Premier épisode
Le lendemain, je fus partagé entre la honte d'avoir si facilement cédé à cet homme que je ne connaissais pratiquement pas et l'excitation que me procurait le souvenir de cette séance. À la fin, je dus admettre que mon désir d'aller plus loin était le plus fort. Me traitant intérieurement de salope, je me préparais en conséquence et sonnais, un peu tremblant, à la porte de mon fantasme.
Il ouvrit, mais ne me laissa pas rentrer.
- Ainsi, tu es revenue, salope.
- Oui, comme vous m'avez dit !
J'étais devant sa porte et j'avais peur qu'on puisse nous entendre. Mais il continua.
- Je ne te l'ai pas dit, je te l'ai ordonné et tu as obéi, grosse pute ! Tu as obéi à ton maitre !
Impatient qu'il me laisse rentrer, je dis "oui" dans un souffle, mais cela ne lui suffit pas.
- Dis-le salope, que tu as obéie à ton maitre !
- Oui, maitre, je vous ai obéi.
Bien que cette situation me gênait terriblement, elle m'excitait aussi et je ne pouvais m'empêcher de bander, ce dont il s'aperçut et en profitât pour assoir encore sa domination.
- À poil, salope, tu ne rentreras que quand tu seras complètement à poil !
Je frémis sous cette injonction sachant bien qu'à tout moment, quelqu'un pouvait me surprendre dans cette posture, mais admettant intérieurement ma condition de soumis, j'obéis rapidement et c'est complètement nu que je pénétrais chez lui, mon sexe tendu lui prouvant mon consentement.
- À genoux, salope, à quatre pattes, tends ton cul ! Ce soir, je vais faire de toi ma femelle soumise ! Alors tu vas commencer par dire que tu le désires !
- Oui, maitre, je le désire.
Et je reçus mon premier coup de martinet sur les fesses.
- tu désires quoi, la pute ! et un deuxième coup de martinet
- Je désire devenir votre femelle soumise, maitre.
- À partir de maintenant, tu parles de toi au féminin, tu es une chienne, une pute, une salope obéissante, OK ?
- Oui, maitre, je suis Aline, votre salope obéissante. J'avais basculé dans ma condition de soumise et ce fut moi, qui, de mon plein gré, me soumis encore plus.
- Je suis là pour vous servir, maitre ! pour vous sucer la bite et avaler votre jus ! Ma bouche et mon cul sont à votre disposition, maitre, faites de moi ce que vous voulez ! je suis votre pute !
Je fus surpris moi-même d'avoir prononcé cette phrase, mais, d'un autre côté, j'étais heureuse de l'avoir fait et ainsi, de ne plus pouvoir revenir en arrière. J'étais une salope, il fallait que j'assume.
J'étais toujours à quatre pattes, cuisses écartées et trou offert. Il se tenait derrière moi, et il promenait sa bite dans ma raie, doucement, comme un prédateur sûr de tenir sa victime.
- Tu es ma femelle et je vais te féconder, cochonne.
Il faisait durer le plaisir. Je tortillais du cul pour essayer de l'exciter un max.
- Demande, salope, demande à ton maitre de t'enculer !
Je n'en pouvais plus d'attendre. J'avais trop envie de sentir ce chibre me pénétrer enfin.
- Oui, maitre, s'il vous plait, niquez-moi, pitié, enculez-moi, j'ai trop envie ! pitié !
- Tiens, salope, prends tout ! Et il s'enfonça jusqu'aux couilles d'un seul élan, ce qui me tira d'abord un cri de douleur, mais qui se transforma vite en soupir de jouissance tellement j'étais sous son emprise.
Dans un rythme assez lent au départ, il retirait presque entièrement sa bite de mon trou pour le renfoncer à fond. J'étais submergé par le plaisir et l'excitation et me mit à l'encourager.
- Oh oui, maitre, c'est trop bon ! Oui, oui, encore ! J'aime çà ! Allez-y, maitre, je suis votre pute, votre femelle ! Enculez-là ! Éclatez-moi, le cul !
- Ah, salope, je vais remplir ton trou à bites, sale pute ! Et il me bourrina ainsi de longues minutes. J'étais totalement dans les vapes. C'était trop bon et je jouis sans même me toucher.
- Ah, maitre je jouis, je jouis du cul ! ahhhhh
Est-ce cela qui déclencha sa jouissance, je ne sais, mais je le sentis le tendre au fond de moi et déverser une quantité impressionnante de foutre dans mes entrailles.
Affalés sur la moquette, nous restâmes ainsi quelques minutes pour reprendre nos esprits. C'est lui qui reprit l'initiative.
- N'oublie pas de nettoyer la bite de ton maitre, salope, dit-il en se tournant sur le dos.
Je me précipitais sur son sexe mi-dur et léchais avec délectation l'objet de mon désir. Pendant ce temps, il m'enfonça deux doigts dans le cul rempli de foutre et me les fit lécher sous ses yeux pervers.
- Ah, cochonne, tu aimes ça, le foutre, hein, salope ?
- Oui, maitre, dis-je en le regardant et lui montrant ma langue passer sur ses doigts visqueux.
Et ce petit jeu dura jusqu'à ce que plus une goutte de sperme sortit de mon cul.
- Je sens que je vais faire de toi une bonne pute. Je vais bien te dresser. Allez, maintenant, dégage ! Tu reviens quand je te siffle.
- Je suis à votre disposition, maitre, tout ce que vous voudrez.
À bientot, peut-être
Aline
alainsoum34@gmail.com
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