par cet après-midi ensoleillée. Il s'agissait d'une maison de campagne récemment rénovée, tout en longueur. Elle était au fin fond du village dans laquelle ma famille venait d'élire domicile. Le jardin était plutôt grand et il longeait la forêt du coin, autant dire que nous n'étions pas dérangés par les voisins ! Ma première impression fut de me demander ce que nous venions faire dans ce trou perdu, je venais d'avoir dix-huit ans et j'aspirai plutôt à sortir et à être proche d'une ville et non pas à m'enterrer dans la campagne. Et ce d'autant plus que mon slip était régulièrement en feu ! Je ne le savais pas encore mais j'allais non seulement perdre mon pucelage dans cette campagne-là mais aussi explorer tout un tas de chose plus bandante les unes que les autres.
Mais, il est temps que je me présente, Laurent, grand (1m90) mais un peu gauche parfois, des cheveux bruns et cours, des yeux bleus et pourvu d'une silhouette plutôt athlétique car je faisais de l'escalade et du vélo. Outre mes parents, je vivais avec mon petit frère, de 3 ans mon cadet et par intermittence une grande soeur (2 ans de plus que moi) qui ne revenait que certains week-ends car elle faisait ses études à 200 km de là.
C'est au cours de cet été que je commençais à découvrir et explorer le sexe. Peut-être deux semaines après notre installation je pu récupérer de mon père son ordinateur portable qui ne lui servait plus tellement il boguait. J'en profitait pour écraser totalement le disque dur et installer dessus une version de linux qui me permettait de surfer sur internet. Au début, il me servit surtout à regarder des films et des séries dessus mais très vite, il fut ma porte d'entrée vers les vidéos hots, les chats et sites gay. Je passais presque un mois à m'exhiber sur internet chaque nuit. J'allumais ma webcam, me connectait à un site gay. Je prenais plaisir à montrer mon torse imberbe, ma queue et à me branler. J'adorais recevoir des commentaires salaces des autres internet, cela me faisait bander davantage et me faisait prendre conscience de mon côté " salope ". Mais je n'osais pas aller plus loin.
Puis, un jour, j'appris sur internet que le bois que longeait notre maison était un lieu de drague connu dans la région avec des hétéros mais aussi un " public " gay si on allait du bon côté du bois ! Ma queue se dressa dans mon slip. Bien sûr, ce n'était pas juste derrière la maison, il fallait s'enfoncer assez loin mais je pensais pouvoir y aller facilement.
Pendant trois jours, je ne pensais plus qu'à cela, comment m'y rendre discrètement et enfin découvrir pour de vrai le sexe entre homme, pouvoir caresser, embrasser, sucer et même plus ! Faisant du vélo, je prétextais de faire des balades pour explorer de jour la forêt afin faire du repérage. Je ne vis personne hormis quelques promeneurs du dimanche mais il est vrai que je n'osais pas m'enfoncer trop loin dans les bois. Je repérais néanmoins l'endroit où il était indiqué que cela draguait le plus. Je savais comment y aller à pied puis il ne restait plus qu'à s'enfoncer dans les fourrés. Au bout du quatrième jour, je fis le chemin à pied et trouva l'endroit où il devait y avoir de l'action.
L'endroit était plutôt propre (bonne nouvelle) mais je n'eus la confirmation que c'était bien là que lorsque je trouvai un mouchoir qui sentait le sperme (le seul reste des aventures nocturnes). C'était la première fois que je voyais ou sentait du sperme qui n'était pas le mien. Mon sexe se dressa aussitôt, je sorti ma queue et me branla vigoureusement. Même si je n'hésitais à montrer mon sexe, bien à l'abri derrière un écran, j'étais plutôt pudique et timide dans la réalité mais là je ne réfléchis pas et me masturbai sans me préoccuper de qui pouvait regarder. Je m'imaginais dans tout un tas de scénario puis je finis par jouir. Sur le mouchoir que je venais de récupérer. Réalisant ce que je venais de faire, je regardai autour de moi. Personne. Déçu et soulagé à la fois, je parti.
En partant du fourré, je croisai à quelques mètres deux hommes et une femme, le premier, la soixantaine bedonnante et le second dans les 35-40 ans, plutôt beau gosse mais à la mine sévère. La femme avait également aussi la quarantaine. Ils me firent un signe de tête. Savaient-ils ce que je venais de faire ? Se dirigeaient-ils vers ces fourrés pour les mêmes raisons que là ? Ou était-ce simplement des promeneurs ? Je rougis comme une pivoine et rentrai rapidement chez moi non sans avoir jeter le mouchoir suintant de plaisir masculin à la poubelle du parking proche en passant.
Il devenait urgent que je perdre ma virginité. Et cela n'allait pas tarder...
01 - Première fellation dans les bois.
Après une nouvelle journée d'hésitation, je décidai enfin à explorer de nouveau les bois. C'était relativement facile pour moi de m'absenter car j'avais souvent des activités à l'extérieur de la maison. Il faisait chaud, je ne portais donc, en plus de mes tennis, qu'un short noir qui m'arrivait au-dessus des genoux et un t-shirt bleu. J'avais longtemps hésiter mais avais fini par ne pas mettre de sous-vêtement ; cela me ressemblait pas mais c'était excitant. D'ailleurs, à fur et à mesure que je m'enfonçai dans les bois et que j'imaginai des situations aussi érotiques qu'extravagante, mon sexe commença à durcir et à se dresser.
J'arrivai enfin dans la zone des plaisirs. Au détour d'un fourré, je croisai mes premiers épicuriens mais je ne m'attardai pas : des hétéros, une femme dans la quarantaine en train de se faire lécher le minou par un jeune. Je continuai plus loin, vers l'endroit où l'on trouvait ce que je cherchai, des hommes ayant soif d'autres hommes (et de leurs queues). J'aperçut de loin quelques hommes déambuler, fixant avec insistance d'autres hommes. Parfois, des couples ou plus se suivaient et s'éclipsaient dans des endroits plus reculés. Pas ou peu de mots semblaient échangés et cette communication non verbale semblait les satisfaire. Au bout de quelques minutes, alors que je me demandai comment m'y prendre, je vis un homme adossé contre un arbre qui me tapa dans l'oeil. Bien bâti, les muscles développés comme je les aime, entre trente-cinq et quarante ans. Les cheveux châtains et court, un beau visage sévère, signe d'un homme habitué à commander, il se frottait l'entrejambe tout en me fixant. L'invitation était clair et je m'approchai donc vers lui. Son short lui arrivait aux genoux, la braguette ouverte laissait entrevoir son boxer gris. Son marcel mettait en évidence ses muscles. Pendant que j'approchais, je senti son regard inquisiteur me scanner, me jauger. A peine arriver à lui et avant que je puisse dire le moindre mot, ses mains me firent mettre à genoux. J'ai compris, pas de parlotte, heureusement, je voulais sucer et c'est ce qu'il attendait de moi. Il pressa ma tête contre son entrejambe. Je sentis derrière le tissu son pénis en train de durcir et j'en conçut un vif plaisir. Il ne tarda pas à baisser son short et son boxer et à me présenter sa queue. Jamais je n'avais admiré et sentir de si près le sexe d'un autre homme. Une épaisse barre d'au moins 19 cm de long prête à prendre possession de ma bouche. Devant mon hésitation, il prononça ses premiers mots
" Satisfait-là, tu es là pour ça ! "
Un ordre donné par une voix dominatrice que me fit triquer davantage que je n'aurais cru possible. Mes lèvres approchèrent de cet obélisque de chair et l'embrassèrent. Sur le gland puis sur tout le long jusqu'aux couilles puis je remontai en laissant courir ma langue dessus comme si je léchais la meilleure glace du monde (d'ailleurs, c'était bien meilleure qu'une glace !). Ma langue découvrit le gland de nouveau puis j'ouvris grand la bouche et entreprit de l'absorber. Ce n'était pas aussi simple que dans les films. Je ne pus avaler qu'une petite partie pour commencer mais langue s'activait déjà à la sucer, la lécher. Je ne savais pas si c'était ce qu'il fallait faire mais l'homme gémit de plaisir alors je continuai et tenter d'avaler une plus grande partie de cette trique. J'eu l'impressions que mes mâchoires se déboitaient et je sus que je ne pourrais pas l'avaler en entier, du moins pas maintenant ; cela serait pour un autre jour les gorges profondes ! Pendant une dizaine de minutes je vénérais cette queue, ses mains ne quittèrent jamais ma tête comme pour me guider et me maintenir en place.
" Regarde-moi "
Je levai les yeux vers lui tout en gardant en bouche son monument de plaisir.
" Tu aimes ça, hein ? "
Je ne puis qu'acquiescer tout en gémissant.
" Tu vas me faire jouir salope ! "
Ses mains m'écartèrent de l'objet de mon désir et me relèvent. Là, il m'ordonna sèchement de me déshabiller. Moi d'ordinaire si timide, n'hésitait pas une seule seconde devant cet ordre. Je ne gardai que mes chaussures. Il sourit en découvrant que je ne portai pas de sous-vêtement et ma queue dressée avec ses quelques gouttes de mouilles sur mon gland. Il me caressa longuement mon torse, me plaqua contre lui et caressa mes fesses, me faisant gémir. Mais il ne toucha pas à ma queue. Il du sentir que cela me ferait jouir prématurément. Il m'embrassa dans le coup puis il me glissa à l'oreille
" Comme ça, ton public pourra voir à quel point tu aimes ça ! "
Bref moment de panique pendant que ses mains puissantes me guidèrent de nouveau vers son engin. Je pu apercevoir du coin de l'oeil d'autres mecs que nous mataient, au moins deux, peut-être trois. J'étais tellement excité et pris par le plaisir que je ne m'en formalisai pas alors qu'en temps normal, j'aurai été mortifié de me retrouver à poil devant des inconnus et qui plus est dans une telle position. Je continuai néanmoins à m'occuper de la bite de ce bel homme. Il poussa un râle puis ce fut la délivrance, de puissants jets de semence masculine jaillirent de sa queue. Deux allèrent sur ma joue et mon front, un peu dans les cheveux, un alla s'écraser derrière moi. Il essuyait sa queue contre mon autre joue, remballa le matériel et partir quasiment sans autre forme de procès, me gratifiant à peine d'un " tchao, il faudra qu'on remette ça "
J'étais nu, la langue pendante, bandai comme un taureau avec du sperme qui me repeignait le visage au milieu de trois mecs (tous plus âgés que moi), au regard lubrique et concupiscant qui me détaillaient comme de la viande fraîche dans une boucherie.
Moment de flottement où je pu détailler ces voyeurs. Le plus jeune devait avoir quarante-cinq, un peu bedonnant et sa queue dans la main. Le suivant avait un peu plus, je dirais une bonne cinquantaine. Une barbe d'une semaine, le corps sec et une bite modeste mais dur comme du bois. Je le sais car il ne tarda pas à me la présenter en me disant " suce ! ". Et moi comme un jeune chiot, je la gobai. Le dernier, un métis, avait une soixantaine bien sonné et un sexe plus imposant.
Pendant que je suçai ma deuxième queue, les deux autres voyeurs se rapprochèrent de moi et m'entourèrent comme des requins. Cette queue était plus petite et je pu l'avaler entièrement (ou alors ma mâchoire s'était suffisamment échauffée) pour le plus grand plaisir de son propriétaire du moins à en juger par les râles de plaisir. Ces hommes devaient s'être bien exciter et branler en nous regardant car cela ne dura moins longtemps qu'avec mon premier. Au bout de cinq minutes, celui qui était derrière moi - le quarantenaire - jouit et m'éjacula dessus, je pu sentir des gouttes chaudes sur mon dos. Il ne tarda pas être suivit par celui que je suçais qui se rependit sur une de mes épaules. Ils ne tardèrent pas à partir. Bientôt, seul resta le magrébin. Il me présenta son sexe que je suçai. Il bandait moins dur que mon premier mais son sexe était beaucoup plus long et assez épais (aucune chance que j'arrive à le gober entièrement celui-là). Je m'appliquai à lui donner du plaisir, je ne le trouvai pas spécialement beau mais quelque chose dans son regard m'incitait à croire qu'il s'agissait un pervers dominateur, comme ceux que j'imaginai depuis longtemps lorsque je me branlai. Il jouit aussi et son jus allas inonder contre mon torse.
Encore haletant, il me fit relever
" Il faut penser à ton plaisir aussi ! "
Je dis seulement " merci ". Ses mains caressèrent voluptueusement mon torse et mon dos, étalant le sperme comme s'il s'agissait de crème solaire !
" Tu suces très bien !
- Merci, c'était la première fois "
Il ne dit rien mais je vis son regard surpris, cela mon gonfla de fierté et d'orgueil
" Et bien continu comme ça "
Il me dit de tendre les bras et de me tenir à un arbre tout en me cambrant légèrement. Sa main droite me masturbait pendant que sa gauche caressait mes fesses. J'étais tellement excité que je ne tenu pas longtemps et l'orgasme vient, immense vague libératrice. Je criai même un " Oh ! Oui ! " pendant que mon sperme alla s'écraser contre l'arbre.
Une fois l'excitation passée, je réalisai ce qui venait de se passer. Je rougis constatant que cet homme, un parfait inconnu, tenait toujours mon sexe dans sa main et que mes fesses se faisait toujours malaxées. Il arrêtât, me félicita encore et partit. Plus que satisfait, je sorti un mouchoir pour m'essuyer au maximum, me rhabilla. Il fallait maintenant que je rentre sans croiser personne de ma famille (à l'odeur, ils me grilleront tout de suite) et que je prenne une douche. Il ne devait pas être trop tard. Mes parents seraient encore au travail et mon petit frère sans doute dans sa chambre en train de jouer en ligne (ou peut être en train de mater un porno qui sait !). Tout content, je rentrai à la maison, bien décidé à faire des nouvelles expériences le plus tôt possible !
Soumi débutant
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