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LES EMPLETTES
" Éric, Ken et moi nous t'amenons faire des achats et laisse-toi aller dans ta fantaisie, il doit sûrement y avoir un sex-shop dans cette ville. " Demanda mon père.
Nous sommes partis avec Tom et l'avons déposé chez lui afin qu'il puisse préparer une valise de vêtements et retourner rejoindre les deux femmes à la maison, car il était évident qu'il passerait la période des fêtes chez nous.
Au centre-ville, mon père me dit : " Éric, qu'est-ce qui te plairait? "
" Aimes-tu le cuir? " Demanda Ken.
" J'aime l'odeur évidemment, je trouve cette senteur aphrodisiaque. "
" Penses-tu à la même chose que moi? " Demanda mon père à Ken.
Pour toute réponse, Ken lui fit un immense sourire. Nous sommes entrés dans la boutique et nous nous sommes dirigés directement au sous-sol dans la section spécialisée dans le cuir. Un serveur vint à notre rencontre.
" Que puis-je faire pour vous? "
" Beaucoup de choses. " Répondit mon père.
" Au départ, nous aurions besoin d'un pantalon, de chaps et d'un harnais. Aimes-tu les harnais Éric? "
" Oui, je trouve cela excitant, mais je n'aurai pas l'occasion d'en porter. "
" Chez nous, tu le pourras. " Répondit Ken.
Le serveur me regarda d'un air complice et envieux. Il me tendit, pantalon, chaps et pour le harnais, il me demanda mes préférences.
" Je ne sais pas, mes connaissances dans le domaine sont assez restreintes. "
" Tiens prends celui-là, il t'ira très bien. " Me dit mon père en me tendant un harnais très compliqué.
" Où puis-je les essayer? "
" Ici, nous allons tirer les rideaux. " Dit-il en me montrant un espace ouvert.
J'entrai dans l'espace indiqué et commençai à me dévêtir.
" Déshabille-toi complètement. " Dit Ken.
Quand tout fut enlevé, le commis me tendit le pantalon.
" Ajoute cette veste. " Me dit mon père en me la donnant.
Je sortis ainsi vêtu. Ken mit une main sur la bosse faite par ma queue.
" Je crois le pantalon trop grand, Guillaume. "
" Tourne-toi. " Demanda mon père.
" C'est vrai, il va étirer. Peux-tu lui donner un point plus petit? Au fait quel est ton nom? " Demanda-t-il au commis.
" Steve. " Répondit-il.
" Allez, enlève cela. "
Il laissa le rideau ouvert et attendit le garçon. Steve revint et me regarda avec excitation, une bosse apparut sur le devant de son pantalon en toile pâle. Je pris le pantalon et ne refermai même pas le rideau me laissant regarder par ces trois paires d'yeux.
" Oui, Ken tu avais raison, celui-ci lui va beaucoup mieux, n'est-ce pas Steve? "
" Oui, il est plus cintré, ses fesses sont mieux découpées et la bosse sur le devant est plus dessinée. " Dit-il en passant sa main sur ma queue.
Je le regardai et lui fis un beau sourire. J'enlevai prestement le pantalon et la veste et me retrouvai, flambant nu devant eux, je commençais à bander moi aussi.
" Tu es excité, tant mieux, le harnais et les chaps vont mieux faire. " Dit Ken.
Il entra dans la cabine et commença à m'installer les lanières de cuir. La sensation fit bondir ma queue davantage, elle pointait en direction de mon père. Steve avait maintenant une tache humide agrandissante sur le devant de son pantalon couleur sable, il mouillait d'excitation le salaud.
" Peux-tu apporter un cockring en cuir, jeune homme? Car de toute évidence, il n'entrera pas dans l'anneau de métal. " Demanda mon père.
Ken m'installa le cockring autour de la base de mon pénis et attacha une lanière du harnais devant.
" Écarte tes jambes que je fixe la lanière arrière. " Dit Ken.
Il s'agenouilla entre mes jambes, j'écartai et pliai les genoux afin de lui faciliter le travail. La mince lanière passait entre mes fesses et il vint l'accrocher après le cockring sous mes couilles.
" Quelle pointure prends-tu comme bottes? " Redemanda mon père.
" Du 8, 9. Pourquoi? "
" Avec des bottes, le kit va être complet. Continue de te rincer l'oeil Steve, je vais les chercher. " Dit mon père en lui souriant.
" Mets tes bas. " Ordonna Ken.
Je m'exécutai sans dire un mot. J'étais de plus en plus excité et les autres aussi. Je bandais furieusement. Ken me regarda et dit : " Attends, il te manque encore quelques choses. " Et il nous quitta.
" Steve, c'est toi le vendeur, met lui ses chaps. " Dit mon père.
Il s'agenouilla à mes pieds, attacha la culotte à mes hanches et commença à remonter les fermetures à glissière de mes cuissards. Au dernier, sa bouche était à quelques centimètres de ma queue bandée. Il ne put résister à la tentation d'y goûter en passant sa langue sur mon gland. J'empoignai sa tête et enfonçai ma queue dans le fond de sa gorge chaude.
" Non, pas maintenant, arrêtez immédiatement. " Cria Ken en revenant.
" Mets tes bottes. "
Son ton était tranchant et autoritaire. Il me donna une casquette et attacha des lanières de cuir à mes biceps.
" Qu'est-ce que tu en penses, Guillaume? " Demanda-t-il.
" Il est superbe. Des gants, peut-être? " Répondit-il.
" Oui. "
Maintenant, j'étais habillé des pieds à la tête enfin presque.
" Maintenant, le vendeur, à ses pieds et suce-le. " Ordonna-t-il à Steve.
Celui-ci obéit et s'installa à genoux devant moi.
" Écarte bien tes jambes, domine-le. " Dit Ken.
Je m'exécutai en appuyant mes poings sur mes hanches. Il engouffra ma tige jusqu'au fond de sa gorge et aspira ma queue avec enthousiasme. Après un moment de ce manège, mon père défit la ceinture du garçon et le releva. Évidemment, ses culottes allèrent choir sur le sol, laissant voir une monstrueuse érection. On lui enleva sa chemise, mon père lui ramena les deux bras dans le dos, le fit tournoyer et incliner par en avant. Il lui plaça la tête entre ses jambes.
Ken se pencha et cracha abondamment dans le cul du jeune. J'installai le condom tendu par Ken et sans ménagement, j'enfonçai ma queue.
" T'aimes ça mon cochon, te faire fourrer? Vas-y Éric. " Ordonna Ken
On entendit des pas dans l'escalier. Le jeune paniqua et je tentai de le libérer.
" Continue, fourre-le. Cette putain-là mérite de se faire fourrer. " Ordonna Ken.
Je m'exécutai sans retenue. Les nouveaux arrivants, deux hommes dans le début de la trentaine arrivèrent à notre hauteur, papa se déplaça tout en retenant le vendeur.
" Un de vous deux veut-il tirer un coup? La putain ici ne demande qu'à sucer une queue. "
Un d'eux défit sa braguette et lui présenta sa queue. Steve ne se possédait plus, il en voulait encore et encore. Je toisai les nouveaux sans broncher et soutins leurs regards. Je sortis complètement ma pine de son étui et la replongeai avec force, Steve feulait de jouissance.
Bientôt, ils se relayaient et pistonnaient la bouche de Steve, devenu un pantin sans réactions qui se faisait fourrer par les deux bouts.
Nous étions au bord de l'éjaculation et pendant où je lui emplissais le cul, les deux autres lui aspergeaient le visage de sperme. Il en avait partout. Je lui touchai à peine la pine qu'il éjacula lui aussi. Il tenta de se redresser, mais Ken intervint, il l'empoigna par les bras et l'obligea à s'agenouiller sur le plancher de ciment.
" Il faut te laver maintenant, tu es tout couvert de foutre. "
Ken s'installa devant lui, sortit sa queue et lui pissa dans la face. Steve ouvrit sa bouche en quête de giclées de ce nectar. Papa se joignit à Ken et ils inondèrent d'urine le pauvre vendeur.
Il demeura à genoux devant nous tête basse, il était imbibé de pisse. Une personne descendit les escaliers, le gérant arrivait. Steve, même s'il n'était pas responsable de sa situation, était effrayé, il craignait les conséquences. De grande stature, d'une cinquantaine d'années et tout de cuir vêtu, il s'approcha :
" Qu'est-ce qui se passe ici? "
" Ta putain avait besoin d'un job de plomberie et d'une bonne douche. " Répondit Ken.
" J'espère que le job a été bien fait. " Dit-il.
" Je te parle la putain, le job a-t-il été bien fait? " Cria-t-il.
" Oui. " Bredouilla Steve.
" Parfait. Lève-toi et sers les clients, il y a les factures à compléter et ces deux messieurs ont d'autres achats à faire. De plus, reste comme ça, c'est tout ce que tu mérites, maudit pervers. "
Steve se redressa, regarda tout le monde et sans rire, ajouta : " Ne me demandez pas de vous faire de bons prix en plus. "
On se mit tous à rire. J'enlevai bottes, chaps, harnais et regardai mon père.
" Oui oui, on prend tout. Joyeux Noël, mon garçon. Fais le tour, si tu veux autre chose, on le prend aussi. " Dit-il en m'embrassant avec la tendresse d'un père.
" Merci papa, merci aussi Ken. "
" Je n'ai pas droit à un baiser, moi aussi? " Ajouta Ken.
Je m'approchai et l'embrassai furieusement sur la bouche.
" Merci. "
" C'est vraiment ton père? " Demanda le vendeur.
" Oui et j'en suis fier. "
J'étais toujours nu et me promenais sans gêne dans le magasin au travers de la marchandise et des deux autres clients qui ne cessaient de me regarder. Ken vint me rejoindre et fit le tour avec moi. Je regardais les menottes, les différents objets de cuir et de métal en étalage, les cottes de mailles et les cagoules.
" Laisse cela, nous avons mieux en Angleterre pour toi, tu ne le regretteras pas. "
" J'espère bien être capable de parfaire mon éducation sexuelle avec vous deux. "
" Ton innocence, ta candeur et ton ouverture d'esprit sont des atouts importants, de plus ta réceptivité fera de toi un excellent élève. "
" Je suis prêt. "
" À tout? " Dit-il en regardant mon père.
" À tout. " Répondis-je en soutenant leur regard.
" Tu t'embarques dans quelque chose de gros. " Dit mon père.
" Je le sais et j'assumerai ma décision. "
On ajouta des pinces à seins et des petites pesées, un collier-de-chien et un jacket en cuir.
Le vendeur était toujours dégoulinant de pisse, mais affichait un air triomphant. Le gérant passa derrière lui avec un godemiché et il le présenta à l'entrée de ses fesses.
" Écarte tes jambes. " Ordonna-t-il.
Il entra l'objet dans le cul de Steve les yeux fermés tendant son derrière.
" T'es vraiment une pute. Attends, je vais te préparer un uniforme de travail, je ne veux pas avoir à payer pour un autre job de plomberie. " Dit-il.
Il se promena dans les allées, il ramassa, un harnais, une paire de bottes et un butt-plug.
" Mets ça. " Commanda-t-il en lui tirant les bottes.
Penaud, Steve se pencha pour les mettre, au même moment, le gérant lui plongea le butt-plug dans le cul.
" Maintenant, pour être certain que tu vas le garder, mets ce harnais. "
Steve plaça le vêtement sur son dos et son boss passa la lanière arrière dans les ouvertures du butt-plug de sorte qu'il puisse demeurer en place peu importe les mouvements.
" Tiens, voici ton nouvel uniforme, à ça on ajoute un collier et on place une laisse sur le comptoir. "
Un nouveau client arriva et étonné, regarda la scène.
" Je voudrais acheter des vêtements en latex, est-ce que vous en avez? " Demanda-t-il.
" Oui, bien sûr. Je vais vous les montrer, si vous voulez me suivre. " Répondit promptement Steve.
Il quitta l'arrière de son comptoir et voulut se diriger vers le fond de la boutique, mais son patron l'arrêta.
" Ce n'est pas comme ça que tu dois faire. À genoux, chienne de pute. " Dit-il d'un ton sec.
Il attacha la laisse au cou de son vendeur et donna l'autre bout au client médusé, mais amusé.
" Maintenant, dirige-le et sers-le bien. "
Il se promenait à genoux, le plug bien en évidence dans le cul et en plus il bandait d'excitation. Le gérant regarda mon père et Ken et dit : " Merci pour tout, je crois que les affaires vont prendre un nouveau tournant, vous m'avez donné plein d'idées. "
" Ç'a été un plaisir de pouvoir vous aider tous les deux. "
Nous avons quitté la boutique laissant les trois clients avec le vendeur et le gérant.
" On va prendre un café ou une bière quelque part? " Dit mon père.
" Éric, connais-tu un gentil petit bar dans le coin? " Demanda Ken.
" Prends à gauche sur Clark, je connais une taverne près d'ici. "
À destination, nous avons commandé un pichet et avons entamé la conversation sur les derniers évènements.
" Aimes-tu les achats? " Me demanda mon père.
" C'est sûr. "
" As-tu aimé la séance de baise? Je crois que le vendeur a aimé aussi. " Interrogea Ken.
" Oui, j'ai aimé, la sensation de domination était agréable, mais je ne suis pas nécessairement confortable dans cette situation, par contre il est évident que cela a plu à Steve. J'aimerais être petit oiseau pour voir ce qu'ils font maintenant. "
" Dans ton for intérieur, en pensant bien à ce qui est arrivé, aurais-tu préféré être à la place de Steve? " Demanda Ken.
Je pris le temps de bien réfléchir avant de répondre.
" C'est vrai que j'ai aimé dominer le gars devant tous les autres, par contre, je crois que j'aurais également aimé être à sa place. En tout cas, j'aimerais tenter l'expérience. "
" Quand tu viendras habiter chez nous, tu pourras l'expérimenter. " Ajouta mon père.
" Tout ce qui s'est passé m'a beaucoup excité et il y a un gars dans le fond qui ne demande pas mieux, je crois, que d'apaiser mon érection. Je reviens. "
Cela dit, Ken se leva et disparut dans la salle de toilette.
" Tu ne m'as pas encore donné ton appréciation de Ken, mon garçon. "
" J'attendais le moment, c'est tout. Il me plaît bien et je crois que vous êtes bien ensemble, vous vous complétez très bien. Je ne détesterais pas baiser avec lui, tu sais et lui aussi. "
" Oui, je crois l'avoir deviné, mais tu lui résistes, pourquoi? "
" Avant, j'aimerais passer quelque temps seul avec toi, reprendre une partie du temps perdu, comme je te le disais hier. Je vais vous rejoindre en Angleterre, je suis conscient que je vivrai chez vous avec vous deux, j'aurai à le satisfaire évidemment. Chose dont je ne saurais me plaindre, mais j'aimerais ne pas avoir à te partager pendant un moment. Est-ce beaucoup demandé? "
" Non, évidemment. Écoute, tu termines tes cours en mai, je prévoyais te faire prendre l'avion à la fin de juillet, car je dois me rendre deux semaines en Écosse au début du mois, mais rien ne t'empêche d'arriver en juin. "
" Mes amis me parlent des voyages de pêche qu'ils font avec leur père, et c'en est devenu un fantasme pour moi. "
" Oups! La pêche? Je ne connais pas vraiment, mais ce pourrait être intéressant en effet. Regarde ce que je te propose : tu finis tes cours la deuxième semaine de mai, tu prépares ton départ dans la semaine suivante, la dernière semaine de mai, je reviens pour le voyage de pêche et à notre retour, nous partons tous les deux pour Londres. Qu'est-ce que tu en dis? "
" Ça me convie parfaitement, mais Ken? "
Au même moment. Ken revint, l'air comblé. Papa l'informe de l'offre qu'il venait de me faire et celui-ci sembla ravi.
" Pendant ce temps, je préparerai ton arrivée. Il va falloir faire certaines transformations au loft, tu sais, nous n'avions pas prévu avoir d'enfant. " Dit Ken en riant.
" C'est comment chez vous et où habitez-vous à Londres? " Demandai-je.
" Nous habitons le dernier étage d'une vieille fabrique dans le nord du quartier de Soho. Nous sommes entourés d'immeubles résidentiels qui ont une vue plongeante sur notre appartement. " Dit mon père.
" Soho est un quartier gay au centre de Londres, avec Internet tu pourras faire des recherches. Nous sommes tout près de Soho square. " Dit Ken.
" C'est fait comment chez vous? Je ne voudrais pas vous faire faire des dépenses inutiles. "
Les deux se regardèrent, je sentais leur hésitation à parler.
" J'espère que vous ne commencerez pas à me faire des cachettes. Si je vais habiter dans votre appartement, je veux vivre comme vous, sinon, je reste ici. "
" C'est très clair. Guillaume, on ne lui fait pas de secret. "
" OK mon garçon. Nous avons tout le quatrième et dernier étage d'une manufacture. On y accède grâce à un ascenseur débouchant au centre de l'appartement. En fait, tout est concentré dans le centre de l'appart, les armoires de cuisine, les placards, les appareils sanitaires, douches, bains, toilette. Nous avons des vitrines tout autour de l'immeuble et nous n'avons aucun mur. "
" Je suppose que vous n'avez pas de rideaux non plus et vous vous promenez à poil. "
" En effet, mais nous te construirons une chambre, n'ai aucune crainte. "
" Je vous l'ai dit, si je vais rester chez vous c'est pour vivre comme vous. Je n'ai aucune pudeur. Baisez-vous devant tout le monde? "
" Oui, à l'occasion. " Répondit mon père.
" En fait, nous sommes situés dans l'édifice central et les quatre autres bâtisses nous entourant, sont à nous. Nous choisissons les locataires qui ont une vue. " Ajouta Ken.
" Ce doit être excitant, se savoir regardé en train de baiser. "
" Nous faisons des soirées aussi. Nous recevons à dîner et quelques fois, je dirais même la majorité du temps, le tout fini par une partouze. "
" Je sens que je vais me plaire chez vous. Rien qu'à y penser, je bande. "
" Ta mère t'a bien éduqué. "
" Elle a pris ta relève, tu n'étais pas là, maintenant tu dois, non, vous devez m'apprendre ce que je ne sais pas. "
" Tu me fais plaisir. " Dit Ken.
" Pas de quoi. "
" Bon, on y va? " Demanda mon père.
Rodrigue