Alors que le service militaire était encore d'actualité, il fallait bien se rendre compte que pour certains c'était l'occasion qui leur permettait de sortir du cocon familial. Pour d'autres qui avaient été internes dans un lycée ou pension le cocon familial était une obligation pendant les vacances, mais le restant du temps c'était aussi un moment de liberté malgré les contraintes des cours et des pions.
Pour moi l'armée fut un moment de pur bonheur, une année à faire des rencontres très positives sur tous les points. J'avais depuis pas mal de temps déjà un copain qui venait deux fois par semaine se faire pomper il était aussi blond que moi j'étais brun aussi maigre que moi j'étais un peu rond. Il avait une queue plus longue et que la mienne et surtout plus grosse. Mais de toute façon il était rare qu'il me la touche, il préférait que ce soit moi qui m'occupe de la sienne et je trouvais que ce n'était pas assez, mais plus aurait pu attirer l'attention des voisins.
À l'armée quel ne fut pas mon plaisir de prendre des douches communes avec des jeunes de mon âge. Que de regards en biais lorgnant sur les attributs de mes camarades, que de masturbations le soir lorsque tout le monde dormait ou faisait semblant de dormir !
Un jour que nous avions une corvée à faire à deux et que nous devions rendre compte, nous étions deux et nous avions oublié une action à faire. Donc passage au bureau du sous-officier et donc punition qui sera révélée plus tard dans la semaine. Tous les deux nous attendions cette sanction lorsque, le jeudi, au moment de poser nos permissions, que l'adjudant nous convoqua dans son bureau.
Notre blâme venait de tomber il fallait rester pour faire la vaisselle du reste du camp militaire, nous devions être présent à tous moments dans la caserne, et plus principalement dans notre chambre sauf bien sûr au moment des repas ou nous devions être à la plonge.
Le vendredi soir nous étions tous les deux à regarder partir les autres bidasses de notre section. Nous nous retrouvâmes tous les deux en chambre, à attendre le moment du repas. Pour être sur que nous restions bien enfermés dans la section un officier ou sous-officier pouvait nous appeler à tout moment par téléphone et nous devions répondre, si ce n'était pas le cas nous devrions nous justifier le lundi auprès de nos supérieurs. Donc plutôt que de se retrouver encore punis nous prîmes la sage décision de respecter la sanction et de rester sagement dans notre chambre (enfin sagement pas tant que ça). Après la vaisselle du vendredi soir nous étions tous moites de sueur et donc nous décidâmes de prendre une douche, mais bien sûr il fallait qu'un de nous reste dans la chambre au cas ou le téléphone sonnerait. Mon collègue Thomas me demanda si je voulais bien qu'il y aille en premier, chose qui ne me dérangeait pas du tout. J'avais ma petite idée derrière la tête et il fallait que j'arrive à mes fins. Il partit donc à la douche et lorsqu'il revint trente minutes plus tard ce fut mon tour de partir, mais pour me rendre aux douches je partis en slip faisant bien attention de lui faire remarquer ma tenue assez provocante surtout avec la barre devant que j'avis fait grossir pendant son absence.
En revenant je rentrais dans la chambre nu et lui fis la remarque suivante :
- Qu'est-ce que c'est bon de se taper une queue, se serait encore meilleur si c'était une autre main qui le fait.
- Toi aussi tu penses que c'est meilleur, moi tout à l'heure, je me suis masturbé sans grand entrain.
- Pourtant tu as giclé sévère le foutre coulait encore des parois, j'ai trouvé conséquent la quantité pour ta bite qui n'a pas l'air si grosse que ça,
- Tu plaisantes 18 cm en pleine érection si tu trouves que ce n'est pas beaucoup tu l'aurais ou je pense tu ne dirais pas pareil.
- Ça tu ne sais pas ce que je dirai puisque tu n'as pas encore essayé, moi je suis partant si tu veux bien.
Il vint s'asseoir à côté de moi, me tourna la tête vers lui et en me regardant das les yeux il me dit :
- Tu es sûr, moi, depuis que nous sommes rentrés ensemble sous les drapeaux je rêve de ton petit cul alors si tu dis oui pour moi je veux bien être ton homme pour toute notre punition, mais attention jamais un mot à personne.
Pour toute réponse je déposais mes lèvres sur les siennes et on s'embrassait pour la première fois, mais je vous rassure pas pour la dernière puis, le sentant très à l'étroit dans son jogging je me mis à genoux devant lui, le fit se lever un peu pour faire glisser son jogging et son caleçon, sa queue claqua contre son ventre tellement il bandait, il se rassit et je pris l'objet de mes désirs dans ma bouche et je la pompais, pompais. Il ne tarda pas à gémir de plaisir. Quelques minutes après avoir commencé ma pipe je sentis grossir sa queue en bouche, elle grossit encore et je compris que j'allais avoir ma récompense. Il essaya de sortir de ma bouche, mais je mis à aspirer tant et si bien qu'il explosa et vida sa semence dans ma bouche. Je continuais à le pomper et à lui nettoyer la queue avec ma langue. Sentant que sa queue restait bien dure et bien grosse je reprenais une pipe plus doucement et plus sensuellement. Il me caressait mes cheveux et lorsque je sentis grossir sa matraque je savais que j'allais avoir une seconde récompense, et heureux de la recevoir. Il cria son plaisir en se vidant une deuxième fois dans ma bouche, une quantité aussi importante que la première fois. Il me fit relever et me roula une pelle passionnée.
- Jamais personne ne m'a pompé comme tu as fait et tu es une vraie chienne tant que tu n'as pas ta ration de foutre tu ne lâches pas. Viens dans mes bras que je te fasse un câlin. Tu mérites une récompense.
- Dis-moi, tu en lâches toujours autant de foutre chéri, je crois que je vais avoir ton biberon très souvent en bouche ou dans ma chatte, tu viens de gicler trois fois de suite avec les giclées de la salle de douche.
- Tu es vraiment tellement bonne avec ta bouche que c'est la première fois que j'arrive à cracher 3 fois de suite, t'es la reine de la pipe.
Patoche
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