J'avais tout juste 18 ans lorsque j'ai devancé l'appel pour me libérer de mes obligations militaires. C'est donc début décembre que je suis parti de chez moi pour rejoindre une célèbre école de sous-officiers d'active. Nous étions en 1983.
Arrivé dans la caserne, je suis incorporé dans la musique, mais avant il fallait faire les classes, apprendre à jouer au petit soldat en compagnie de mes camarades aussi novices que moi. Sport tous les matins pendant deux heures et ensuite douches communes surveillées par un sous-officier étaient obligatoire. Déjà lorsque j'avais été interne au lycée, je m'étais rendu compte que j'aimais regarder les mecs en slip, ou en caleçon, et donc sous les douches militaires je pouvais encore mieux profiter du spectacle, car nous étions obligatoirement nus. Certains restaient indifférents, d'autres avaient certaines réactions qui laissaient présager que je n'étais pas le seul à avoir des goûts particuliers, du moins le pensais-je !
Alors que nous devions rester bloqués dans nos chambres et nettoyer les fusils de l'armurerie pour nous occuper, un camarade rentré le même jour que moi semblait vouloir me tenir compagnie et que nous soyons côte à côte pour discuter. Il s'appelait Pascal et j'étais loin de penser à ce qui allait se passer. Nous avons passé l'après-midi à discuter de nos familles. Lui était fils d'agriculteur et il pensait en sortant travailler avec son père et plus tard reprendre l'exploitation agricole, n'ayant ni frère ni sœur. Il m'invitait un week-end à venir le passer chez lui pour faire le tour de l'exploitation familiale. Bien sûr j'acceptais sans vraiment donner de date, trouvant l'invitation courtoise. Le samedi soir l'adjudant-chef autorise une permission à toute la chambrée pour avoir nettoyé notre cota de fusils. Moi n'aimant pas trop sortir je décide de rester dans la chambre. Pascal décide d'en faire autant.
— Tu sais si tu veux sortir tu peux, je peux rester ici tout seul !
— Non Patoche je n'aime pas les boîtes de nuit et je veux me reposer !
— D'accord !
Et nous en restons là. Je décide d'aller aux douches, prends ma serviette et mon savon et je vais faire mes ablutions. Quelques instants plus tard, la douche en face de moi se met à couler et je vois Pascal nu sous la douche. Il est en érection, me regarde, me sourit. Je change de douche et vais le rejoindre, devant lui je me mets à genoux et en le fixant dans les yeux je prends son sexe en bouche et je commence des va-et-vient doux et tendres. Il me caresse les cheveux, je lui caresse les couilles et je le pompe (nous n'avions pas encore entendu parler du sida) avec la ferme intention d'avoir ma récompense. Une bite de 19 centimètres sur 5 centimètres de circonférence rentre et sort de ma bouche. Il me biffle, il aime me voir ouvrir la bouche et chercher à gober son pieu, il aime son côté dominateur, et moi j'aime ma position de soumis. Il gémit de plaisir tellement je m'applique à lui faire du bien, voulant absolument ma récompense.
— Pompe cochonne, tu vas me faire gicler. Tu vas avaler mon foutre tu verras c'est bon, on va se régaler.
Je ne pouvais répondre à ses phrases que par des grognements, ma bouche étant pleine de sa queue.
J'ai senti sa bite dans ma bouche grossir encore plus et pour avoir déjà essayé les fellations, avec d'autres mecs, je savais que le jus de mon nouveau pote allait m'arriver dans la bouche et humecter mes amygdales.
— Salope je me vide avale tout, putain que c'est bon, allez nettoie ma queue que je te fasse la même chose.
Il eut des gestes désordonnés, flageolant sur ses jambes, dans un râle il venait de se vider, son divin nectar me donnant ma récompense et faisant de moi son copain amant.
Il sortit sa bite de ma bouche et me biffla deux trois fois. Cette queue était bonne et je ne la voulais pas que dans la bouche. Il me fit me lever et s'agenouilla devant moi et il me rendit la politesse. Ma queue n'avait rien à voir avec la sienne, monté plus petit, 13x3.5 j'ai plus souvent pompé qu'être pompé et le rôle de soumis me convient bien je préfère être à genoux devant un homme que d'avoir un homme à genoux devant moi avec ma queue dans sa bouche, mais là je ne pouvais lui refuser. Lorsque je lui ai rempli la bouche à mon tour, sans le prévenir, il en avala une partie, mais il en garda un peu en bouche, puis il se leva et nous nous embrassâmes comme aucun autre copain ne m'avait embrassé jusque-là. Souvent les copains que je pompais ils venaient se faire sucer lorsque leurs petites amies étaient indisposées. Moi j'étais toujours partant tellement j'aimais jouer avec leurs pieux.
Avec Pascal nous nous sommes lavés mutuellement bien sur nous promettant de refaire de tendres câlins tous les deux dès que nous en aurions l'occasion. Si nous n'avions pas l'occasion, nous la provoquerions, car nous ne voulions pas attendre trop longtemps. Ce que nous venions de vivre était bon et intense et nous voulions continuer. Pascal m'avoua avoir eu un coup de foudre en me voyant et moi sous la douche collective j'avais remarqué ce pieu tendu, mais tellement appétissant. Le week-end suivant, il m'invita chez lui dans sa ferme, ce que bien sûr j'acceptais avec un énorme plaisir et une grosse érection, qu'il ne manqua pas de remarquer. Il me sourit et doucement il me dit à l'oreille "je vois que mon invitation ne te laisse pas de marbre chéri.
Dans la semaine, en attendant de nous retrouver chez lui le vendredi soir, nous avions pu trouver des moments pour nous embrasser et nous sucer mutuellement, à l'abri des regards de nos autres camarades de chambre.
La suite prochainement, j'attends vos commentaires.
Patoche
patoche1624@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :