Bonjour
Je me prénomme Alain et cette histoire qui a duré plusieurs années est (presque) vraie.
Bi dans ma jeunesse, je me suis vite aperçu que je pensais comme une femelle et depuis lors, je n'ai eu que des relations en tant que passif un peu soumis.
Célibataire, à 30 ans, j'ai dû, pour mon travail, "m'expatrier près de Lyon" ou je trouvais une location dans un immeuble cossu avec concierge. Concierge qui, il faut l'avouer, m'avait "tapé dans l'oeil dès que je l'ai vu. La petite quarantaine, assez grand, brun, il se dégageait de lui une autorité naturelle dans tout ce qu'il entreprenait. J'étais sous le charme, mais, mon travail me prenant beaucoup de temps, nos "relations" restèrent pendant deux mois du domaine du rêve.
Un soir, en rentrant du bureau, je tapais à sa porte pour savoir s'il n'y avait pas eu de courrier pour moi. Personne ne répondant, et la porte étant entrouverte, j'entrais dans son appartement.
- monsieur Robert, monsieur Robert...
Ma voix fut certainement couverte par un bruit qui venait de la chambre du fond. Je m'approchais doucement et tombais sur un spectacle qui me figeât sur place. Monsieur Robert, nu sur son lit, matait un film sur une petite télé. Ce film devait être excitant, car mon concierge se branlait doucement en commentant l'action qui s'y déroulait.
- Salope ! Qu'est-ce qu'il prend dans le cul !
Je compris que c'était un film gay, et j'avoue que voir cette belle bite aller et venir dans sa main m'excitait au plus haut point. Quel beau spectacle, je ne résistais pas à me toucher à travers mon pantalon. Il avait du commencer depuis un moment, car, l'excitation à son comble et dans un cri de jouissance, mon concierge tendit sa queue dans un déferlement de jus qui se répandit sur son torse et sur son ventre. J'avais rarement vu une telle quantité. Pour un amoureux de foutre comme moi, c'était une vision magnifique. Tout à coup je pris conscience de ma "situation" et voulus partir discrètement. Hélas je bousculais une table basse qui ne manqua pas d'attirer son attention.
- Eh toi, stop ! je me figeais sur place.
- Qu'est-ce que tu fous là ? Arrive ici !
Je m'approchais la tête basse
- Pardon monsieur Robert, je ne voulais pas vous déranger...
- C'est çà, oui ! Tu ne voulais pas me déranger, mais tu rentres chez moi et tu me mates ! Je me doutais que tu étais une pédale, espèce de salope !
- Non, non, je vous en prie, je ne dirais rien à personne !
- Avoue, salope, avoue que tu t'es une pédale !
- non, non, je vous en prie...
Et je pris ma première baffe
- t'en veux une autre, sale pute ?
Vaincu, je dis doucement
- Oui, c'est vrai, je suis une pédale.
- Ça tombe bien, maintenant, tu vas me nettoyer la bite, salope, allez, à la suce !
En me tenant par la nuque, il approcha sa bite de mon visage
- Allez, cochonne, nettoie !
J'avais tellement rêvé de cet instant que je n'allais pas faire ma mijaurée. J'ouvris la bouche et engloutissais son membre encore un peu raide malgré l'éjaculation postérieure. Il avait gout à sperme, mais cela me plaisait et je m'appliquais du mieux possible pour le satisfaire.
- Oh putain, tu suces bien, ma salope, on voit que tu aimes çà, hein cochonne ?
- oui, lui dis-je en le regardant, j'aime çà ! J'aime sucer ! ET j'enfonçais à nouveau son chibre au fond de ma gorge.
Cela le refit bander et je pus apprécier la fermeté et même la dureté de son membre que je suçais maintenant avec un plaisir non dissimulé. A genoux devant lui, je lui fis une gorge profonde.
- Ah salope, tu vas me faire encore juter, putain, tends ta langue, que je te gicle sur la gueule !
Je lui obéis et reçus sur le visage et dans la bouche une bonne dose de sperme que je m'empressais d'avaler.
- Ah cochonne, maintenant que je sais que tu es une bonne salope, je vais pouvoir en profiter. Tu vas devenir ma femelle, ma pute. Tu reviens demain soir
et je t'expliquerai ce que j'attends de toi. Maintenant, dégage, j'ai du travail ! me dit-il en me claquant les fesses.
Je remontais chez moi, troublé par ma passivité. Ma raison me disait de ne pas y aller, mais tout mon corps réclamait déjà de me précipiter chez lui pour me soumettre encore davantage.
Que feriez-vous à ma place ?
Aline
alainsoum34@gmail.com
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