Premier épisode
Chapitre 2 : Snapchat
Après une soirée bien trop arrosée, une gueule de bois mémorable et une engueulade avec un bon nombre de mes potes, je n'étais plus trop d'humeur à parler, surtout que je savais que je n'aurais jamais le courage d'entamer une relation avec une personne rencontrée sur Tinder et que l'idée de plan cul me faisait peur autant qu'elle me faisait bander. Je pris donc la décision de supprimer l'application en question. Mes autres matchs, je m'en foutais un peu mais je faisais mon possible pour ne pas les vexer ou les blesser. Mais Martin... lui je ne pouvais pas le laisser partir. Je ne pensais qu'à lui, à chaque instant.
Je supprimai donc toutes mes affinités sauf lui et je lui envoyai un dernier message. Je lui expliquais ma situation, que je n'étais plus d'humeur, que je n'étais pas prêt pour quelque chose de concret mais que s'il voulait que nous gardions contact, il n'avait qu'à m'ajouter sur Snapchat ou prendre mon numéro. Et je lui laissai mes coordonnées. Et j'attendis. J'attendis jusqu'à ce que je reçoive un sms, un simple " hey " d'un numéro inconnu. Ce ne pouvait être que lui. Je désinstallai Tinder et lui répondit. Nous discutâmes, échangeant des banalités, je lui expliquai mes problèmes - très vite fait pour ne pas le saouler - et j'apprenais, entre autre, qu'il avait une soeur et un frère, où il vivait précisément et que sa famille était basque. De mon côté, je lui disais que je n'avais emménagé à Toulouse que récemment et je partageai avec lui d'autres petits détails insignifiants sur ma vie.
Nous avons finalement reparlé de sa " proposition ". Il s'est excusé. Je lui ai dit que ce n'était rien mais que je devrais me préparer si je voulais qu'un jour, nous nous rencontrions en vrai. Alors je commençais à lui poser quelques questions indiscrètes sur la taille de son membre, ses fantasmes, son type d'hommes... Finalement, il proposa en plaisantant à moitié de passer sur Snap pour échanger des nudes. C'est ce que nous fîmes.
Il m'envoyait d'abord une photo de sa bite où on ne pouvait voir son visage. Je reproduisis le cadre dans ma salle de bain.
Il était grand et beau. Il avait un corps athlétique, un torse couvert d'une très fine toison de poils noirs, de la même couleur que sa barbe. Sous son pubis épilé se dressait fièrement son gros chibre de vingt-trois centimètres que j'étais destiné à me prendre dans le cul.
Nous nous complimentions au même rythme que nous nous envoyions plus de photos de nous. Il disait que mon corps lui faisait envie. N'y tenant plus, je retournai dans ma chambre et commençait à me branler tandis que nous parlions. Il demanda à voir mes fesses. Je lui envoyai une première photo de mon cul.
Il ne demanda plus rien. Alors je lui dis que je voulais continuer, que je pouvais lui montrer plus. Il accepta sans trop d'hésitation et je lui envoyai une nouvelle photo de mes fesses mes cette fois, j'écartais les largement les cuisses pour qu'il puisse voir mon trou humide et cerné de poils noirs. Il répondit :
" Tu te doigtes ? "
Je lui dis que oui. Ce n'était pas encore vrai mais j'en avais envie. Avant de commencer, je rassemblai tous les objets plus ou moins cylindriques que je trouvais dans ma chambre et je ramenai de la cuisine un peu d'huile d'olive bio qui ferait office de lubrifiant.
" Tu veux voir ? ajoutais-je "
À l'aide de la camera de mon ordinateur, je prenais des photos de moi au fur et à mesure que je m'insérai un, deux puis trois doigts dans l'anus.
Je lui envoyai les photos une par une pour faire monter la température lentement. Il me répondit avec des photos de sa bite qu'il astiquait vigoureusement.
Il me demanda de mettre plus que trois doigts dans mon cul. Mon poignet ne pouvant se contorsionner davantage, je pris une bouteille mais le goulot était trop court et je ne la gardai pas longtemps en moi. À la place, je trouvais un vase inutilisé que je nettoyais et enduisait généreusement d'huile tout en me branlant. C'était un vase au goulot étroit mais qui allait en s'évasant jusqu'à atteindre huit centimètres de diamètres. À l'extérieures, de petites bosses donnaient l'impression que ses bords étaient perlés de gouttelettes d'eau... et lui donnaient également des airs de gode.
Petit à petit, et sous ses yeux - car je lui envoyais toujours des photos - j'insérai le vase dans mes fesses écartées et noyées sous le lubrifiant. Il rentra en moi comme dans du beurre et je me retrouvai très vite avec un anus dilaté.
Je commençais alors des mouvements de va-et-vient. De temps en temps, je sortais complètement l'objet pour le réinsérer aussitôt et sans ménagement pour mes pauvres fesses, sans savoir que je le regretterais le lendemain. La sensation que me procurait le mouvement de ce vase en moi est indescriptible mais je bandais comme je n'avais jamais bandé auparavant et je n'avais même pas besoin de toucher ma bite de vingt centimètres.
Je demandai alors à Martin de me parler, de m'écrire comment est-ce qu'il voulait me prendre, comment est-ce qu'il m'attraperait et me baiserait.
Il me décrivit en détail la façon dont il voulait m'embrasser tout en me caressant pour descendre lentement jusqu'à mon anus, comment il le couvrirait de gel pour pouvoir y mettre un, puis deux, puis trois doigts et pourquoi pas sa main entière, comment il me ferait suer, comment il m'ouvrirait pour pouvoir entrer doucement sa grosse pine dans mon cul serré. Il accompagnait son récit d'une photo du sperme qui couvrait son torse : il avait jouis.
De mon côté, le téléphone dans une main pour lire ses messages, mon gode improvisé dans l'autre pour continuer à me pénétrer, je trouvai ma prostate que je titillai. Je lâchai immédiatement je téléphone pour aller astiquer ma bite et chatouiller mon gland de ma main libre. Ce ne fut plus très long. Mon sperme jaillit brusquement et vint m'éclabousser le visage sans que je m'y attende.
J'envoyais alors une dernière photo à Martin avant d'aller prendre une douche, pour lui souhaiter bonne nuit : le liquide blanc de ma semence coulant sur mon visage jusqu'à ma bouche. Et j'avalai.
Alex
Autres histoires de l'auteur : Dépucelé par un Match Tinder