Dans une précédente histoire, " Du fantasme à la Réalité ", je vous ai raconté comment je m'étais fait baiser après avoir défilé en travesti sur un trottoir lyonnais très tôt le matin. L'histoire qui suit, tout aussi vraie, devrait vous plaire. Elle démarre suite à une situation banale au départ mais qui va le devenir un peu moins, surtout pour un hétéro passé par la case bi depuis peu et vous savez de quelle manière.
Un jeudi midi avec quelques collègues de travail, nous décidons d'aller manger dans un petit resto proche du boulot. Le repas fut un peu arrosé, mais nous n'étions tout de même pas ivres. De retour au travail, je me rends aux toilettes pour soulager un besoin pressant et pour assurer le coup je m'assoie sur la cuvette. Pendant que je me soulageais, j'ai ouvert mon smartphone et je ne sais pas pourquoi, je suis allé sur un site de petites annonces de tout et de rien, et j'ai déposé dans la rubrique rencontres gay l'annonce suivante :
" Travesti occasionnel tôt le matin environ 5h00 pour vous offrir du bon temps, pompe à fond, sodo, aime plans domi, Urgent " Je me suis inspiré de ce qui m'était arrivé et m'avais au final terriblement plu.
Il va sans dire que les doses d'alcool que j'avais bu au resto m'ont donné du courage pour rédiger et publier cette annonce. L'annonce publiée, j'étais très excité de la lire et relire en imaginant toutes les réponses que j'allais recevoir et les scénarios proposés.
En fait, quelques réponses, certaines loufoques d'autres pour lesquelles on se demande si les mecs savent lire et comprennent ce que l'on recherche.
Le soir vers 22h00, je jette un dernier coup d'oeil à ma messagerie. Encore quelques messages débiles mais il y en a un qui retient mon attention.
" Mec la quarantaine, physique soigné, endurant, dominateur, teub 20x6, pouvant recevoir, intéressé par ton annonce pour m'occuper de toi, libre demain matin. Si ok envoie message "
Je suis dans un état d'excitation incroyable, je relis plusieurs fois son message, mon cerveau ne contrôle plus, je lui réponds : " Oui, t'es d'où ? "
J'ai à peine répondu qu'un nouveau message arrive, c'est lui, un dossier est en pièce jointe, j'ouvre vite, aussi excité qu'un adolescent lors de ses premiers rendez-vous.
J'ouvre la pièce jointe, c'est une photo de lui, debout sans la tête, il est plutôt pas mal et, il a une bite magnifique, raide comme la justice, je ne peux la quitter des yeux, je me surprends à me branler doucement. Je me fais des films, nouveau message : " Tu as des photos "
Je lui envoie des photos que j'avais pris lors de mes séances nocturnes sur les trottoirs lyonnais.
Nouveau message : " Tu es une vraie pute de chienne. Je te veux demain 5h00 chez moi habillée en pute " puis suit son adresse à la fin du message.
Je lui réponds : " Ok je viendrais "
Lui : " Sois à l'heure pas de lapin ", il me donne tous les détails pour accéder à son immeuble, l'étage, la porte du palier.
Moi : " N'ai crainte je serai là à 5h00 "
Je suis hyper excité, je dors très mal cette nuit-là, peur de ne pas me réveiller, l'excitation, l'alcool qui sait !
Vendredi matin, il est 5h00, je suis devant l'immeuble avec mon sac de courses renfermant mes affaires de pute. J'ai déjà sur moi mes bas, mon string, ma mini-jupe, mon soutien-gorge pour gagner du temps. Je ne me suis même pas posé la question de savoir si ce n'était pas un canular. Je suis devant l'interphone, le nom est présent, je sonne, inutile de dire que mon coeur bat la chamade, une voix résonne : " Oui ! "
Je réponds d'une voix mal assurée : " On a rendez-vous "
Un léger silence, puis le clique de la gâche électrique, je pousse la porte et m'avance vers l'inconnu.
Je monte à l'étage indiqué, la porte décrite sur le palier est entre-ouverte, je m'avance.... elle s'ouvre un peu plus, j'entre. Le type est derrière la porte, un bonjour rapidement échangé, puis il referme, un tour de clé, je suis dans son appart, bouclé ! Il est torse nu, un pantalon de jogging, pieds nus.
Lui : " Viens la salle de bain est par là " Sa voix est chaleureuse, masculine.
Moi : " Merci "
Il ouvre la porte de la salle de bain et s'écarte pour me laisser passer.
Lui : " Quand tu es prête rejoins-moi au salon, c'est la double porte devant laquelle nous sommes passés " Son ton est doux mais ferme.
Moi : " Ok "
Il me laisse seul, je referme la porte et me déshabille. Je mets mes escarpins, mon petit gilet, je commence mon maquillage et après je mets ma perruque, quelques retouches je suis prête. Je suis très excité, je ne sais pas ce qui m'attends, j'ouvre la porte de la salle de bain et me dirige vers le salon, c'est marrant mais je m'habitue à marcher en escarpins, ce n'est pas encore le top mais c'est plutôt pas mal.
J'ouvre la porte du salon, il est installé sur son canapé, il est nu, inutile de dire que mon regard se porte sur son engin, il est terrible, je suis inquiet mais je ne peux plus reculer. J'avance vers lui. Il se lève et s'approche de moi, il se colle contre moi, me caresse les hanches, les fesses, ses mains glissent sur mes cuisses, remonte sur mes fesses. Il passe une main sous ma jupe et la relève un peu. Je sens sa main glisser entre mes jambes, remonter, caresser mes fesses. Sa main au contact de ma peau m'électrise, je suis excité grave. Je me sens femme, désirée par cet homme.
Il m'entraîne vers le canapé, c'est un canapé en L, 3 places et une méridienne.
Lui : " Mets-toi là-dessus, à 4 pattes " Il me désigne la méridienne. Je monte et m'installe comme demandé, la tête face au dossier du canapé, le cul tourné vers l'extrémité de la méridienne.
Lui : " Belle position de salope ! J'aime bien les putes chiennes très obéissantes "
Il me caresse les chevilles, les mollets, les cuisses, repousse ma jupe sur le dessus de mes fesses qu'il malaxe. C'est grave bon. Une petite claque, caresse, nouvelle claque, il se régale, continue comme ça encore quelques minutes, c'est agréable même si les claques se font plus fortes, j'aime.
Il se revient vers ma tête, me glisse une main sous le menton, m'attire vers sa queue. Son autre main rejoint le sommet de ma tête, je suis pris en étau. Il me tient fermement, je suis impuissant. Son gland vient au contact de mes lèvres, il se frotte, instinctivement j'ouvre la bouche, il entre un peu mieux. Seul son gland entre et sort, c'est divin. Puis progressivement il s'aventure plus loin, il touche ma luette, je tente de me reculer mais il me tient ferme.
Lui : " Chut ! Laisse-toi faire catin ! " Il pousse, j'ai des haut-le-coeur, il pousse, c'est désagréable, je suffoque, impossible de reculer. Il ne bouge plus, ma bouche est totalement envahie par son sexe, je manque d'air, j'essaie de respirer tant bien que mal, il faut que je respire. Il se retire, je prends une grande bouffée d'oxygène, je tousse.
Lui : " T'es une bonne pipeuse ! " Il remet ça, il faut que je régule ma respiration à chaque retrait, au bout de quelques minutes, je le suce en cadence.
Lui : " C'est ça appliques-toi bien, tu l'aimes ma queue ? "
Oh que oui je l'aime, elle me parait énorme, elle me dilate la mâchoire à chaque pénétration, elle a un goût de mâle. Je suis comme un dingue, c'est bon. Il me baise la bouche, il me domine, je suis là pour lui donner du plaisir, il ne se prive pas, prend son temps, savoure.
Il se retire, vient à la hauteur de mon cul, même rituel que tout-à-l'heure, alternance de caresses et de claques, j'avoue que j'apprécie plus les claques. A chaque fois qu'il me claque je tends mon cul.
Lui : " Petite salope, tu aimes les fessées ? "
Moi : " Oui " et il continu à martyriser mes fesses, elles sont brûlantes à présent. Chaque claque me fait mal, mais putain j'adore.
Lui : " On va passer aux choses sérieuses, les chiennes bien chaudes comme toi c'est fait pour être saillies "
Il passe derrière mon cul.
Lui : " Recule au bord du canapé ! "
Je m'exécute, je dandine du cul pour venir placer mes genoux au bord du coussin.
Lui : " C'est bon comme ça, bouge pas, je vais m'occuper de ton fion "
Il écarte mon string. Je m'attends à sentir son gland se coller contre ma rosette mais, c'est plutôt une main qui vient se poser sur chacune de mes fesses et, écartent délicatement mon cul. Sans plus attendre il m'administre un nettoyage en règle de mon trou de balle avec sa langue. C'est génial, j'adore vraiment ça, comment ai-je pu passer à côté de ça si longtemps. Il me lèche de la base des bourses, à la fin de mon sillon, redescend sur mon anus, lèche, titille, celui-ci et entre doucement sa langue. Il se régale, je gémis de plaisir. Je suis au 7e ciel, c'est trop top !
Il s'arrête, je tourne la tête, il est en train de mettre une capote, sa bite est hyper raide, j'angoisse un peu. Il a mis un bracelet en cuir à la base de son sexe, celui-ci est hyper gorgé, ses vaisseaux sanguins sont gonflés à bloc sur sa verge. Il attrape un flacon de vaseline, le met au-dessus de mon sillon et fait couler la vaseline. C'est froid, le liquide se répand dans mon sillon, atteint mon anus. Il glisse un doigt entre mes fesses, trouve mon anus, glisse un doigt dedans, fait des va-et-viens pour graisser mon trou. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, c'est bon. Il s'applique à bien me graisser le fion, bien le dilater pour favoriser son assaut. Je suis détendu, docile j'attends ma saillie comme il dit.
Lui : " Tu vas prendre ce que tu es venu chercher, salope. Tu vas goûter à la bite d'un vrai mâle ! "
Il se frotte contre mon cul, sa bite glisse dans ma raie, elle descend, remonte, les amplitudes sont de moins en moins grandes, les va-et-viens se font de plus en plus proches de mon anus. Son gland se cale sur mon trou, il pousse pour entrer, mon anus est encore serré. Il pousse maintenant très fort, mon rectum ne peut plus contenir ses assauts et finalement rend les armes. Son ogive fait le passage, je ne peux retenir un cri.
Moi : " Aïe ! " Il ne bouge pas, il attend que mes défenses se relâchent, puis il ressort un peu et entre de nouveau mais pas loin, seul son gland joue avec ma rondelle. Il répète la séquence plusieurs fois. C'est sublime. Mon anus est tout désorienté, ce massage est une vraie torture de plaisir.
Moi : " Prend-moi, vas-y baise-moi " Je ne sais pas ce qui m'a pris, je me comporte comme une vraie nympho. Lui prend son temps, je tente de m'empaler sur sa verge, il pose ses mains sur mes fesses et bloque mes tentatives. J'ai les jambes qui tremblent, je excité à mort. Je ne peux plus tenir sur mes mains, je me baisse pour reposer sur mes coudes, ce qui a pour effet de tendre ma croupe vers cette bite, un appel au viol de mon cul.
Lui : " Putain, j'ai rarement vu une salope pareille ! "
D'un coup il s'enfonce jusqu'à la garde, il me déchire le cul.
Moi : " Arrête ! Tu me fais mal, c'est trop gros, arrête ! "
Je tente de me dégager et de me libérer de cette bite plantée en moi. Il m'attrape par les hanches pour me planquer contre lui. Il passe alors sa jambe droite devant ma propre jambe droite. Son pied posé sur le canapé, son mollet droit contre ma cuisse droite, de cette manière il me tient fermement. Je ne peux me libérer de son emprise. Sa technique est d'une grande efficacité, je ne maîtrise plus rien, c'est lui le dominant, je me soumets et le laisse me prendre à sa guise.
Il reprend les choses en mains, il me déglingue le cul, j'entends les claquements de son bas-ventre contre mes fesses, ses couilles viennent taper contre les miennes, il augmente la cadence. Je vais chalier, je n'ai jamais eu mal au cul comme ça. Je transpire, je suis secoué comme un pantin. Il attrape mes escarpins par les talons, relève mes jambes, je pique encore plus du nez dans les coussins. Il me pilonne le cul comme un piston dans sa culasse. Il lache mes escarpins et se retire. C'est le feu dans mon cul. Il vient se mettre devant moi, s'assoie à califourchon sur le canapé, retire sa capote.
Lui : " Suce-moi putain de pédale ! "
Je m'exécute tout de suite, ça me permet de laisser reposer mon cul. Je comprends pourquoi j'ai tant eu mal, sa bite est vraiment grosse. Il se redresse et glisse ses deux mains dans mon soutien-gorge et tire sur mes tétons. Ils sont hyper tendus.
Lui : " Je te kiffe trop toi, j'en ai baisé des travelos mais toi t'es une super salope "
Je le suce avec application et envie, il râle de plaisir, il apprécie mes coups de langue sur son gland, le frein, sa hampe, je remonte sur son gland je glisse vers ses bourses. Son sexe est raide, son gland violacé. Je m'applique, je sens qu'il va jouir, je vais recueillir son jus en bouche, cela va mettre un terme à notre partie de cul. Surprise, il m'arrête, se retire de ma bouche, se dégage, Il se lève, je pense qu'il veut cracher sur mon visage, je le regarde, mais il repasse derrière moi. Je pense à ce moment qu'il va se branler et jouir sur mon cul.
Lui : " Tu as un cul à faire bander un eunuque ! " Il remet une capote et ni une ni deux, j'ai à peine le temps de souffler qu'il me pénètre d'un coup. Je serre les dents, il me fouraille comme un dingue, de longues minutes, ce mec est une vraie machine, un marteau-pilon. Il pousse un râle, je le sens jeter ses dernières forces dans la bataille, il vient taper au plus profond de mon cul, encore quelques aller-retours, puis il se laisse tomber sur moi. Il vient de jouir, il reste immobile savourant son plaisir. Enfin il se retire et libère mon cul.
Je me redresse et descends du canapé, j'ai les jambes en coton et le cul en feu. Je retourne à la salle de bain pour me changer, me démaquiller et passer de l'eau sur mon visage. J'ai tant transpiré. Je reviens vers lui en homme satisfait de ce moment passé ensemble, 1 heure 1/2 de sexe, de plaisirs.
Lui : " Tu suces bien, sans mettre les dents, tu t'appliques, c'était super et j'ai adoré ton cul "
On dirait un instituteur qui félicite son élève.
Lui : " On reste en contact, si tu veux je te baiserai encore "
Moi : " Ouais, pourquoi pas ! "
Je le quitte sur ces paroles, j'ai le cul en compote, la journée au taf va être difficile tant j'ai mal au cul, cela va durer 2 semaines. Mais cette séance, pour moi, reste mémorable. Mon cul a repris ses dimensions, mais mon cerveau a imprimé son empreinte, il en redemande, il le sent encore en moi.
Il me l'avait dit lorsque nous nous étions quittés, il a repris contact pour me proposer une nouvelle partie de jambes en l'air comme il dit, il m'a promis une surprise.... Je ne sais pas ce que c'est mais, j'ai terriblement envie d'y retourner, c'est d'ailleurs ce que j'ai fait.
Je vous raconterai ce qui s'est passé, ça été hyper chaud. Quand je pense que si je n'avais pas eu cette aventure sur le trottoir un matin, je serai passé à côté de tout ça !
Vous pouvez penser que j'enchaîne les rencontres, mais ce n'est pas le cas, beaucoup de temps s'écoule entre ces diverses aventures.
Merci de vos commentaires et/ou encouragements
Adonf
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