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Grosse queue
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Après le diner

Il est assis au bout de la table à ma droite. Je l'observe. Il semble nerveux. J'ai bien remarqué la manière dont il coupait sa viande, comme s'il voulait la tuer une deuxième fois. Je vais morfler. Je termine mon assiette. Je n'ai plus faim, mais je ne refuse pas le dessert car c'est mon préféré.

Je déguste la mousse au chocolat. Je suce ostensiblement ma cuillère en jetant de discrets regards aguicheurs. Son visage reste impassible. Il ne prend pas de dessert et s'excuse. Il a encore des dossiers à étudier. Il se lève de table et quitte la salle à manger. Il me frôle lorsqu'il passe près de ma chaise.

Je débarrasse et remplis le lave-vaisselle. Ensuite, je vais dans ma chambre pour me changer. Avant, je vérifie si mon petit copain Léo m'a envoyé un mail. Il me manque. Il est à l'étranger pour ses études. Si j'avais réussi mon Bac du premier coup, je serais en sa compagnie. Enfin, c'est comme ça. Un message succinct m'attend. Léo me donne rendez-vous pour un appel vidéo, dans deux heures. Cela me laisse le temps.

Dans ma salle d'eau personnelle attenante à ma chambre, je me lave en profondeur puis en surface. Ma peau a conservé les stigmates d'il y a trois jours. Il m'a mordu et pincé sur tout le torse et les trapèzes. Les hématomes en arc de cercle bleuissent ma carnation pâle. En étalant le gel douche, je passe ma main partout pour vérifier la douceur de mon épiderme. Les poils repoussent moins vite quand ils sont arrachés à la cire. Je suis du genre glabre, mais le peu que je possède l'horripile. Il me veut intégralement lisse. Je le suis. Cela plait aussi à Léo. Alors, tout va bien.

Je me sèche puis applique une crème nourrissante sur l'ensemble de mon corps. J'aime prendre soin de moi. Je m'adore et me pomponne. Je suis si mignon. Ma blondeur angélique s'accorde très bien avec ma silhouette élancée. Attention, je ne suis pas une crevette non plus. Je suis dans la moyenne 1,75 m pour 65 kg. Mes muscles se dessinent harmonieusement, car je pratique la danse depuis tout petit. J'attache une grande importance à la rondeur de mes fesses. On peut le dire, elles sont bombées et haut perchées.
Je sèche mes cheveux et ébouriffe ma mèche. Elle dissimule mes yeux gris et retombe sur l'oreille gauche. J'aborde un mélange sur la tête, mes cheveux sont très courts sur les côtés et longs sur le dessus. Je peux les rassembler en chignon à la manière des samouraïs. Ce soir, je les laisse libres, car ils vont servir. Je choisis un jock dans mon tiroir secret. Il est blanc et simple puis j'enfile une chemise de la même teinte et un pantalon noir. Je reste pieds nus. Je garde ma fine chaine en or qui porte ma médaille de baptême. Il m'a dit que de voir briller les maillons sur ma nuque l'excite terriblement. Je suis prêt. Je donne un petit bisou à mon reflet et quitte mon domaine pour le sien.

Dans l'escalier puis le couloir qui mène à son bureau, je ne croise personne. Du salon me parvient le son de la télé. Enfin, me voilà devant l'entrée de son royaume. Je gratte à la porte et entends sa voix grave un peu étouffée.

- Entre.

Je m'exécute puis referme à clé derrière moi. On ne sait jamais. Sa pièce de travail est meublée dans un style épuré et moderne. Elle est plongée dans une demi-obscurité. La baie vitrée donne sur la nuit et la pièce se reflète dedans. Face à elle, il est assis à son imposante table de travail, son ordinateur portable est ouvert. Il n'a pas quitté l'écran du regard. Pourtant, il sait que je suis là. Je m'avance jusqu'à son bureau et me place devant. Il ne réagit toujours pas.
J'attends un peu. Il jette un oeil. Son visage est éclairé par l'écran. Ses yeux sont des puits sombres et mystérieux. Je frissonne. Je pose mon index sur ma lèvre inférieure et lèche la pulpe. Je sors mon bout de langue et suçote mon doigt de plus en plus langoureusement. Je me mets à onduler et de mon autre main je palpe mon torse. Je me caresse à travers le tissu de ma chemise. Je bouge mon bassin et me cambre. Je danse. Dans mon esprit résonne " Makeba " de Jain. Je pousse un petit gémissement. Il lève la tête à nouveau et cette fois-ci, il ne me lâche pas du regard. Je cesse de sucer mon doigt et mordille ma lèvre. Je déboutonne ma chemise dont je libère les pans afin de dégager mon torse. Je continue ma danse du ventre. Je me caresse et titille mes tétons au passage. Je gémis. J'aime cela en plus. Je commence à bander. Je balade mes mains partout sur ma poitrine et descends petit à petit. Mon jock me serre de plus en plus. Je suis excité. Mon sexe est de taille moyenne genre 14 cm. J'aurais voulu être plus gros, mais pour quoi faire ? Je suis un pur passif. À part la bouche de Léo, je n'ai jamais rien pénétré avec ma queue.

Je défais le premier bouton de mon pantalon et glisse la main le long de mon bas-ventre. Je me masturbe à travers le tissu de mon jock. Ma queue durcit encore plus. En face, il frémit. Il referme son ordi et s'étire sur son fauteuil en cuir. Il passe ses mains sous sa nuque. Je vais devoir me trémousser un peu plus. Je l'ai entendu dire qu'il était fatigué ces temps-ci. Je frotte mon sexe et ondule du bassin. J'en profite pour faire tomber ma chemise. Je suis torse nu et repars à me peloter en poussant de faibles cris. Je me retourne pour agiter mon petit cul devant son nez. Je me cambre et me tords pour qu'il me voie lécher mon majeur que je glisse dans mon pantalon jusqu'à ma raie. Je la masse. Il réagit. Il place sa main sur son entrejambe et commence à se caresser doucement à travers le tissu. J'ai très envie, soudain. Je m'empresse d'enlever mon fute. Je le pousse sur le sol avec mon pied. Je reste de dos et me penche légèrement en avant. Je mouille mon majeur de salive afin de l'enfoncer dans mon trou. J'émets un soupir lorsque je me pénètre. J'entends derrière moi sa respiration qui accélère. Je me prépare tout seul. Je fais aller et venir mon doigt. Je touche ma zone P et ressens un désir de plus en plus fort. J'ajoute mon index pour ouvrir mon antre. Pas trop, car il m'aime serré. Je vois apparaitre sur le tissu de mon jock une auréole. Je mouille. Oh oui !

- Approche, ordonne-t-il.

Enfin. Je cesse ma préparation. Je me place entre lui et son bureau. Je ne le regarde pas son visage et fixe son entrejambe que sa main caresse.

- À genoux.

J'obtempère et me positionne entre ses cuisses. Je m'occupe de sa braguette et l'ouvre. Je distingue son caleçon classique d'une marque haute couture. J'applique ma bouche sur la barre qui déforme le tissu bleu ciel. Je serre mes lèvres sur cette épaisseur bien dure. Je bouge de bas en haut imbibant de salive son sous-vêtement. Sa queue plus grosse que la mienne sautille sous ma caresse. Je la sens vivre. Tout en continuant de le masser, je dépiaute son caleçon. Je libère l'oiseau et ses oeufs de leur cage. Je suis un gourmand et enfonce mon nez dans la toison brune. Elle sent bon ! J'adore ce savoureux mélange du parfum que je lui ai offert à Noël, Eau sauvage, et de son fumet de mâle en rut. Il ne s'est pas douché après sa journée de bureau. Sa sueur délivre une note poivrée excitante. Je respire fort et m'imprègne de lui. Je bande dans mon jock. J'espère qu'il me laissera jouir ce soir.

Brusquement, sa main s'abat sur mon crâne. Il appuie fort et me colle encore plus contre son pubis. J'ai compris le message. Je lutte un peu et réussis à engloutir son mât. Il l'enfonce immédiatement jusqu'à ma glotte. Ses deux mains enserrent ma tête et il soulève son bassin. Il baise ma bouche. Il émet des grognements. Son gland touche le fond de ma gorge. Il est doux contre mes muqueuses. J'étire ma mâchoire au maximum. J'ai perdu mon réflexe de régurgitation depuis belle lurette. Il peut y aller tranquille. Non, en fait. À fond. Il force et cogne contre mes amygdales. Il m'étouffe. Aujourd'hui, il ne m'a pas laissé le temps de le lécher et de le sucer. Il est stressé, je pense. Le fauteuil grince sous ses efforts. Il pousse des " han " profonds. Je crois qu'il va se terminer quand soudain il se retire.

- Retourne-toi.

Bon. Je me relève et lui obéis. Ma mâchoire me fait mal et des larmes coulent. Ce n'est pas grave.

- Assieds-toi.

Je m'exécute à l'aveugle. J'ai l'habitude. Je m'assois sur ses genoux et commence à m'empaler sur sa bite. Il pose ses mains sur mes épaules et appuie brusquement. Il entre en moi avec violence. Mon souffle est coupé. La première insulte jaillit sourdement.

- Salope !

La pièce est insonorisée. Il est libre ici. Il pince mes tétons et mord mon trapèze. Il pousse son bassin sous mes fesses. Je sens son sexe grossir en moi. J'aime cette sensation d'être rempli par une chose vivante. Mes muqueuses palpitent autour de sa verge.

- Allez bosse, salope ! Balance-t-il.

Il me claque la fesse. Je m'accroche au bord du bureau et commence à remonter. Je redescends. Ainsi de suite. Je me penche et me cambre. J'avance et recule sur sa bite de malade. Il grogne et me traite de tous les noms. Il ponctue chaque mots d'une fessée brulante.

- Salope ! T'es qu'une pute ! Une chienne en chaleur ! Tu m'as provoqué à table ! Salope ! T'as jamais assez, hein ? Tu la sens ?

- Non !

- Quoi !?

L'effet est immédiat. Il me culbute en avant et me plie sur son bureau. Il s'enfonce plus loin dans mon ventre. Il s'active dans mon trou avec frénésie. Il serre mes hanches et me soulève à chacun de ses coups de reins. Je vibre. Je la sens bien. Il me brule. Je veux encore plus. Eh oui.

- Je ne la sens toujours pas !

- Pétasse !

Il poursuit son ravage dans mon antre. Le bureau pourtant lourd ripe sous sa violence. Il me démolit. J'aime ça. Je lui crie.

- Oh oui, défonce-moi ! Elle est trop bonne ta bite !

- Tu l'aimes, hein ? Ma queue ?

- h, ouiiiiiiii !

- T'es en manques tout le temps ! Espèce de trainée !

Ses insultes continuent au même rythme que ses va-et-vient. Féroce. Je couine comme la chienne que je suis. Il ralentit un peu et agrippe mes cheveux. Il me tire à lui, sa bouche et proche de mon oreille. Il mord mon lobe, une douleur vive me fait crier. Il gronde.

- Dis-le ! Dis-le que t'es une salope !

- Je suis une salope. Baise-moi ! Ah ! h !

Il cogne contre mes fesses. Il m'étale à nouveau sur le plateau. Il appuie sur ma tête. Je m'accroche au bord du meuble pour encaisser ses coups de boutoir. Je bave sur le sous-main en cuir. Je n'ai plus de voix. Lui, toujours.

- Salope ! T'es la salope à qui ?

- À toi, je suis ta salope.

- Connasse.

Il s'arrête soudain. Il s'extirpe de mon cul. J'ai froid. Il me claque les fesses.

- Sur le dos, sale pute ! Tu vas écarter tes jambes pour moi !
Je rechigne. J'entends le tiroir s'ouvrir. Une grêle de coups s'abat sur moi. Sa règle en bois frappe mes fesses, mes épaules, mes côtes. Je bande plus que jamais.

- Tu es désobéissante ! Tu ne comprends rien ! Allonge-toi, j'ai dit !

Je m'incline. Je me retourne sous ses chocs et me protège avec les bras. Je ne veux pas que mon visage affiche nos petits jeux. Demain, j'ai cours.

Il se calme et balance sa règle. Du tiroir, il sort deux grosse attache-lettre. Génial ! Je m'empresse de m'installer sur le bureau, le cul tout au bord. Il me pince les tétons avec ses attache-lettres. La vache ! Mon érection explose dans mon jock.

- h !

- Ta gueule !

Il me pénètre à nouveau. Il est encore vêtu de sa chemise qui n'est pas ouverte. Son pantalon est tombé sur ses belles Italiennes sur mesure. Il pose mes chevilles sur ses épaules pour mieux s'enfoncer en moi. Il me laboure avec vigueur. Je ne regarde pas son visage. C'est interdit dans ces moments-là. Je mate plutôt mon corps. Rouge de douleur et de plaisir. Les attache-lettres s'agitent sur son rythme et me tirent la peau. C'est bon ! Je vois mon gland qui pointe de mon jock. Il suinte. Je prends mon pied. J'aime sa force et sa violence. Il ahane ses efforts. Il agrippe mes jambes et les bascule par-dessus ma tête. Je sens la dureté du bois dans mon dos, et celle de sa bite dans mon cul. Il s'arcboute au-dessus de moi. Sa face est si proche. Je ferme les paupières.

- Regarde-moi, salope !

J'ouvre les yeux. Il tire sur mes cheveux pour orienter mon visage vers le sien. Je me plonge dans le gris de ses iris. Ses pupilles sont dilatées. De la sueur coule le long de sa tempe. Il continue à me pilonner. Oh ! C'est bon ! Je sens que je vais jouir. Je glisse ma main sur ma bite et serre. Je dois l'attendre. Il recommence ses insultes.
- Sale putain ! T'es la salope à qui ?

- Ah toi ! h !

- À qui ?

Il me fixe et me démonte tout à la fois. Je soutiens son regard. La pression grimpe dans mes couilles.

- Dans les yeux ! Dis-le-moi, t'es la salope à qui ?

- La tienne ! Je viens ! h !

- Pas avant de me l'avoir dit !

Il arrête tout. Atroce.

- Nooon ! Continue !

- T'es, commence-t-il.

Un violent coup de reins.

- La... salope...

Un autre coup de reins.

- À qui ? termine-t-il.

Un puissant coup de reins.

- Je suis... ah ! h !

Il me mitraille. Sa bite détruit mon trou. Mon sperme bout dans mes couilles.

- La salope...

Il ralentit pour devenir plus féroce dans mon cul. Je lui balance ce qu'il veut entendre et qui est la vérité.

- Je suis la salope de papa !

Il pousse un rugissement terrible. Je jouis dans mon jock. Il m'inonde de son sperme. Sa queue cogne contre mes parois. Le jus de mon père éteint l'incendie de mon cul. Il s'effondre sur moi. Son souffle chatouille mon cou. Sa verge glisse peu à peu hors de moi. Je serre pour garder à l'intérieur sa semence. Il m'a fécondé encore une fois. La mienne coule sur mes abdos. Je me sens bien.
Mon père se redresse. Il me regarde. Je lis une espèce de tendresse dans ses yeux. Il m'aime à sa manière, je le sais. Il retire les attache-lettres puis m'effleure la joue.

- Ça va, mon chéri ?

- Oui, papa.

- Je t'aime, Lucas.

- Je t'aime aussi.

Il me roule une pelle. Il aspire ma langue et me caresse le torse en douceur. Ensuite, il me lâche et m'aide à m'assoir. Il me sourit.

- Tu es la bonne salope de ton père. Va te coucher maintenant, je dois terminer un dossier. Bonne nuit, Lucas.

- Bonne nuit, papa.

Nous nous rhabillons chacun de notre côté. Après un dernier bisou, je quitte son bureau, le cul plein de lui.

En retournant dans ma chambre, je croise ma mère. Elle me demande si mon père travaille encore. Je lui réponds oui. Elle soupire. Je lui souhaite bonne nuit. Elle m'embrasse tendrement et regagne le salon où sa série préférée l'attend. Elle ignore tout de ma relation spéciale avec l'auteur de mes jours. Tout à l'heure, mon père va effectuer son devoir conjugal avant de dormir. Il a un appétit monstrueux.

Dans la douche sous l'eau, j'évacue la semence de mon père. Après mes ablutions, je m'installe dans mon lit avec mon PC portable. Je me connecte à Skype et contacte Léo. Il ne se doute pas de mes activités sexuelles incestueuses. J'ai dix-neuf ans et cela fait cinq ans que mon père me saute. La première fois, je n'ai pas aimé, mais par la force des choses maintenant j'apprécie.

J'ai gardé un tee-shirt afin de dissimuler les marques. Quand nous étions au lycée, nous n'avions pas souvent l'occasion de coucher ensemble ou alors nous étions relativement habillés. Léo s'inquiétait de mes petites blessures, j'invoquais des excuses bidon, comme les chocs à la danse, ma peau sensible, ma maladresse. Il est si attentionné. J'ai découvert la tendresse et la douceur auprès de Léo. Je l'aime. Je ne voudrais pas le dégouter.

Lepoulpe.

( Je tiens a precisé que je n'ai aucun pb de fantasme avec mon père.)

LePoulpe

gaellg88@gmail.com

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