Bonjour à tous, je m'appelle Jean-Baptiste et je vous passe mes autres prénoms tous plus chelous et ringards les uns que les autres. Je suis le troisième d'une famille de quatre enfants, tous nés avec " une cuillère en argent dans la bouche " selon l'expression mais moi, j'ai toujours été le rebelle de la famille... ou plutôt de la dynastie ! Déjà, je suis né un 24 décembre il y a 27 ans et, dès mon plus jeune âge, alors que la famille se réunissait pour aller à la messe de minuit, je refusais d'y aller jugeant que j'avais mieux à faire le jour de mon anniversaire ! A l'école, je prenais systématiquement et automatiquement la défense des opprimés ce qui m'a valu quelques exclusions. En fait, je trouvais que je me marrais plus qu'avec les enfants des amis de mes parents, en plus, ils étaient moins faux-cul. Bon, je vous passe l'inventaire de mes conneries pour en arriver à ce qui vous intéresse tous : le cul !
Ben ça, je l'ai découvert avec une amie de ma mère, une MILF trop bonne qui m'a dépucelé et qui a fait de moi un homme, comme on dit ! Après y avoir goûté, j'ai voulu la baiser sans arrêt mais elle a dû me freiner, son mari commençait à se poser des questions, il s'est jamais douté que je pouvais être celui qui tringlait sa femme :-)
Ça a eu un effet radical sur moi, j'ai changé de look d'abord, histoire de m'arranger un peu et je me suis occupé de mon corps en me mettant sérieusement au sport pour le sculpter un peu. Ma famille n'a rien compris mais tout le monde a trouvé que cette " nouvelle lubie " allait, pour une fois, dans le bon sens. Vu que je mesure 1m84, je me suis musclé et j'ai maigri pour atteindre les 75 Kg, mes cheveux châtains se sont raccourcis et disciplinés, j'ai laissé pousser une petite barbe bien entretenue, des verres de contact ont remplacé mes lunettes pour mettre en valeur mes yeux verts. J'ai revu un peu ma garde-robe, mon style grunge négligé et démodé a fait place à des fringues un peu plus classe mais pas trop. Les potes et les cousins qui m'avaient perdu de vue pendant une année n'en revenaient pas ! Je ne suis pas Mister Univers mais j'ai mon petit succès ^^. Vite, j'ai remarqué que ça marchait avec les meufs et aussi avec les mecs. J'ai bien vite essayé pour voir, d'abord en actif puis, toujours par curiosité, en passif. Si bien que je suis devenu bi versatile !
Mon père, tradition familiale oblige, a absolument tenu à m'inscrire à un club de tennis. Moi, par esprit de contradiction, j'ai toujours freiné des quatre fers et je pense n'avoir jamais fait le moindre progrès ! L'année de mes 21 ans, mon père a pété un câble et m'a dit : " Coûte que coûte, tu vas progresser, je vais t'inscrire à des cours chaque matin ! ", " Comme il vous plaira père, les désirs de Sa majesté sont des ordres, il va s'en dire ! ", ai-je répondu, le genre de remarque qui lui hérisse le poil.
Vu que la maison dispose de son court privé, c'est le " prof " qui venait. Ça me rend vénère ce genre de passe-droit, ce que mon père sait parfaitement ! Tout ça m'a vite gavé, le prof aussi d'ailleurs, il a fini par me proposer de venir avec un pote qui n'habitait pas loin, ils jouaient ensemble et moi, je faisais autre chose, tout allait bien. J'ai remarqué un drôle de manège entre eux deux, une impression, des regards, des frôlements... j'ai donc décidé de les espionner un peu et, effectivement, entre deux échanges, il y avait quelques roulements de pelles, des caresses, des mains aux fesses... Je n'avais aucune expérience homosexuelle mais ce que je voyais faisait bien dresser mes 18 cm, j'imaginais ce qu'ils allaient faire ensemble en partant, je leur dois quelques séances de branle !
Un jour, le prof téléphone juste avant le cours disant qu'il a un empêchement. Il voulait prévenir son pote que je le voyais arriver dans l'allée, je lui ai donc dit que je m'en chargeais. Le mec me prend de haut : " Ah ben, c'est pas grave, je vais pas rester là à jouer avec toi, t'es trop nul c'est vrai ! ", là, il m'a piqué, ben oui les mecs, l'orgueil vous connaissez ! Du coup, j'ai pris mon petit air arrogant et provocateur pour lui répondre : " Ah, parce que vous trouvez quand même le temps de jouer ? ". Il a marqué la surprise, ses joues sont légèrement devenues roses, il a essayé de garder une certaine contenance et un air détaché pour dire : " T'es vraiment un gros mytho en plus d'être un gosse pourri ! ", ça m'a fait ni chaud ni froid, j'ai enchaîné : " Je me demande, vous jouez la sodo en trois sets alors ? Tu dois prendre cher toi vu que tu te fais laminer à chaque fois ! A moins que tu le fasses exprès ! "
J'ai rien vu arriver, le con, il a été super rapide, il m'est tombé dessus, m'a plaqué au sol, s'est couché sur moi et, à l'oreille, m'a dit : " Putain les sales gosses dans ton genre, je les kiffe pas des masses, t'as besoin d'une bonne leçon ! Tu seras pas le premier et je parie que, comme des supers amis pétés de thunes, tu dois être une bonne salope ! ", il me maintenait fermement mais comme j'étais en colère, j'ai rajouté : " Ah parce qu'en plus t'es un escort ? Vas-y, c'est quoi tes tarifs ? ", " Connard, c'est toi qui va prendre cher !!! ". Mon survêt était déjà sur mes mollets avec mon boxer et mon T-shirt volait dans les arbustes.
Il a commencé à m'embrasser dans le cou, ses mains ont caressé mon torse, mon ventre et ont attrapé ma queue : " Putain, je le savais, tu bandes ma salope, t'aime ça la bite ? T'inquiète, tu vas en avoir ! ". La situation, son ton dominateur et le barreau de chaise que je sentais coulisser entre mes fesses ont fini de me faire céder à mon " agresseur ". J'ai retourné la tête vers lui, il m'a embrassé, son souffle était fort et puissant, le mien aussi d'ailleurs, je commençais à onduler du bassin, je cambrais mon cul, ses doigts ont commencé à me triturer les tétons ce qui m'a fait gémir.
Nos lèvres se sont décollées, il m'a souri et m'a dit : " Je savais qu'on allait s'entendre tous les deux ! ". Là, il est descendu en embrassant mon dos, il s'est attardé dans le creux des reins, ses mains caressaient mon torse, je kiffais grave !
Je ne me souvenais pas d'un anulingus de ouf comme celui-ci. Je pensais pas qu'une langue puisse faire des choses comme ça, puisse prendre possession de tout mon corps en me léchant le trou et en entrant en moi. Franchement, j'aurais voulu qu'il ne s'arrête jamais, j'aurais pu jouir comme un malade rien qu'avec ça ! J'en avais des bouffées de chaleur, des spasmes, j'émettais des petits cris et des gémissements incontrôlés, j'étais à lui, entièrement.
Je crois que j'ai pas senti quand il se relevait mais il m'a relevé les jambes pour me mettre à 4 pattes, son gland s'est posé sur mon trou, il a poussé, mon sphincter s'est ouvert, ses mains se sont posées sur mes hanches, il m'a tiré contre lui tout en poussant pour enfoncer ses 19cm de virilité en moi. Ses couilles se sont posées sur mes fesses, il a stoppé tout mouvement, je l'ai juste entendu expirer longuement et dire : " Oh Putaaiiiin ! ".
Après quelques secondes, il a commencé les va et vient, j'ai senti ses pouces qui écartaient mes fesses pour ouvrir mon trou et là, j'avoue qu'il y est allé sans ménagement. J'ai pris cher pendant de longues minutes. Il me cramponnait fortement et me donnait de bons coups de reins qui faisaient claquer ses couilles et ses abdos contre mon corps.
Je me souviens qu'on a eu super chaud, nos corps ruisselaient de sueur, mes genoux me faisaient mal mais je ne voulais pas le lui dire tellement c'était bon, son souffle s'accélérait, mes râles aussi, ses gouttes de sueur tombaient sur mon dos. Ses mains sont remontées le long de mon torse, son ventre est venu se coller à mon dos, sa langue a léché mon oreille, je sentais son souffle dans mes cheveux, il a accéléré puis, dans une sorte de râle bien rauque il a laissé échapper : " Arrrrghhh, je jouiiiiiis ! ".
C'était la première fois que je me faisais féconder, avec mes deux autres précédents partenaires, on avait mis une capote, j'avoue que là, on n'a pas eu le temps d'y penser. Il est ressorti, j'ai senti un peu de son jus couler le long de mes cuisses, je me suis redressé et je lui ai dit : " J'espère que t"es clean ! ", " Ben oui, t'inquiète ! Putain, t'es un bon coup ! ", " Ben, écoute, suce-moi parce que là, je suis chaud bouillant moi ! "
Je me suis mis sur le dos, il a pris ma queue en bouche, j'ai pas tardé à venir en lui tenant la tête. J'ai craché comme jamais ! J'étais essoufflé comme après un marathon.
Il est remonté pour s'allonger à côté de moi, on est resté silencieux un moment puis on s'est levé, on est allé piquer une tête dans la piscine et il est parti avant le retour de mes parents.
On a pris l'habitude de se retrouver régulièrement pour des pipes et des baises torrides, on se prenait à tour de rôle. Alors que je pensais que cet été allait être une lose totale, finalement, je m'éclatais bien, dans tous les sens du terme ! Seulement, j'ai commis une erreur en disant à mon père que, finalement, les cours de tennis étaient cool, ça lui a mis la puce à l'oreille. Il pensait plus à un plan beuh ou coke, n'empêche qu'il a débarqué un jour à l'improviste et nous a trouvé au pieu, ma queue bien plantée dans le cul de Julien ! Je pensais pas qu'on pouvait débander aussi vite ! Bon là, ça a gueulé fort, la bonne nouvelle est que je n'ai plus entendu parler de cours de tennis. Par contre, j'ai dû aller taffer à sa boîte, sous sa surveillance constante, plus de portable, d'accès à internet et plus de sorties jusqu'à la rentrée, une vie de moine ou de taulard, c'est selon ! Pour la famille, il était temps de " me mettre face à mes futures responsabilités et de m'inculquer quelques valeurs que je ne maîtrisais manifestement pas encore malgré ma majorité ! ".
C'était me prendre pour une quiche que de penser que j'allais faire le bon toutou ! Julien avait eu tellement peur qu'il ne voulait plus me voir : " Je veux plus d'embrouilles, c'était bien mais voilà ! " fut notre dernier contact.
J'ai tenu tout l'été sans broncher, j'ai compris qu'il fallait que je la joue serrée. Ce fut un rapport de forces entre mon père et moi, je ne voulais pas craquer ou lui montrer une quelconque faiblesse, j'ai donc joué le jeu du " fils parfait ", encore mieux que mon frangin, c'est pas peu dire lol.... Du coup, c'est mon père qui est passé pour le méchant qui abusait, il était coincé car ses convictions profondes l'empêchaient de parler et de livrer notre secret. J'ai fini par remporter la partie, en septembre, j'ai échappé à la pension promise le fameux jour et, en la jouant " chouchou à maman ", j'ai même réussi à convaincre qu'un studio serait plus pratique. Il y a eu d'âpres négociations entre mes parents, ils ont trouvé un compromis : je récupérais un studio dans l'immeuble où vivent mes grands-parents, sur le même palier qu'eux. Quand je suis rentré dedans, je me suis dit : " Putain la belle garçonnière !!! "
Chers lecteurs, voici mes premières expériences. Je ne sais pas si vous avez aimé, c'était il y a quelques d'années, depuis, j'ai vécu plein d'autres choses.
Si vous le souhaitez, je vous les écrirai...
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J-Baptiste
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