Je vous certifie que l'histoire qui suit c'est réellement passée. Et je ne regrette pas qu'elle ait eu lieu car, au fond de moi je la désirai.
Je suis un homme d'une quarantaine d'années, hétéro, vie de famille rangée mais il m'arrive de m'offrir quelques écarts. Depuis plusieurs mois déjà, j'ai pris l'habitude de me travestir certains matins avant d'aller au travail. J'ai toujours voulu être une femme mais mère nature en a décidé autrement. C'est donc en femme que je pars, il est autour de 4h00 - 4h30 je vais en ville je cherche des coins déserts ce qui n'est pas trop difficile à cette heure-ci.
Je me gare, je descends de voiture et je fais quelques allers et venues sur le trottoir m'identifiant à une pute qui attendrait le client. Puis après une dizaine de minutes, je remonte en voiture, je me branle pensant à ce que je viens de faire et après m'être soulagé, je me change et pars au travail.
Il y a quelques mois de ça, je recommence mon petit scénario, il est 4h00, je m'habille en pute. Je sais les hommes nous avons toujours la vision des putes comme ayant des tenues extravagantes et hyper sexy. J'enfile donc des bas résilles, des escarpins à talons aiguilles, un string, un soutien-gorge, une jupe à ras les fesses, un petit gilet qui cache peu de choses, une perruque rousse et je mets du maquillage pour crédibiliser la tenue.
J'arrive sur Lyon, je trouve un coin discret (enfin je le croyais, j'aime bien varier) Je me gare, je regarde autour de moi, un coup d'oeil dans les rétros, personne. Je descends de voiture, je la verrouille et je commence mon manège. Quelques aller - retours sur le trottoir, puis un nouvel aller et lorsque je fais demi-tour pour rejoindre ma voiture un véhicule arrive par l'arrière à ma hauteur feux éteints. La voiture s'arrête, la vitre se baisse et le conducteur se penche pour me parler. je ne sais pas d'où il sort, je suis paniqué car trop loin pour remonter en voiture.
Le mec d'une trentaine d'années me dit : " C'est combien ? "
Moi je fais comme si de rien n'était et presse le pas (en escarpins pas top) La voiture avance.
Le mec : " Oh le travelo, approche si tu ne veux pas que j'ameute tout le quartier ! "
Je suis tétanisé, je ne sais pas comment faire pour me sortir de cette situation. Moi qui faisais ça pour exciter mon imaginaire, me voilà plongé dans une réalité à laquelle je n'avais pas pensé.
Le mec : " Alors t'approches la pute ! "
Finalement je m'approche de la fenêtre ouverte de la voiture. Je suis attiré comme par un aimant, je ne réfléchis plus, au fond de moi c'est ce dont j'avais si souvent rêvé. Il me jauge et se tripote le paquet en me parlant.
Le mec : " Monte, j'ai envie de me faire pomper et magne-toi le cul j'ai pas trop le temps "
Je ne sais pas pourquoi, peut-être est-ce la manière dont il m'a parlé, le fait que je sois habillé en pute et que j'avais si souvent imaginé cette situation mais, j'ouvre la portière et m'assoie dans la voiture puis referme la porte.
Le mec : " Ceinture "
Je m'exécute, et il démarre. Je ne sais pas ce qui m'a pris de monter avec lui, j'ignore ce qui va se passer (je ne pense tout de même pas qu'il va m'offrir une visite touristique du quartier) Je suis avec un mec que je ne connais pas, dans sa voiture et il m'emmène je ne sais où. Il est plutôt mignon à mon goût, taille moyenne, barbe de 3 jours et une sacrée bosse dans le pantalon. Il a vu que je matais son bas ventre du coin de l'oeil, en roulant il balade sa main droite sur ma cuisse, glisse vers mon entrecuisse, instinctivement j'écarte un peu mes cuisses.
Le mec : " T'es chaude toi, t'aime te faire tripoter salope "
Moi : " Oui " Ce oui, sort à peine. Je suis complètement dérouté, je réfléchi à peine, j'attends la suite comme un animal captif.
Une ou deux minutes de voiture, il entre sur un parking, se gare, coupe le contact et se tourne vers moi.
Le mec : " Les tarlouzes comme toi ça aime la bite, alors suce-moi ! "
Tout en me parlant il baisse sa braguette, baisse son caleçon et sort sa queue.
Le mec : " T'attends quoi, pompe moi ! "
Sa manière de me parler m'excite énormément, il me traite comme une traînée et c'est je crois ce qui m'attire encore plus vers lui.
Je m'avance vers sa queue qu'il tient de sa main gauche, il bande dure, je ne devais pas aller assez vite à son goût, car sa main droite passe derrière ma nuque, m'empoigne fermement le cou et il m'approche vers sa queue qu'il enfourne dans ma bouche. Non seulement elle sent le mâle mais elle en a aussi le goût. Il me force à faire des va-et-vient et, me fourre sa bite à chaque fois plus profond. J'ai des hoquets, des haut-le-coeur, j'ai envie de vomir, mais il s'en fout. Je voulais être femme, je comprends maintenant ce qu'elles ressentent quelques fois.
Le mec : " Appliques-toi connasse ou je me casse et te laisse là, tu rentres à pieds "
L'idée de déambuler en travesti dans les rues de Lyon ne me plaît guère. Cela me faire peur, alors je fais ce qu'il me dit ou du moins je fais au mieux. Au bout de quelques minutes il me dit que l'on va passer sur la banquette arrière, on sera mieux.
Je me relève, et descend de voiture pour m'installer à l'arrière. Il avance les sièges avant pour que l'on soit moins serrés, puis il me rejoint. Il s'assoit, sort sa bite et me regarde.
Le mec : " Alors ! "
Moi : " Quoi ? "
J'ai à peine posé la question, qu'il m'envoie une torgnole.
Le mec : " T'attends quoi pour te remettre au turbin, il faut tout te dire "
Je suis tellement surpris que je me remets au travail et le pompe du mieux que je peux.
Le mec : " Toi, tu marches à la torgnole ? "
Je ne réponds pas et je continue à le sucer. Voilà ce mec qui, il y a quelques minutes encore m'étais un parfait inconnu, m'a pris en flag sur le trottoir en train de me prendre pour une pute, m'a ordonné de monter avec lui, me parle comme à une merde, me fourre sa bite dans la bouche, n'hésite pas à me balancer une claque parce que je ne remets pas assez vite à le pomper et, moi je ne dis rien et obéis à toutes ses demandes.
Le mec : " Tu suces bien catin, maintenant lèche-moi les couilles "
J'arrête de le pomper et lui lèche copieusement les bourses, elles sont couvertes de poils c'est désagréable et me donne envie de vomir, mais je ne dis rien et continue à lécher. La menace d'une nouvelle gifle plane au-dessus de moi.
Le mec : " Aspire-moi les couilles et les deux en même temps "
J'en aspire une mais je n'arrive pas à prendre les deux, il s'agace, me plaque le visage sur ses burnes.
Le mec : " Putain, ce n'est pourtant pas difficile, fais un effort "
Il me redresse la tête et je ramasse une torgnole sur l'oreille, j'ai mal.
Le mec : " Tourne-toi et fais-moi voir ton cul de travelo "
Je me tourne et m'installe sur la banquette, la tête contre la vitre, le cul bien en l'air. Il a une vue splendide sur mes jambes gainées de résilles, mon string dont la ficelle me rentre dans le cul. Il repousse ma mini-jupe sur le bas de mon dos.
Le mec : " Tu as un beau cul de gonzesse ! " D'un coup une claque s'abat sur ma fesse, je pousse un cri.
Le mec : " Ferme ta gueule ! " Et une nouvelle volée de claques s'abat sur mes fesses, j'ai mal mais je ne dis plus rien, je vais recevoir une fessée magistrale comme jamais je n'avais reçu. Il s'arrête. Le cul me chauffe mais curieusement j'aime ça.
Il se plaque contre mon cul, je sens sa queue raide, il s'allonge sur mon dos, passe ses mains sous moi et les glisse dans mon soutien-gorge. Ce soutif me fait une belle poitrine. Il me malaxe les seins et m'attrape les tétons. Ils sont raides et durs (c'est souvent le cas chez moi)
Le mec : " T'as les tétons durs comme ceux d'une gonzesse, t'es excitée salope ! "
Il se relève, place sa tête devant mon cul, m'écarte et les fesses et je sens sa langue venir titiller ma rondelle, je suis surpris mais c'est agréable je me laisse faire, il me lèche la raie avec de grands coups de langue, essaie d'entrer sa langue dans mon cul et finalement y arrive. J'ondule des fesses, c'est super bon.
Le mec : " Ça aussi tu aimes salope ! Je vais te baiser ! "
Moi : " Non, je ne me fais pas prendre "
Le mec : " Ta gueule ! Descends ! "
Moi : " Non, attends ! "
Le mec : " Descends, je veux te baiser sur le capot ! "
Moi : " Ça craint, si quelqu'un vient "
Le mec : " Je m'en fou, on verra un mec se taper une pute "
Il se penche sur moi, attrape la poignée de la portière et l'ouvre. Il se redresse, me pousse par le cul dehors. Je m'extirpe tant bien que mal de la voiture en essayant de ne pas tomber. Je me retrouver dehors le cul à l'air, je baisse ma mini-jupe et regarde de tous côtés pour vérifier qu'il n'y a personne. Le mec lui aussi est descendu et m'attend devant le capot de sa voiture.
Le mec : " Ramène ton cul traînée, tu m'as chauffé grave ! "
Je m'approche de lui, je ne suis vraiment pas rassuré, quelqu'un pourrait arriver. Il m'attrape par le bras, me pousse sur le capot et me dit : " Remonte ta jupe et présente-moi ton cul, c'est bien ce que tu recherches ? " Je ne réponds pas, docile je me mets en position, perché sur mes talons aiguilles, ce n'est pas très stable pour moi, je m'allonge donc sur le capot. Il se prépare à me baiser, enfile une capote et s'approche de moi.
Le mec : " Ben voilà, tu vas aimer, écarte les jambes "
J'écarte, c'est encore plus instable.
Moi : " Attends je ne me fais jamais baiser, tu n'y arriveras pas ! "
Le mec : " Ferme ta gueule, les putes comme toi c'est fait pour se faire baiser, et je te promets que ça va rentrer "
Il se penche vers mon cul, l'écarte et crache sur mon trou. Je n'en mène pas large, j'ai peur de ce qu'il va arriver, j'ai à peine le temps d'y penser que je sens son gland appuyer sur mon anus, il force et pousse, instinctivement je serre le cul.
Le mec : " Plus tu vas serrer, plus ce sera douloureux, tu fais comme tu veux c'est ton cul "
Je me détends un peu et aussitôt il en profite pour pousser fort, sous son coup de butoir, mon cul s'ouvre, je ressens alors une douleur violente. Je pousse un cri de douleur, j'ai très mal au cul ce qui n'empêche pas le mec de continuer. Il m'a attrapé par les hanches, et me baise comme une gonzesse. Je lui dis d'arrêter j'ai trop mal. Le mec pousse plus fort et plus loin, j'ai de plus en plus mal, les larmes me viennent aux yeux.
Le mec : " Putain, t'as un cul d'enfer, tu es hyper serré. Je suis trop bien "
Je vais me faire limer comme ça pendant une dizaine de minutes qui me semblent des heures tellement j'ai mal. Puis la douleur fait place à un certain plaisir, je commence à aimer ce qu'il me fait, je pousse de petits gémissements.
Le mec : " J'y crois pas, cette pute prend du plaisir ! ", " Ça te fait quoi d'avoir une teub de vrai mâle dans le cul ? " Il m'attrape par les épaules, je me redresse un peu du coup sa queue pénètre un peu plus en moi. Je suis hyper excité. La position n'est pas très confortable, j'essaie de me cramponner au capot ça glisse.
Un jeune homme passe pas loin de nous, on continu notre gymnastique, il nous regarde, je suis pétrifié, j'ai peur de sa réaction, j'ai honte mais me laisse aller au plaisir de cette baise sauvage. Est-ce que je commencerai à assumer le personnage que je voulais incarner ?
Enfin il se retire, je reste appuyé sur le capot sans bouger.
Le mec : " Tourne-toi et suce-moi "
Je me retourne, il a retiré sa capote et attend que je vienne le pomper. Sa queue est raide, je comprends pourquoi j'ai tant eu mal au cul, elle doit faire 18 ou 20 cm et pas loin 5 de large.
Le mec : " Alors, merde ! Dépêche-toi, on ne va pas y passer la journée. Je veux gicler. Baisses-toi !"
Je m'accroupis, il me fourre sa queue dans la bouche, commence des va-et-vient et d'un coup éjacule dedans. J'essaie de me dégager mais je suis coincé entre la voiture et son bas ventre. Il me tient la tête, son sperme a un goût bizarre, un peu âcre et salé.
Le mec : " Avale tout si tu veux que je te ramène à ta bagniole "
Putain, jusqu'au bout je vais devoir obéir (ce n'est pas vraiment pour me déplaire, même si c'est nouveau pour moi)
Le mec : " Dépêches, les putes comme toi ça aime le jus "
Alors j'avale, je crois que je vais vomir !
Le mec : " Tu vois, t'es une vraie pro. Allé en voiture, je te ramène, tu as bien bossé ! " Il se rhabille, je remets ma jupe en place.
Nous remontons en voiture, il ne dit rien pendant le trajet, moi non plus. Je ne pense qu'a ce qui vient de se passer et à ce goût dans la bouche, c'est très bizarre, mais je ne déteste pas.
On arrive enfin, il s'arrête. J'ouvre la portière et descend.
Le mec : " T'es un bon coup, quand tu veux on remet ça ! "
Je ferme la portière, il repart. Je suis là devant ma voiture, je monte et m'installe au volant. Je repense à tout ce que je viens de subir. Je pensais seulement me travestir pour m'exciter un peu et voilà que j'ai sucé un mec, qu'il m'a utilisé à sa guise pour son plaisir, qui m'a défloré et qui m'a gaver avec son sperme.
Je me caresse le sexe et commence à me branler, je suis tout de même très excité, j'ai l'impression qu'il est encore en moi, mon anus est tout humide de sa bave ou de ce que j'ai secrété, je ne sais pas. J'ai mal au cul mais maintenant la douleur est agréable. Cette douleur va m'accompagner tout au long de la journée, comme les souvenirs de ce moment incroyable.
Je suis retourné plusieurs fois au même endroit, espérant sans doute retrouver celui qui m'avait humilié mais baisé avec tant de fougue. Peine perdue, néanmoins je continue à y aller qui sait !
Je me suis tourné vers d'autres aventures que je vous raconterai plus tard, toutes aussi réelles que celle que je viens de vous conter, si celle-ci vous a plu.
N'hésitez pas à me faire vos commentaires.
Adonf
Autres histoires de l'auteur : Ma première tournante | Du statut de Salope à celui de Pute | Une défonce inoubliable | Du fantasme à la réalité