Salut les mecs.
D'après ce que je lis sur le site, la fin de l'été n'a pas calmé votre libido ! Ça me rassure, vu que c'est la même chose pour moi ^^
Y'a les plans d'un soir, les coups faciles rencontrés sur appli ou dans les lieux de drague, y'a aussi les sex-friends plus ou moins réguliers avec qui, quand même, on tisse des liens qui ne se résument pas uniquement à des échanges de fluides et des onomatopées d'usage dans ces cas-là !
Tout ça rassemblé me comble parfaitement, mais ce qui me fait encore plus vibrer, c'est le grain de sable qui empêche de tourner en rond toute cette mécanique bien huilée.
Le grain de sable s'appelle Romain, autour de 30 ans, cheveux blonds coupés super courts, yeux bleus, mince, plutôt canon, viril, look parfaitement hétéro et sûr de sa sexualité... Tous les signaux qui disent que c'est mort, mais moi, c'est ça qui me fait triper : l'inaccessible lol.
Romain, je l'ai rencontré en avril dernier, il bosse à la chambre de commerce et d'industrie, j'ai eu besoin de le contacter pour des paperasses. Le dossier étant un peu complexe, nous avons convenu d'un rendez-vous qui en a même entraîné un deuxième. Ce mec, dès que l'ai vu, je l'ai voulu ! C'est mon côté enfant gâté, je veux donc j'aurai ! Enfant, il me suffisait de pleurer un bon coup et de montrer un visage dévasté de chagrin avec deux grands yeux pleins de larmes pour obtenir le saint Graal ; avant, j'ai expérimenté les claquements de porte, les coups de gueule, les fugues (pas trop loin quand même !). Une fois entré dans la vraie vie, je me suis rendu compte que c'est beaucoup plus complexe, mais c'est ça qui est bon !
Romain a un charme naturel, une bouche qui m'a excité et, quand il s'est levé, un cul parfait qui m'a convaincu et, pour l'occasion, foutu une demi-molle direct ! Après nos deux RDV de taf, on avait un peu sympathisé, on s'est même fait quelques restos (bon plan pour en apprendre un max sur lui ^^). J'ai appris qu'il a une meuf et, en terrasse, on a un peu maté les meufs qui passaient, mais pas du tout les mecs. Pire, deux mecs sont passés devant nous main dans la main, il n'a rien dit, j'ai un peu lancé le truc, il m'a dit : "Je m'en fous, ils vivent comme ils veulent, moi, c'est pas du tout ma came !"
Vous voyez que ça partait mal ! Pourtant ce mec, il me le fallait !
Il m'a dit qu'il voudrait bien faire un peu de sport, mais y aller seul, ça l'emmerdait et sa meuf fait des trucs qui ne lui plaisent pas genre yoga... J'ai sauté sur l'occasion, je fais du badminton, je l'ai recruté au club. Premier soir, je l'ai appelé, il n'était pas trop chaud, j'entendais sa meuf dernière qui allait dans mon sens, du coup, je lui ai dit : "J'arrive chez toi dans 5 minutes, soit t'es prêt, soit je t'embarque de force !". Il est venu et s'est éclaté, depuis, on y va ensemble deux fois par semaine.
Là, en T-shirt, short, sueur... on s'est encore rapprochés lol.. Je l'ai complimenté sur son physique, il m'a maté et m'a félicité aussi. J'ai même remarqué qu'il m'avait bien détaillé de haut en bas. Je me suis débrouillé pour le faire transpirer un max avant la fin de la séance pour l'obliger à se doucher au club. Dans les douches collectives, pour le mettre à l'aise, j'ai pris un air super détaché et j'ai dit : "Ah ouais, quand même, elle doit pas s'emmerder ta meuf !", on a ri, il m'a dit : "Mais que t'es con, remarque, tes conquêtes doivent bien kiffer aussi vu ce que je vois !" J'y suis même allé d'une petite tape sur ses fesses en sortant des douches en lui lançant une vanne du genre "Laisse pas trop traîner ça, ça pourrait donner des envies !".
Bon, je vous la fais un peu courte parce qu'avec un mec comme ça, faut être méga patient, faut y aller petit à petit et chaque infime avancée est une victoire. Par exemple, au début, c'est toujours moi qui l'appelais ; un jour, ça a été lui ! J'étais entré dans son répertoire, un peu dans sa vie... Mais pas encore dans son cul.
Ça peut paraître insignifiant, mais pas tant que ça, on s'est vu l'été pour des barbecues... Là, il m'a même présenté comme son pote.
À un moment, y'a toujours un cap qui se franchit. Il passait me chercher pour aller au club, mais il est arrivé un peu trop tôt, voilà que je raccompagnais un "régulier" à la porte, la médaille d'or de la pipe, il fait des trucs de malade ave sa langue en jouant sur le gland, le méat et le frein, il me fait décoller en un quart de seconde, ses lèvres pulpeuses épousent parfaitement ma hampe et ses gorges profondes sont irrésistibles ! C'est un artiste ! Il était passé un peu à l'improviste, il avait envie de ma queue, ça ne se refuse pas ! Je venais donc de copieusement lui remplir la bouche et, devant la porte, je lui ai mis la main au cul en lui disant : "La prochaine fois, je m'arrangerai pour avoir plus de temps pour m'occuper de ta petite chatte !"
Le mec est parti et j'ai vu Romain, l'air un peu interloqué sur le trottoir d'en face. Je me suis dit : "Ça passe ou ça casse !", je lui ai fait un sourire et signe de venir. Il m'a rejoint, j'ai fait comme si de rien n'était, j'ai juste dit : "Monte, je suis pas encore prêt !"
Une fois chez moi, je lui ai proposé un coup à boire le temps que je rassemble mes affaires. C'est lui qui a lancé le sujet :
- "Dis-moi JB, j'ai pas rêvé, le mec qui vient de partir, c'est ton mec ?"
Bon, c'était l'heure de vérité, le moment où soit je progresse soit c'est mort de chez mort :
- "Non, pas dans le sens où tu l'entends ! Faut que tu saches que je suis bi et lui, c'est un passif que je vois de temps en temps. C'n'est pas un problème j'espère ?"
- "Ah non, pas du tout. Juste je suis surpris. Excuse, t'as pas à te justifier."
- "Je sais, t'inquiète ! Et toi, t'as jamais rien fait entre mecs ?"
- "Non, j'y ai même jamais pensé !"
- "Pourtant, gaulé comme t'es, je suis sûr qu'il y en a un paquet qui a dû y penser !"
- "Pffff !"
- "Si, je t'assure. Allez bouge, on va être en retard, va falloir que je dise que je te l'ai mise profond pour expliquer qu'on n'a pas encore participé à monter les poteaux et les filets !"
- "Mais que t'es con !"
On s'en est arrêté là pour ce soir, mais ça a ouvert une brèche.
Quelques semaines plus tard, je l'ai trouvé bizarre pendant la séance, il a moins joué et semblait très préoccupé et contrarié. À la fin, on était changé, il me dit :
- "Ça te dérange si on va boire un coup quelque part, j'ai pas envie de rentrer tout de suite."
Ah, les sacro-saintes scènes de ménage ! Merci les meufs de casser les couilles de vos mecs comme ça, là, vous les foutez directement dans nos pieux !
Bon, j'ai eu droit au récit du cassage de couilles de madame et, après près de deux heures de discussion sur mon canapé accompagné d'un bon vieux whisky, je l'ai senti mûr.
On était assis côte à côte, je l'ai fait basculer pour l'allonger, je me suis glissé entre ses jambes et je lui ai roulé une pelle, ma langue est entrée dans sa bouche et nos langues se sont enroulées, c'était bon, j'allais l'avoir, enfin, 6 mois de boulot récompensé !
Nos T-shirts ont volé en une seconde, j'ai défait les boutons de son jean en un temps record, les miens aussi d'ailleurs. Tout en continuant à l'embrasser, j'ai glissé une main dans le pantalon, il avait une trique d'enfer, j'ai caressé, il a gémi et s'est mis à mouiller du gland. J'en ai profité pour poser mes deux mains sur la ceinture de son jean et j'ai tiré en arrière, le boxer a suivi et sa queue s'est redressée, dure, fière, luisante, je l'ai caressée par-dessous, en passant d'abord sur les couilles. Il caressait mon dos, il avait les yeux fermés et respirait très fort. Je me suis relevé rapidement pour tirer sur les jambes de son jean, il s'est retrouvé à poil, j'ai enlevé mes fringues moi aussi et je suis revenu sur lui. Nos queues se sont collées l'une à l'autre, se frottaient mutuellement, nos mouilles se déposaient sur nos ventres, ça chauffait pas mal !
Pour l'exciter à mort, je suis descendu bouffer un peu ses tétons, il a poussé un petit cri suivi d'un : "Oh oui, c'est bon ça !", je continuais à caresser sa queue, j'ai ensuite embrassé son ventre ferme, musclé avec juste un filet de poils très clairs. Là, il m'a dit :
- "Allez, suce-moi, parait que les mecs font ça mieux que les meufs !"
Bien sûr que j'ai commencé à le sucer et il a bien pris son pied, il gémissait de plus en plus fort en lâchant, de temps en temps des : "Oh putain...".
Il fallait quand même que je reprenne les choses en main donc, sans le prévenir, j'ai opéré un demi-tour pour lui coller ma queue dans la bouche, il a un peu hésité et j'ai dit :
- "Essaye mec, tu vas kiffer !"
Il a essayé et s'est plutôt bien débrouillé pour une première pipe. Une fois en rythme, mes doigts sont allés se balader du côté de sa rondelle, elle était très réactive et se serrait, c'était le seul verrou à faire sauter et je comptais bien en venir à bout ! Je l'ai longuement travaillée jusqu'à ce qu'elle se détende un peu puis j'ai abandonné sa queue pour aller y introduire ma langue. Il a aimé vu les gémissements, j'alternais avec deux doigts qui, désormais, entraient bien.
Je commençais à me dire que j'allais baiser ce cul vierge quand il a eu un sursaut de mec hétéro :
- "Oh, tu ne voudrais pas m'enculer quand même ?"
- "Heu, ben là, je me disais que ça pourrait se faire, t'as l'air bien chaud !"
- "Bah, je sais pas trop, je suis pas PD, j'ai jamais fait ça avec un mec, en plus me faire mettre..."
- "Bon, c'n'est pas grave."
Là, j'en ai pris un coup au moral, la tension venait de retomber d'un coup, on débandait, j'ai vu le fiasco arriver et là, l'espoir qui renaît :
- "Sers-moi un autre coup, j'en ai besoin ! On n'a pas fait grand-chose, mais, c'est chaud entre mecs !"
- "T'as aimé alors ?"
- "Ouais, j'avoue !"
Je lui ai servi un plein verre de whisky. On a repris les discussions, tous les deux à poil sur le canapé puis, négligemment, j'ai commencé à lui caresser l'épaule puis le torse, sa main s'est posée sur ma cuisse, un petit bisou par ci, un autre par là et nos tiges se sont redressées entraînant une pelle bien baveuse. Soudain, il m'a repoussé d'un coup, a pris son verre et l'a vidé cul sec, il a encaissé les 25 ans d'âge, a reposé le verre, m'a regardé et m'a dit :
- "Baise-moi !"
Yes les mecs ! Là, je l'ai plus laissé réfléchir, j'ai mis ma main derrière sa nuque pour le faire descendre sur ma queue, pendant ce temps, j'ai doigté son trou à deux et trois doigts. Au bout d'un moment, je me suis levé, il s'est mis sur le ventre, un coussin sous le ventre, le cul offert, j'ai embrassé ses fesses encore vierges, j'ai léché son trou encore un peu puis je me suis glissé entre ses cuisses, mon gland s'est posé sur sa rondelle lubrifiée et bouillante et j'ai poussé et ma queue s'est frayée un chemin dans ce boyau encore inexploré. Il a mordu un coussin et a poussé un cri étouffé, j'ai attendu, j'ai senti qu'il se détendait... Après, vous connaissez, il était dépucelé son cul était prêt à servir, il a bien servi. Je ne l'ai pas démonté, j'ai été tendre pour sa première, il a bien gémi, je lui ai demandé de bouger son cul, il a su se montrer bien salope j'avoue ! Un cul prometteur.
Après avoir ouvert la voie et l'avoir élargie ben, normal, je l'ai signé ! Tout mon jus de couilles y est passé pendant que lui se vidait sur mon canapé !
Il est resté dormir, mais on n'a pas remis ça. Le lendemain, il avait la gueule de bois et mal au cul, il m'a dit :
- "Bon et maintenant ?"
- "Quoi, maintenant ?"
- "Ben, on a baisé !"
- "Ouais, et alors ? On était pote hier soir, on l'est toujours ce matin j'espère. Après, si t'as envie de recommencer, je suis dispo moi !"
J'ai senti que c'est ce qu'il voulait entendre. C'était il y a environ 3 semaines. Depuis, on est toujours potes, mais je sens qu'il ne va pas tarder à vouloir y regoûter, y'a des regards qui ne trompent pas ^^.
J'espère que vous avez aimé, vous pouvez me poster vos impressions, c'est trop cool de savoir ce que vous avez pensé ^^.
Jean-Baptiste
jbdemareuil@gmail.com
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