Il est 7 heures 30 en ce samedi 30 juin. Je suis en déplacement professionnel pour deux semaines dans la Drôme. En ce week-end qui s'annonce ensoleillé, j ai décidé d aller me décrasser un peu. Un short de jogging, un t-shirt léger, une paire de chaussettes et des pompes de trail par dessus, un peu d eau, le tél et des lunettes de soleil. En 2 minutes je suis prêt.
Je quitte le gite ou j ai pris mes quartiers (une petite maison de deux pièces indépendante d une maison plus grande où résident les propriétaires) située un peu a l écart du village.
Tout près partent plusieurs chemins forestiers (des pistes en terre) qui serpentent dans la colline. C'est calme, peu fréquenté, ça grimpe, bref, ça m'a l'air parfait.
Ha oui, j'ai oublié de me présenter. Je m'appelle Loïc, je suis né dans le Morbihan, j'ai 28 ans, 1.81 m pour 79 kg, châtain très courts, yeux clairs. Je fais pas mal de sport car mon boulot m'impose de rester en forme et m'offre même la possibilité de courrier nager et m'entraîner sur les heures de travail.
Côté sex, Je suis bi. Je vis seul, mais je couche aussi bien avec des filles que des mecs. Tout dépend l'humeur, l'envie et l'occasion. Par contre coté taff, tout le monde me pense 100% hétéro (et c'est très bien ainsi car même si une association gay fait beaucoup, mon milieu pro reste plutôt macho hétéro, enfin, ça, c'est une autre histoire).
Je ferme le portail et me voila parti. Les 20 premières minute se passent sans rien de particulier. Je progresse, en petite foulée au début, puis de façon plus soutenue, malgré le terrain qui devient plus pentu. Il fait super beau, presque pas de bruit, bref, le pied !
Après la monté, je ne pense presque plus à rien, ni le taff, ni la hiérarchie, ni les problèmes perso, rien. Je suis juste là, au milieu de cette nature qui respire le Sud, je n'entends que le bruit de mes pas et le chant des oiseaux.
Le terrain fait un plateau, j'augmente encore un peu l'allure. A 200 mètres environ, la piste fait un virage sur la droite. Je vois surgir un mec qui, lui aussi, a décidé de se dégourdir les jambes. Il se rapproche et finalement on se croise. Sans le calculer plus que ça, je remarque qu'il doit avoir dans les 35 ans, il a une carrure plutôt athlétique, il doit faire dans les 1.85m pour 90kg, crâne rasé, lunettes de soleil qui cachent ses yeux.
On se salut d'un "bonjour" mais sans plus et chacun continue dans la direction opposée.
Au bout de 5 minutes environ, j'entends à nouveau des pas, mais cette fois derrière moi. Comme ces pas se rapprochent, je finis par me retourner pour évaluer la situation. Le gars de toute à l'heure court à une bonne vitesse et semble vouloir me rattraper et me dépasser. Pourtant, arrivé à ma hauteur, il ralentit et engage la conversation.
On échange quelques banalités. Il me qu'il vient de faire 7 km, et qu'il a donc décidé de rentrer. On échange sur la région et sur le jogging et le trail qu'on pratique tous les deux.
Finalement on continue et on fini par arriver devant une maison isolée dans laquelle il me dit habiter. Je lui dit que je vais rebrousser chemin quand il s'arrête de courir, se plante devant moi et me dit "Tu te fous pas un peu de ma gueule, mec ?", "Vu comment tu me mattes depuis 20 minutes qu'on court ensemble, je pense que je vais te faire visiter la baraque."
Je reste rarement sans voix, mais là, j'avoue, que c'est un peu comme si je m'étais pris un coup de poing dans le bide. A aucun moment je n'ai pensé "sexe" pendant notre balade. A aucun moment on a parlé "cul". Bref, je ne m'attendais pas du tout à çà.
Je retrouve mes esprits assez vite et lui réponds "Si tu le prends sur ce ton là, je vais vais pas me défiler, mec". On éclate tous les deux de rire et, en marchant, on se dirige vers la baraque. L'intérieur est sobre, peu chargé, clean, bref tout ce que j'aime.
Dans l'entrée, on vire nos pompes. Vu qu'on dégouline tous les deux de sueur, il me propose de prendre une douche. J'y file le premier. Pendant que l'eau coule et me remet sur pieds à 100%. Je me demande comment vont tourner les événements. Je ne sais pas encore si le mec est actif ou passif, soft ou moins. Beaucoup de scénarios défilent dans ma tête mais rien de concluant. Je termine la douche, me sèche rapidement et je mets la serviette blanche qu'il m'a sortie autour de ma taille.
Je sors de la salle de bains, il m'y remplace, toujours sans plus d'explications ni d'indices me laissant deviner la suite.
Alors qu'il est sous la douche, je découvre qu'à la cuisine, il a sorti quelques fruits de saison, de l'eau et quelques fruits secs. Wow. Bon choix Monsieur l'inconnu.
Il revient quelques minutes plus tard. Il est dans la même tenue que moi et là, en serviette, face à moi, je me rends compte que le mec est vraiment un beau mec. Carré, puissant, bien dessiné. Finalement ce jogging était une très bonne idée. Il s'approche du bar et arrivé devant moi, d'un coup direct, il vire sa serviette, tombe à genoux, met les mains derrière le dos et me balance 'Chef, je suis à vos ordres, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi".
Putain, quel retournement de situation, le macho qui jouait les mecs mecs devant moi il y a à peine une minute est là, à mes pieds en train de soumettre comme une larve. Je ne se suis pas un spécialiste, ni même un habitué des plans domination, mais tous ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas du genre à me dérober face à une mission ou un défi.
Alors comme çà ce mec plus vieux que moi, plus grand que moi, plus baraqué que moi veut se soumettre. Très bien, c'est son choix, il va devoir assumer.
J'affiche mon sourire le plus carnassier et lui lâche simplement "Lèche". Le gars va pour écarter ma serviette. Je lui envoie une bonne mandale dans sa gueule et lui dit "Les panards, connard". Il me regarde pendant une longue seconde. Je vois que la gifle l'a sonné et surpris, puis, sans rien demander, il se fout à 4 pattes et commence à me lécher les panards.
Ça, c'est une traitement qui ne m'a jamais laissé indifférent, tout y est : les sensations qui mêlent chatouilles et plaisir, le ressenti de l'humiliation du mec obligé, bref, j'ai envie de plus. Je l'attrape par une oreille, je sors sur la terrasse et m'allonge sur une chaise longue. "Vas y, fais moi du bien !". Le gars redouble d'application, il passe entre les orteils, sous les pieds, bref, 10 bonnes minutes de bonheur.
J'ai gardé ma serviette, et il est clair que j'apprécie le traitement. Je n'ai vu plusieurs fois envoyer des regards suppliants vers le barreau qui déforme le tissus, mais il est resté à sa place à me lécher les pieds.
Je finis par ouvrir la serviette et je libère ma queue et mes deux couilles.
J'ai l'impression que ses yeux vont sortir de ses orbites.
"Les couilles, mec, avec la langue". Il remonte d'un mètre et me lèche les boules avec délectation. Ça, on peut dire qu'il y met de l'ardeur et qu'il s'applique. Pourtant, en suivant ses yeux, il est clair que ce dont il a envie, c'est le barreau au dessus.
Alors que je vois qu'il est de plus en plus affamé, je décide de changer de stratégie.
Le jogging m a creusé, je mangerais bien un yaourt. Va m'en chercher un.".
Il revient quelques secondes après une petite cuillère dans une main, le yaourt dans l'autre.
"Tu crois que je vais l'ouvrir moi même ?". Je vois dans son regard qu'il ne sait plus trop où il est, ce qu'il fait. Je retrouve une sensation qui m'avait plu dans un plan domi précédent, celle où le mec perd un peu pied et ne sait plus trop ce qui se passe. J'adore. Il finit par ouvrir le yaourt et me le tend avec la cuillère.
J'attrape les deux. "Remets toi à genoux !". Il a repris la position en moins d'une seconde et semble attendre le prochain ordre. J'en profite et renverse le yaourt sur mon ventre et surtout sur ma queue. "Nettoie !". Sans demander son reste, il se jette sur mon bas ventre et surtout sur ma bite et commence à nettoyer dans les moindres recoins.
Il s'applique particulièrement sur ma queue toujours aussi bandée. Là, je me dis que psychologiquement il est prêt et qu'il est temps de passer à autre chose.
Quand tout est bien propre, je lui dit de se relever, d'écarter les jambes et d'attraper ses chevilles avec les mains. Il assume la position sans rien dire et il se trouve là, offert face à moi. On dirait qu'il a le trou qui vibre tellement il est en chaleur.
Je me lève, retourne dans le salon et attrape le gel et les capotes que j'avais vus, bien en évidence, tout à l'heure.
Je ressors. Il n'a pas bougé d'un pouce, il est là, offert, en plein soleil, n'attendant qu'une chose : une bite.
Alors qu'il ne peut toujours pas me voir, je met du gel sur ma queue qui, bien allumée, est bandée au maximum. Je m'approche le plus discrètement possible et d'un coup sec et d'un seul, je lui enfonce mon pieu dans le trou. La surprise (et peut être la douleur) lui arrache un cri. Je lui bloque la bouche avec ma main et lui assène un "Ta gueule, assume !".
Je n'échange plus un seul mot. Je n'ai plus qu'une envie, le prendre, le défoncer bestialement, lui ouvrir le cul. Il encaisse les aller-retours qui deviennent de plus en plus brutaux et de plus en plus rapprochés. Je sens que son cul s'ouvre enfin, qu'il cesse de se retenir. Je perçois quelques sanglots.
Il a voulu m'allumer, il a choisi son rôle, il doit assumer sa soumission, reconnaître qui domine et donc me donner du plaisir.
Je continue à l'enculer à fond et sans ménagement. Mes couilles cognent contre lui. Ma queue glisse tellement bien que je la fais sortir entièrement avant de l'enfiler bien à fond à nouveau. J'avoue qu'il déguste. Je sens mon propre plaisir monter. A ce moment là, je suis égoïste, je ne pense plus qu'a moi. Je ne sais même pas s'il bande où s'il en est réduit au simple rôle de trou à plaisir.
Dans un dernier sursaut, je me cambre. Tous mes muscles sont tendus et je finis par remplir la capote de plusieurs jets puissants dans un grand râle de plaisir.
Je ressors. Il reste dans sa position d'écartelé la tête basse, soumis et vaincu.
Je le fais se remettre droit et constate qu'il n'a pas résisté, il s'est donné, à plein, il a consacré toute son énergie à mon plaisir et sa queue est flasque. Bien sûr, il n'a pas joui. Ce privilège m'était réservé.
Je m'assois sur une chaise et décide de finir ce plan en beauté histoire qu'il comprenne qu'il a été soumis, non seulement sexuellement mais aussi psychologiquement.
Je lui demande de se rapprocher. Il a l'air penaud. "Couche toi sur mes genoux !". Il me regarde hébété, mais ne bouge pas. "Couche toi sur mes genoux bâtard !". Cette fois il semble se réveiller et rapidement, il prend la position. Je ne suis pas sur qu'il ait compris tout de suite ce qui allait lui arriver, car la première fois que ma main droite s'abat sur sa fesse gauche, il pousse un cri de surprise et de douleur.
Oh oui, j'ai décidé de l'humilier jusqu'au bout. La fessée qu'il reçoit est longue et magistrale. Les coups de main s'abattent sur ces jolies fesses musclées. A droite, à gauche, à gauche à droite, répétées sur le même coté, rapprochées, avec des pauses un peu plus longues, directes, frottées, brossées. Tout y passe.
Il tressaille, il se cabre, il se raidit. Je sens qu'il essaie d'assumer au maximum. C'est seulement au bout de 10 minutes de ce traitement qu'il finit par s'avouer réellement vaincu. Je sens tout son corps se détendre, et je vois les premières larmes s'écraser sur le sol.
Le sentiment de de puissance et de domination est en moi total à ce moment là. il s'est lâché, toutes ses défenses ont cédé, il est à moi.
Du coup, je caresse lentement et gentiment son dos, ses épaules, et même ses fesses rougies.
Il comprend que ce mauvais quart d'heure est passé et que le plan est terminé.
Je l'aide à se relever et je guette sa première réaction.
Il se sèche ses larmes, me regarde droit dans les yeux et avec un sourire me dit "Putain, mec, quel plan et quel pied !", "J'aurais jamais imaginé, il y a une heure, que ça se termine comme çà.", "Merci mec".
Hummm. Je suis aux anges. J'ai pris un pied terrible et il semble aussi avoir apprécié...
On se dirige vers le bar et on s'offre un verre bien frais et quelques raisins secs. On discute de nos tafs respectifs (j'avais compris que même si on n'est pas des collègues, on bossait pour des "administrations proches") et de sport.
Au bout d'une dizaine de minutes, je lui dit que je vais rentrer chez moi (moi, j'ai encore une dizaine de borne à courir pour rentrer LOL). Là, il me fixe et me dit "Hors de question, bâtard, c'est ton tour ! Tu fermes ta grande gueule et tu prends la position que j'avais tout à l'heure !". J'éclate de rire et lui répond "Tu crois au père Noël ou quoi ? Je t'ai réduis au rôle de sous merde et tu crois reprendre le dessus ?".
Je pense que c'est là que j'ai commis une erreur, cela l'a déchaîné. Il m'a envoyé une double mandale dans la gueule et m'a dit "Ha, t'a cru que j'étais une petite fiotte qui prenait son pied uniquement en se soumettant à des mecs moins costauds et plus jeunes ? Tu t'es trompé, bâtard ! EN POSITION NOW !".
J'ai compris qu'il ne plaisantait pas et j'ai obéi. J'étais persuadé qu'il allais me sauter pour me rendre la monnaie de ma pièce, mais non, il m'a planté là en m'intimant l'ordre de ne pas bouger et il a disparu. Ça filait à 100 à l'heure dans ma tête. Il est revenu 3 minutes plus tard. Il m'a mis du gel sur le trou en disant en rigolant "Je vais préparer mon bâtard". A peine avait il fini sa phrase que je sentait un petit tube entrer dans mon trou lubrifié.
Puis mon cul se remplit d'un liquide tiède. "Voilà, je vais préparer ET laver mon bâtard de fond en comble". Putain, ce con me faisait un lavement. Je ne le reconnaissais plus. Comment la lope qui s'était fait humilier quelques minutes plus tôt avait elle pu se transformer un sado ?
Wow, j'avais le cul plein. Il me dit de tout garder et me traîna sur la terrasse. Je pensais pouvoir me vider mais il décida de me faire marcher, de me faire faire flexions, des petits sauts. Il s'était allongé sur la chaise longue et me regarder me faire humilier avec un plaisir non dissimulé. Je commençais à ne plus pouvoir tenir. Je lui dis. Mais l'humiliation continua. Marcher, sauter, se baisser.
Fatalement lors d'une flexion, l'accident se produisit et je ne pus me retenir. Je reçus une volée d'insulte et de moqueries. Il me nettoya au jet et finalement me fit sécher au soleil les jambes écartées , les bras écartées appuyés sur un mur.
Et alors que je commençais à reprendre mes esprits, il s'approcha et commença a me pénétrer avec la même fougue et la même force que celle que j'avais mis tout à l'heure pour lui ouvrir le cul. Il tapa, bien au fond pendant en temps hallucinant.
Lui qui avait fini le premier plan avec une queue flasque, était en train de me prouver qu'il avait retrouvé toutes ses capacités.
J'avoue que je pris un pied d'enfer... Il baisait aussi bien qu'il aimait se faire sauter.
Il finit par remplir sa capote au mois aussi abondamment que je l'avais fait.
C'est seulement après une deuxième douche et un bon petit déjeuner qu'il me ramena à la maison en voiture. Alors que sa voiture bleu foncé repartait, je me dis que j'avais vraiment eu une bonne idée d'aller courir ce matin là.
Loic Du 56
loicdu56@hotmail.com
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