Après trois mois d'armée, avec un entraînement intensif, j'avais un beau corps sec dont j'étais très fier, avec mes 1m82 et une belle tête, à 19ans, je n'avais pas trop de problème à faire tomber les filles. Même en étant accro au sexe, je n'étais pas non plus un dragueur fou. En revanche, de temps en temps, j'avais quelques fantasmes... gay. Quelques expériences, mais je restais globalement plutôt hétéro. A l'armée, même si on se voyait souvent nus, dont les douches, je n'avais pas vraiment eu d'attirance, même si je m'étais déjà dit que certains mecs étaient pas mal du tout. Sans doute par crainte que ça me fasse devenir un peu la tête de turc de mes camarades...
Une nuit cependant, je vécus LA belle expérience de mon armée.
J'étais de garde, avec trois camarades de mon unité. Nous étions dans la caserne et nous relayons par groupe de deux pour dormir un peu.
On allait se coucher dans le local de garde, avec un camarade. Plus petit que moi de bien 10cm, mais vraiment un beau mec à la belle gueule, blond aux yeux bleus cristallins, et particulièrement musclé, mais sans être hypertrophié, juste un corps... tout en muscle! Je me rappelle d'ailleurs d'une petite lutte avec un gars d'une autre unité, qui faisait une tête de plus et 1.5x sa largeur, et tout comme beaucoup d'entre nous, j'avais halluciné comme il l'avait fait voler, bref, une musculature réelle et pas seulement d'apparence, sans compter qu'il savait se battre. Pour terminer, il avait une queue particulièrement massive au repos, au-moins 15cm, parfaitement droite, non circoncise, qui pendait entre ses jambes. Il était sûr de lui et parlait souvent de filles, ainsi que de son trip principal qui était de recouvrir certaines parties du corps de sa copine, ou le sien, de crème chocolat et de lécher après. J'avais rencontré sa copine à la journée des parents et n'avais jamais douté qu'il était hétéro, et encore aujourd'hui, j'en suis convaincu. Cependant, ce soir-là dans le local de garde, quelque chose de dingue se passa.
Je me mis dans la couchette du bas, et lui du haut, on dormait habillé pour pouvoir réagir rapidement au besoin.
Cela faisait peut-être dix minutes, quand je crus entendre des grognements, le signe qu'il ronflait.
J'avais une forte envie de me branler, n'ayant pas eu l'occasion depuis le jour d'avant, je préparai discrètement un mouchoir, puis descendait le plus doucement possible le zip de ma braguette, puis je sortais ma queue, environ 17x5, qui bandait déjà à moitié.
Je commençais à me masturber, et même pas trente secondes après, le lit au-dessus de moi remua. Un peu inquiet, je m'immobilisai pour ne plus faire de bruit, mais je vais la tête mon pote dépasser du haut, me fixant et me chuchotant:
- Toi aussi tu te branles? C'est chiant d'en arriver là sans une bonne meuf qui s'en occupe...
Pris au dépourvu, je ne lui répondis pas mais me retrouvais comme un con à essayer de cacher mon sexe, un peu peine perdue vue que je bandais encore... Il remonta la tête et je le vis descendre de son lit.
Je n'avais toujours rien dit, mais j'avais rangé mon sexe, qui avait complètement perdu de sa superbe tant, pour le moment, j'étais toujours sous le coup de la honte de m'être fait choppé... Il s'accroupit à côté de moi et me dit:
- Je te propose un truc: je m'occupe de ta queue, et après, tu en fais de même pour moi, ce sera bien plus cool!
- Euh, je sais pas trop...
- On s'en fout, ça restera entre nous, mais on est à l'armée, faut s'entraider non?
Je répondis une sorte de mélange de "non, oui, je sais pas, peut-être, pourquoi pas...". Bref, réellement ne sachant pas quoi répondre.
Lui n'attendit pas plus, il approcha de ma braguette encore ouverte, enfila sa main, attrapa mon sexe et le ressortit sans attendre. J'approchai par réflexe ma main, mais il m'attrapa le poignet de sa main libre et me bloqua:
- Allez, laisse-toi faire, c'est un service pour un autre, juste que tu m'assures que feras la même chose pour moi après. Ok?
- Bon, d'accord, lui répondis-je.
Faut dire qu'avec ma queue dans sa main, chaude, douce mais ferme, je commençais à prendre conscience de la situation et du plaisir que cela me procurait.
Il commença par me branler doucement, sans trop serrer. Assez rapidement, ma queue prit de l'ampleur et ça devenait trop bon. Je reposais ma tête sur le coussin et sentais que ça ne prendrait pas longtemps. Il continua en serrant un peu plus, sa main se transformant en un étau si agréable!
Je sentis sa main descendre jusqu'à mon pubis, continuant à me branler en restant à cette hauteur, et soudainement, sa bouche qui engloba mon gland. Je sursautai et approchai mes mains, essayant de me relever.
Il avait dû le prévoir car il avait libéré sa main droite qui m'attrapa d'un coups mes deux poignets, serrant assez fort et les remontant vers ma poitrine, appuyant pour me forcer à me recoucher dans le lit.
- Allez, se branler, on peut le faire seul! Profite plutôt... me déclara-t-il.
Je tentais de lui répondre, mais déjà, je n'arrivais plus à bouger ni les mains, ni le buste tant il mettait de la pression, puis il avait reprit mon sexe dans sa bouche et me fit une sorte de suçon sur le gland qui me fit gémir de bonheur. J'abandonnais toute tentative de résister, c'était trop bon. Il le ressentit et dessera son emprise pour se replacer, une main sur mes boules, une autre sur la base de ma verge et sa bouche sur le haut.
Il montait et descendait lentement, serrant de temps en temps la base, comme pour arrêter mon plaisir, avant de reprendre. De temps en temps, avec sa langue, il jouait sur ma hampe et le frein, me provoquant des frissons dans tout le corps. C'était extraordinaire, trop le pied!
Au bout de quelques minutes, je commençais à sentir le jus monter et l'avertis:
- Retire-toi, je vais juter!
Mais il fit tout le contraire, reprenant sa pipe de plus belle et commença à accélérer la cadence, serrant ma queue de sa main en la branlant de plus en plus rapidement. Je gémis un peu, lâchant des "putains, putains" jusqu'à ce que j'explose dans sa bouche, en plusieurs gros jets dont je n'ai pas compté le nombre, mais au-moins cinq. Faut dire qu'avec l'entraînement sportif, le plein air, et pas mal d'abstinence, mes boules était gorgée! Il avala le tout sans broncher, appuyant de bas en haut pour en extirper jusqu'à la dernière goutte.
J'expirais lentement, j'avais même du mal à relever la tête tant ça avait été le pied. Je lui dis juste:
- Putain, merci, mais t'as mis la barre haut.
- De rien, c'est simple: t'as qu'à penser à ce que tu aimes qu'on te fasse et tu verras, ça ira tout seul!
Il me demanda ensuite de me lever pour s'installer à ma place. Il se coucha, descendit lui-même sa braguette et sortit sa queue. Je dois avouer que sur le coup, j'avais oublié la taille de son sexe... provoquant un sourire intérieur tant je n'aurais pas rêvé d'une telle situation!
Je l'attrapais: c'était la première fois que j'avais un tel engin dans la main, et ce n'était pas terminé. Au rythme de ma branle, son sexe grossit et je me demandais quand il allait s'arrêter. La chose qui me marquera à vie, c'est que sur presque toute sa longueur, je ne pouvais plus en faire le tour avec mes doigts tant elle était épaisse. Un vrai gourdin et je ne pus m'empêcher de le relever:
- Bordel, elle est massive, c'est qu'elle doit être contente ta meuf!
- 19 cm sur 7, jamais eu de réclamation, me répondit-il.
- Tu m'étonnes...
Je continuais. La peau ne montait pas plus haut que le milieu du gland, je la descendais donc complètement avant de la faire coulisser de haut en bas, lentement.
- Serre plus fort, mec.
J'obéissais et serrais plus fort, continuant à le branler. Au bout d'un moment, il releva un peu la tête et me rappela à l'ordre:
- On avait dit qu'on se faisait la même chose, on a un deal.
Je le fixais un instant avant de regarder à nouveau son gourdin. Je riais avant de lui sortir:
- T'y gagne au change!
Il rigola et reposa simplement sa tête sur le coussin. Je dois avouer que je n'avais aucun problème pour le sucer, mais simplement, j'avais tellement été obnubilé par son engin que j'en avais oublié cette partie. Tant mieux, ça confortait sans doute son idée que je n'étais qu'hétéro.
Seul problème, elle était tellement large que j'avais du mal à la mettre dans ma bouche. Il me donna un conseil:
- Mets-toi en face, ce sera plus simple.
J'acquiesçais et m'installais sur le bas du lit, à genou et entre ses jambes. Cette position m'excitait au plus point, et je la repris dans ma bouche. Je pouvais aller un peu plus bas que dans l'autre sens, mais pas trop non plus: elle me prenait toute la bouche. Elle était propre mais sentait aussi assez fort, sans que ce soit désagréable.
Je continuais ma pipe et de temps en temps, il appuyait avec sa main pour me forcer à descendre un peu plus bas. Il me demanda de malaxer ses boules et je m'exécutais de ma main libre. Elles n'étaient pas très grosse en rapport de la taille de sa queue, peut-être même moins que les miennes. Elles étaient collées à son corps.
Il n'était pas très poilu, et sur le pubis, il avait des poils blonds presque transparents. Je réalisais qu'il devait s'épiler ou se raser car il y avait une repousse un peu autours.
Il commençait à prendre du plaisir et bougeait les hanches, me forçant à faire attention à ne pas trop l'enfoncer dans ma bouche au même moment, sous peine d'étouffer complètement.
Je commençais à prendre de l'assurance, je la pris de mes deux mains et serrai fort en faisant la même chose que lui, suçant son gland avec puissance. Cela semblait faire de l'effet car il se tordait de plaisir.
Il me demanda d'accélérer un peu le rythme et à nouveau, je m'exécutais. De mon côté, je rebandais comme un fou, mais n'osait pas lui avouer.
J'avais quelque chose qui me faisait trop de bien et le tentais sur lui: je mis une main sur son pubis, appuyant assez fortement, pendant que je branlais la base de sa queue et continuait à le sucer. Cela lui fit de l'effet car il machouilla un "trop bon, continue".
Je continuais de la même façon et sentis du precum dans ma bouche, supposant qu'il allait bientôt éjaculer.
D'ailleurs, trente seconde plus tard, il m'avertit. J'hésitais à ce moment à me retirer mais me dis qu'il n'y avait aucune raison que je ne profite pas jusqu'au bout.
Accélérant le rythme de ma main, je salivais pour augmenter le côté chaud dans ma bouche. Il monta tout d'un coup ses hanches, se cabrant comme si on lui piquait les fesses, puis posa sa main sur mon crâne, sans doute pour être sûr que je ne me retirerais pas au mauvais moment, puis dans un râle, éjacula dans ma bouche.
De petits jets, me laissant le temps d'avaler, même s'ils étaient particulièrement rapprochés, et en grand nombre, peut-être 10 ou 12 fois!
Je finis comme lui, en extirpant les dernières gouttes, jusqu'à me retirer et reposer sa queue sur sa braguette. Et contrairement à moi, qui bandait comme un fou, la sienne se dégonfla assez rapidement.
Il resta encore un instant couché, me laissant le temps de réarranger un peu ma tenue pendant que je me relevais, histoire de cacher mon érection.
Il se redressa dans le lit, en sortit, me dit juste.
- Merci, mec, c'était presque aussi bon que ma meuf! Bon, dodo pour l'heure et demie qui nous reste.
Il remonta dans son lit, je me recouchai, restant encore un peu sous le coup de toute cette histoire, et malgré mon érection, je n'osais plus me branler. La fatigue reprenant de toute façon ses droits, je m'endormis assez rapidement.
On a jamais eu l'occasion de le refaire, ni n'en avons jamais reparlé, même si parfois, quand il parlait de pipe de sa copine ou d'autres fantasmes, il me jettait un coup d'oeil complice...
Ca reste un magnifique souvenir, comme un rêve auquel je pourrais repenser quand j'aurais envie de me branler en pensant à des mecs!
Whitestormy
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