Le téléphone venait de vibrer. La nuit était tombé depuis peu, et je m'ennuyais à mourir pendant les vacances. Fraîchement bachelier et nouveau conducteur, je cherchais désespérément une occupation sur cette application de rencontre.
Je suis brun à lunette, et comme l'adage le dit : "homme à lunette, homme a quequettes"... pourtant je n'étais pas vraiment actif, et ce n'est pas faute d'avoir essayé. Un peu réserve à cause de mes rondeurs, j'avais eut une relation avec 4 garçons en moins de 6 mois... mais rien de très concret si ce n'est que des fellations avec mon ex.
J'ai toujours été attiré par les mecs un peu virile. Cette virilité s'apparente chez moi par des mecs de la rue, des mecs en TN, Jogging, sportif.
Mon téléphone vibrait encore une fois. C'était un rebeu, plutot pas mal. Il était de chatellerault, moi de Poitiers (donc environ 1 heure de route).
Comme c'était mon premier plan, et ma première fois, j'étais réticent et inquiet.
J'étais seul dans ma chambre, la main dans mon caleçon à sentir ma bite gonfler à mesure ou la conversation avancée.
"Je vais te défoncer la chate , tu va rentrer en boitant"... avec cette petite phrase, je me suis mis à mouiller, et je n'avais qu'une envie, le rejoindre et subir ses assauts.
"Je ne suis pas trop rassuré, tu pourrais vider tes poches quand j'arriverais ?". Bien qu'un peu bizarre, cette requête était justifié pour moi, je ne voulais pas me faire agresser alors que j'étais à genoux devant sa queue, ou lorsque qu'il me prendrait.
Je me suis préparé rapidement, un peu de parfum, nettoyage anale et j'étais partis.
On avait convenue d'un RDV en pleine nature (ne pouvant pas recevoir, lui non plus). Il m'avait indiqué un petit chemin en pleine forêt, plutôt tranquille.
Bien sûr, je n'arrivais pas à trouver l'endroit. Apres quelques messages de paniques, il est venue me "chercher", je l'ai malencontreusement aveuglé avec mes pleins phares, ce qui nous a permis de nous reconnaître.
Une fois arrivé, il s'est adossé sur la portière. Il était magnifique. Un regard un peu noir, une voix grave, un air de cité.
"Regarde, j'ai rien dans mes poches"
Il a détaché sa ceinture, déboutonne son pantalon, et m'a dit " à genoux, suce."
Totalement hypnotisé, je me suis précipité et agenouillé devant ce gros penis circonscrit.
Sa bite ne sentait pas le savon, ni cette horrible odeur de penis sale.
Je m'amusais avec son gland, que je sentais gonfler un peu dans ma bouche. D'un coup, je me suis enfoncé complètement, tout en aspirant. Une fois on fond, j'ai levé les yeux pour le regarder.
Il avait toujours ce regard noir.
Sa main passa dernière ma tete, il ne disait rien. Je sentis son bassin faire quelques mouvements.
L'armature de sa ceinture tapait sur mon menton, je sentais des petits cailloux attaquer mes genoux.
Il n'était pas aussi brutale que je le pensais. Il était d'une certaine manière très doux.
"T'aimes Ca salope "
Je ne pouvais pas répondre, avec son morceaux dans la bouche, qui grossissait au fur et à mesure de ses mouvements.
Il s'enfonça, et reteint ma tete avec ses deux mains. Je commençais à vraiment m'étouffer, ma salive lubrifiait sa bite.
Quand il m'a lache, il m'a laissé le temps de m'amuser avec sa bouche. Il m'a ordonné de retirer mon pantalon et de me mettre à quatres pâte.
J'enfonce sa bite dans ma bouche, pendant que ma langue s'enroule de nombreuses fois autour de son chibre. Il me caresse les fesses, passe lentement ses doigts sur ma raie et s'arrête parfois sur mon trou qu'il titille.
Il recommence à faire des mouvements de bassins dans ma bouche, je manque de m'étouffer plusieurs fois. Il me prend par les oreilles, et me baise. Sa bite se durcis rapidement, ma salive finit de le lubrifier.
" retourne toi et met toi sur le capot"
Je sentais l'air se rafraîchir. Il me cracha un peu sur la rondelle, se branla à l'aide de mes fesses, positionna son penis devant mon trou.
Il m'agrippa les hanches et rentra directement. Je sentais mon trou s'élargir rapidement. Il se retira, puis s'enfonça d'un coup, plusieurs fois afin que mon cul s'habitue à la largeur de son membre.
Une fois que ma "chatte" était suffisamment large à son coup, il commença à me défoncer plus rapidement, des boules tapaient sur mes fesses rebondis. Plaquant ma tete sur le capot avec brutalité, il continua ses mouvements amples. Pour contrer ses coups de reins, j'étais obligé de m'agripper, mon corps faisait allait d'avant en arrière.
Sa main agrippa mes cheveux, et il me martela le trou, de plus en plus vite et de plus en plus fort.
"Rentre dans ta voiture salope"
Il me poussa à l'intérieur et m'obligea à m'allonger sur la banquette arrière. Il m'embrassa sauvagement les oreilles, avant de recommencer à me labourer. Je sentais son souffle chaud sur la nuque.
Son souffle était de plus en plus fort, ses mouvements aussi. Je sentais son gland se durcir.
Il s'enleva, retira la capote, et en me tirant les cheveux me fit mettre à genoux. J'étais la, nu comme un vers, dans les bois.
Son regard était noir. Il plaqua mon visage près de sa queue qu'il astiquait. Il finit par jouir sur mon visage.
Il se rhabilla rapidement. "T'as aimé ?" Je ne pouvais qu'acquiescer.
"Comment tu t'appelles ?" Lui demandais-je avant de partir.
"Adam".
Slut
Autres histoires de l'auteur : Mon bon rebeu