Après plusieurs mois intensif d'entraînement à l'armée, à 19ans, j'étais au top de ma forme: 1m82, 75kg, musclé sec, 17x5, un sexe pas super long, mais épais, bien dur et qui pouvait rester au garde-à-vous sans problème entre deux coups. On me disait beau mec, châtain aux yeux verts, qui me permettait de draguer les filles et, en moins grand nombre, quelques mecs.
Car oui, si j'étais principalement hétéro, en bon accroc du sexe, j'appréciais aussi quelques expériences gay. Et pendant mon armée, si je n'ai pas eu beaucoup d'expériences avec d'autres camarades, l'uniforme m'a quand même servi à la réalisation d'un fantasme...
C'était un jour de permission que j'avais réussi à obtenir, où j'étais sur le chemin du retour, donc pour une fois tout seul, en habit militaire. Notre caserne était loin de tout et je devais prendre trois trains différents pour arriver sur place. De peur d'être en retard, j'avais pris un créneau plus tôt et m'était retrouvé à devoir attendre bêtement une correspondance 1h30 plus tard dans une petite gare de village...
Je m'étais dirigé aux toilettes de la gare, initialement pour pisser, puis, une fois la porte ouverte et la vue d'un mec de dos, je commençai à m'imaginer un improbable scénario...
Ce dernier, en combinaison orange de travail, faisait une tête de plus que moi. Au bruit qu'il faisait pour pisser, c'était du gros tuyau, d'ailleurs, à ce que j'en avais aperçu discrètement, c'était le cas. En plus, il avait l'air pas mal. Ca commençait à m'exciter et après avoir pissé, rien que de me tenir la queue, je commençais à bander.
Malheureusement, il termina, se lava les mains et s'en alla. En ouvrant la porte, il faillit shooter un autre mec qui allait rentrer dans les toilettes, mais n'y prêta presque pas attention.
Ce nouveau-venu était un rouquin, quelques centimètres en moins que moi, très fin (disons maigre), environ 25-30 ans, en habits de sport, un visage sympa, sans être un canon de beauté. Sitôt qu'il me vit, il baissa un peu la tête et se dirigea vers les urinoirs.
Il s'était mis un peu de côté, ne me laissant pas voir grand-chose, et n'osait pas trop me regarder. Pourtant, à chaque fois que je le mâtais, il tournait vite la tête. Je compris que quelque chose pourrait se passer, mais qu'il était très timide ou ne voulait pas avouer ses penchants.
Tout ça commençait à m'exciter et, dans un coin perdu où personne me connaissait, je me laissais aller. J'attendis qu'il finisse de pisser, puis reculai un peu en me branlant. Il resta figé quand il me vit.
Il eut suffisamment de culot pour s'approcher et me toucher le sexe, puis hésitant un peu avant de l'attraper et le branler une ou deux fois, provoquant quelques décharges de chaleur. Jusqu'au moment où il enleva subitement sa main et se dirigea vers la sortie, me laissant là, en début d'excitation complète, comme un con.
Par réflexe, je lui sortis "Hé, tu pourrais finir ce que tu as commencé!", sans idée très élaborée derrière la tête, juste de la frustration. Après s'être arrêté, il me répondit en se fichant presque de moi: "C'est un ordre?".
La queue toujours à l'air, j'observais ce rouquin, yeux bleus, un peu plus vieux que moi, une bosse dans son jogging, en train de me mater et qui était passé de la timidité au foutage. Cela provoqua en moi un mélange d'envie, d'excitation et, l'uniforme aidant, d'agressivité. J'avais déjà fantasmé sur du SM, mais quand c'était avec un mec, je rêvais presque toujours d'être le passif... Mais pourquoi pas faire ce que j'aurais toujours rêvé qu'on me fasse... à l'envers?
Toujours immobile, son mini-sourire qui me narguait s'estompa quand je me rapprochai de lui. Je lui dis un "Tu te fous de ma gueule?" puis, sans réfléchir que ça aurait pu mal tourner, je l'attrapai par le col et le tirai violemment vers une des deux cabines des WC, en le faisant pivoter. Le gars m'apparut super léger, décolla presque du sol et faillit se casser la figure. Il poussa un mini-cri mais ne dit rien, pas plus qu'il se débattit, me convainquant que c'est ce qu'il espérait...
La porte fermée, ma queue toujours hors de ma braguette, je lâchai son col et lui ordonnai de me sucer. Presque sans hésiter, il se baissa et prit ma queue dans la bouche, je mis ma main derrière sa tête et lui enfonçait profondément, il se dégagea d'un coup sec.
Je l'attrapais à nouveau par le col et le remontait, m'aidant de la paroi pour le décoller du sol. Pour être honnête, je devais un peu forcer pour y arriver car malgré tout, il pesait son poids, mais j'avais plus de force que mon physique pouvait le laissait penser, et j'avais envie de lui montrer qui était le chef.
- Ecoute petite pute, si tu veux ressortir d'ici entier, t'a intérêt à m'obéir!
Ce n'était pas mon style d'être agressif de la sorte, ni vulgaire, mais là, j'étais dans un autre monde... Son regard à lui alternait entre soumission et résistance, ce qui me plaisait bien.
A travers son jogging, j'attrapais ensuite son paquet de ma main droite. Le con! Il semblait qu'il était bien membré, plus que moi. J'aurais bien voulu être dans l'autre sens, me faire prendre, mais qu'importe, cette fois, c'était moi qui donnerait les ordres.
Je descendais brutalement son jogging, confirmant mes impressions : un sexe dont je ne savais pas s'il bandait à fond ou pas, car dirigé vers le bas, mais environ 20 cm pour 4cm de large, sa queue était très blanche, des poils roux frisés mais assez court au-dessus, le tout terminé par un gland, rouge, plus large que sa queue et circoncis.
Ce qui me plut le plus était ses boules: énormes, pendantes. Je les prenais dans la main et les serrai, il s'inquiéta et commença à pousser un gémissement. J'appuyais un peu plus, il essaya de dégager ma main.
Maintenant ma prise sur ses testicules, je lui mis une main sur la bouche:
- Un cri et tu les perds! Suce-moi maintenant et salive bien si tu veux qu'elle glisse après.
Là, je sentis poindre une once de panique, ce qui m'excita encore plus.
Je le forçais à se rebaisser et à reprendre ma queue dans sa bouche. Il s'activa, l'enfonçant tout seul presque jusqu'à la garde en me malaxant les boules. Il savait s'y faire!
Ainsi, après plusieurs va-et-vient, où je marquais le rythme en le tenant par les cheveux, j'eus peur d'éjaculer trop vite. Je le fis se relever et sans rien dire, le retournai. Il se débattit un peu et me montra un préservatif qu'il sortit de sa poche. Cela me confortait que c'est ce qui désirait, le petit cochon, augmentant mon excitation.
Après m'être couvert, j'installais mon esclave, le poussant à se mettre un peu plié au-dessus de la cuvette, les mains en appuis sur le mur. Puis je commençais, sans réussir à le pénétrer facilement. Il gémissait et ne semblait pas aussi habitué que ça.
Je lui dis :
- La ferme et détend-toi si tu ne veux pas que je force pour rentrer.
Je crachai sur ma queue et replaça mon gland sur sa rondelle. De mes deux mains je lui attrapai les hanches et le tirai vers moi. Mon gland commença à rentrer, je me tortillai un peu pour trouver le bon angle tout en donnant de petits coups de rein. Ca commençait à s'enfoncer et quand je vis que c'était bon, je donnai un coup sec et ça termina de rentrer. Il gémit un peu de douleur en même temps qu'on entendit la porte d'entrée des WC s'ouvrir: quelqu'un allait pisser!
De peur que mon esclave fasse du bruit, je l'attrapai d'une main au niveau de la poitrine, emprisonnant ses deux bras, et de l'autre main, le bâillonnai. Le tout en restant planté en lui jusqu'à la garde. Je serrai le plus fort possible son corps contre le mien, puis commençai des va-et-vient, ne bougeant qu'au niveau des hanches.
Tout ceci pendant que le gars à l'extérieur pissait et que le vacarme de trains à l'extérieur couvrait nos bruits, c'était parfait, et moi, ça m'excitait encore plus. Toujours ma mains sur sa bouche et emprisonné par mon autre bras, à chaque fois qu'il tentait de se débattre, je serrai encore plus fort. Il tenta à nouveau deux ou trois fois de se libérer, mais j'étais clairement le plus fort et lui faisais bien sentir, lui chuchotant un "chut" à l'oreille.
Une fois que l'autre se fut lavé les mains et reparti, on était à nouveau seul. Je restais toujours un peu envieux de son sexe et pendant que je l'enculais, relâchant un peu mon emprise, je commençais à le branler, lui chuchotant à l'oreille:
- Tu as surtout pas intérêt à juter avant que je te le permette! Si tu es une bonne pute, je verrai peut-être pour te rendre la pareille.
Je donnais aussi des coups de rein, et me cabra un peu en arrière, le laissant planté sur ma queue comme assis sur un siège, tenant ses hanches avec mes mains, ses pieds décolèrent légèrement du sol. Je dois avouer que c'était pas des plus confortable, mais j'accomplissais ce que j'aurais rêvé qu'on me fasse.
Il sortit un "Oh oui, c'est bon" qui me fit redoubler et même, devenir un peu violent dans mes mouvements, ce qu'il semblait apprécier. Malheureusement, j'étais tellement excité que je sentais mon jus arriver.
Au bout de quelques minutes, je me retirai, jetant la capote dans la cuvette, je le forçai à s'agenouiller en serrant fort son épaule. Il tenta à nouveau de se débattre, mais je l'agrippai par le menton, l'obligeant à me regarder:
- Oublie pas qui donne les ordres! Suce et avale, je veux pas une goûte sur mon uniforme!
Il hocha la tête et me l'attrapa, me branlant d'une main et me suçant de l'autre. Au fur et à mesure, je me rapprochai de la paroi, lui collai la tête dessus, une main sur son crâne, et quand je sentis mon jus arriver, lui enfonçai ma queue, en essayant tout de même de pas l'étouffer.
J'étais tellement excité que je jutais comme j'avais rarement juté. Et ce qui devait arriver arriva: il s'étouffa et commença à tousser. Je me retirais un peu mais restai dans sa bouche en continuant à juter. J'avais l'impression que ça ne se terminait pas.
Ca avait coulé sur mon pantalon, je lui ordonnai de lécher, ce qu'il fit sans trop de problèmes. Heureusement que les uniformes militaires ont un côté un peu plastifié, facilitant le nettoyage.
Une fois que cela fut fait, je le faisais se relever à nouveau un peu brutalement, l'attrapa en plaçant ma main dans son entrejambe et le soulevai légèrement. J'avançais mon visage vers lui et l'embrassais, il avait encore de mon sperme dans sa bouche.
Ce fut le seul moment où il prit l'initiative: il utilisa sa main pour me forcer à bien l'embrasser, poussant mes lèvres vers les siennes. Elles étaient chaudes et humides, je sentais presque sa langue me violer la bouche, c'était trop bon.
Je me séparai ensuite de lui et me baissai. Il n'avait pas juté mais sa queue était complètement remplie de precum, brillante et super glissante. J'attrapais son sexe, le branlant un peu.
Il me dit qu'il allait arriver rapidement. Je lui donna une tape sur ses boules et lui ordonna d'attendre! Il gémit et se plia un peu de douleur et moi, je continuais de le branler doucement. Son sexe bandait courbé vers le bas et était super dur! Dommage, je me serais bien fait prendre...
J'avançais ma langue et lécha un peu son gland, puis le pris dans ma bouche, le branlant de mon autre main. Sa queue était complètement recouverte de pré-sperme, c'était une vraie usine le gars, et j'en avais sur toute la bouche, sa queue me glissait presque entre les doigts.
Ca ne dura pas longtemps et à peine trente seconde plus tard, je sentis son sexe et ses testicules se contracter, puis exploser dans ma bouche.
Il avait un sperme super liquide, sortant en de très long jets, espacés à chaque fois de quelques secondes, comme un canon qui se recharge avant de tirer. Je tentais d'en garder dans ma bouche pour l'embrasser avec, comme il l'avait fait avec moi, mais au bout d'un moment j'ai été obligé d'avaler, ne sachant pas quand il s'arrêterait.
Quand je sentis que c'était la fin, je pressai un peu pour en faire sortir les dernière gouttes et me relevai, l'embrassant à nouveau et lui redonnant un peu de son sperme dans un long et humide baiser. Nos langues s'entremêlaient, j'avais rarement embrassé un mec, mais lui était un expert !
Je me rhabillais assez rapidement, et comme un dernier coup de bluff, je l'attrapa par le cou et l'écrasa contre la paroi en le soulevant le plus possible, un peu à la Dark Vador:
- Si tu me revois, tu fais comme si tu ne me connaissais pas, capito?
Il m'attrapa mon bras de ses deux mains pour se tenir et hocha rapidement et très légèrement la tête, je le relâchais, sortis de la cabine en refermant la porte et retourna à l'extérieur attendre mon train.
Après quelques minutes, je le vis sortir à son tour, discrètement et sans me regarder.
Moi, je venais de réaliser un de mes fantasmes, à l'inverse de ce que j'aurais espéré, mais ça avait été quand même tellement bon!! Vive l'uniforme!
Whitestormy
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