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Escale au salon

Cela fait déjà pas mal de temps que je n’ai pas écrit sur ce site, mais le travail m’a plutôt occupé et j’ai dû réaliser plusieurs missions à l’étranger.

Pour ceux qui n’aurait pas lu les « épisodes précédents », je me présente : Loïc, 36 ans maintenant, bi, 181, 81 kg, carré, bien entretenu par le sport que je pratique régulièrement grâce à mon métier.

Il y a trois mois, j’étais de retour « à la maison » lorsqu’on me propose une mission de 77 jours : un territoire américain dans le pacifique… jamais été aussi loin ! La cellule logistique s’est occupé des billets et avec surprise, j’ai reçu un billet en classe « affaires » (mazette !).

Le voyage comportait deux escales : une à Amsterdam, puis un long vol jusqu’à Seattle et enfin, la traversée d’une partie du Pacifique.

Après 1h25 de vol, 1 heure de correspondance et 10h30 de vol, je commençais à être bien dans les choux. Mais l’avantage de la classe Affaires, en plus du grand siège et de l’espace à bord, c’est qu’elle donne accès au « Salon » de la compagnie.

Arrivé juste à l’heure à Roissy, je n’avais pu profiter de celui de Paris, mais la correspondance de 4 heures à Seattle me laissait le temps de découvrir ce petit monde caché.

A 22h30, il ne restait que quelques passagers attendant, comme moi, un vol de nuit dans cet immense espace. Je pris mes marques, me fit servir une boisson gazeuse et pris quelques biscuits apéritifs et un fruit (le repas dans l’avion m’ayant bien calé).

Je partis ensuite à la recherche des toilettes, et tombai sur un panneau indiquant des « douches ». Je ne savais pas que l’on trouvait des douches dans les aéroports, mais si !

Je me dis immédiatement que ça me permettrait de reprendre quelques forces. Je m’approchai et sonnai. Un gars, entre 25 et 30 ans vint me voir. Il portait un badge : « Jimmy » : cheveux assez court châtains, une bonne carrure, des yeux verts perçants et un grand sourire.

Je lui dis c’était ma « première fois », ce qui le fit sourire encore plus. Il me proposa de le suivre et m’emmena vers une porte ouvrant sur une « salle de bains » assez grande avec une énorme douche à l’italienne, une table, un lavabo et des toilettes. Il me dit qu’il y avait des serviettes sur la droite et que s’il me manquait quoi que ce soit, il me suffisait de sonner et que quelqu’un m’apporterait ce dont j’avais besoin. Il me précisa même que vu l’heure, je pouvais prendre tout mon temps.

C’est seulement lorsque je refermai la porte que je réalisai qu’il était assez mignon (je m’attendais plus à trouver une femme de 50 ans qu’un mec de 25 dans un lieu et pour un métier tels que ceux-là).

Bref, je me mis à poils et passai sous la douche. Deux minutes, la fatigue avait disparu, deux minutes de plus et je me laissais envelopper par une douce torpeur. Je finis par me savonner et me rincer.

J’allais me raser lorsque je me rappelai que j’avais laissé mes affaires de toilettes dans ma valise. Il y avait bien une brosse à dents à dispo, mais pas de rasoir.

Je mis une serviette autour de mes hanches et appuyais sur la petite sonnette. 2 minutes après, on sonnait à la porte. J’ouvris et Jimmy était face à moi, toujours souriant.

Je lui expliquai le problème, il me dit que cela n’en était pas un et qu’il allait revenir avec ce qu’il fallait. Il me demanda si je voulais boire quelque chose et disparut. 3 minutes plus tard, il revint avec un plateau : un rasoir, de la mousse à raser, un verre de coca et une petite serviette.

Au lieu de me donner le plateau, il me demanda s’il pouvait entrer et alla jusqu’à la table.

Quand il se retourna vers moi, il arborait encore et toujours ce large sourire.

« Besoin d’autre chose ? On dirait que la douche vous a fait du bien, mais vous n’êtes pas encore assez en forme pour repartir ! »
« Ha bon ? Non ça va bien, merci. »
« Humm, je pense que vous avez vraiment besoin d’un petit boost. Vous savez que les habitants de Seattle sont réputés pour leur sens de l’hospitalité ? Il me faut respecter la coutume. »
Avant que j’aie pu répondre, il retourna vers la porte, la referma et se retourna vers moi.

« Oui, je suis sûr que vous avez besoin de tous mes talents pour vous remettre parfaitement en état. »
Il s’approcha et sans que je ne trouve rien à lui rétorquer, il défit ma serviette qui tomba au sol.

« Beaucoup mieux ».
Il tomba à genoux et pris ma queue dans sa bouche. A partir de là, mon instinct de chasseur repris le dessus : j’appuyai sur la tête pour qu’il me fasse un bon fond de gorge comme je les aime. J’étais raide, en manque et ce petit bâtard m’avait carrément sauté dessus.

Alors que je commençai à bien profiter, Jimmy se dégagea et se releva : « Humm, je pense qu’il faut éclaircir un peu tout ça ! ». Il me repoussa dans la douche, fit un pas en arrière et se déshabilla sans plus de cérémonie.

Il fit couler l’eau sur moi, s’assura que ma queue et mes couilles étaient bien mouillées et appliqua de la mousse à raser. Je compris immédiatement ce qu’il voulait faire et je décidai de le laisser faire.

Délicatement, il me rasa les couilles puis s’attaqua à ma toison pourtant assez courte. 5 minutes plus tard, j’étais rasé à blanc. Ma queue était en demi-mole. Il regarda son travail et dit tout souriant « Elle est tellement belle, ça la met encore plus en valeur. ». « Tournez-vous, penchez-vous et écartez les fesses ! ».

J’avoue que si un domi m’avait donné cet ordreà, j’aurais pensé qu’il allait m’enculer, mais là, aucun risque. Délicatement il me tartina la raie de mousse et repris son instrument afin de me laisser une rondelle bien lisse.

La situation me rendait assez fou et je bandais comme un âne.

Je le redressai et il commença à me savonner de partout. Cette sensation de mousse, d’eau et de caresses me mis dans un état second. Oubliées les heures de vol, envolée la fatigue. Je ne pensais plus qu’à une chose : il fallait que je me fasse ce garçon de bains qui n’avait pas froid aux yeux.

Il arrêta l’eau puis commença à me sécher délicatement. Seulement après, il prit une douche rapide et lui aussi se sécha… avec ma serviette.

C’en était trop pour moi. Le petit américain allait comprendre les conséquences de chauffer un Français en chaleur, un soir tard.

Je me plantai en face de lui et lui dis :

« OK. Maintenant, c’est moi qui prends les commandes. C’est compris ? »
« Oui »
« Pardon ? »
« Oui Monsieur ! » (rien d’aussi bandant qu’un « Oui monsieur », à part, peut-être un « Yes Sir! » dans la bouche d’un petit ricain).
« Et bien voilà, on se comprend ». « Pas de cris, pas de bruit, je fais ce que je veux. Les règles sont claires ? »
« Oui Monsieur ! »

Dans la seconde, j’envoyai ma main sur ces couilles, je les attrapai et les serrai. Ses yeux s’écarquillèrent de surprise et de douleur. Il ouvrit la bouche mais immédiatement je lui dis « Ta gueule ». Il la ferma immédiatement et serra les dents. Son sourire éclatant fut enfin remplacé par une expression de soumission.

Délicatement, mais fermement et de façon continue, je tirais sur ses couilles, vers bas, tout en lui ordonnant de ne pas plier les jambes. Visiblement la douleur augmentait, mais il encaissait bien.

Il venait de passer l’épreuve de qualification : j’avais une petite lope à ma disposition.

Je lâchai ses couilles et le fis mettre à genoux. Il goba ma bite sans même un ordre. Cette fois, je commençai une longue série de vas et viens de plus en plus rapides et de plus en plus profonds. Au bout de quelques minutes, je repérai quelques hauts le cœur à chaque fois que ma queue gonflée à bloc touchait le fond de sa gorge.

Je ne sais pas ce qui me passa par la tête mais à ce moment-là, je me dis que je pouvais et devais me le casser pour de bon. J’enfonçai ma tige au fond, puis me retirai de 2 cm environ, pour qu’il puisse respirer. Je l’obligeai à me regarder et, là, je lui envoyai un énorme mollard en plein gueule. Il bougea à peine. Pas mal.

Je décidai de lui rendre le sourire qu’il m’avait adressé plus tôt. Je le fixai, ouvris la bouche et sans rien dire, je contractai mon ventre et commençai à lui vider ma pisse dans la gorge. Il écarquilla les yeux comme jamais. Je suis sûr qu’il n’avait pas pensé à ça (il me dit plus tard que c’était une première pour lui).

« Ne gaspille pas une goutte !».
Il s’appliqua et réussit à avaler tout ma pisse. On aurait dit qu’il était en état de choc. Normalement, une bonne paire de claques remet les idées d’un bâtard en place, mais là, je ne pouvais pas vu le lieu.

Je sortis ma queue et appuyant sur sa tête je le forçai à aller jusqu’à mes pieds pour les lécher. Cette petite sous-merde aimait ça ! Il lécha avec application, passa entre les doigts de pieds et fini par se coucher par terre sur le dos pour me faire la plante des pieds. J’étais aux anges.

C’est dans cette position que je regardais sa bite pour la première fois. Il était tondu, mais pas rasé. Sa queue était relativement petite et surtout il ne bandait pas. Il ne m’en fallait pas plus pour que je monte encore d’un cran dans les tours.

Je lui ordonnai de se lever et le trainai vers les chiottes. Je lui fis relever l’abatant et il dut prendre appui sur la cuvette directement.

Sur le plateau qu’il avait apporté, il fit glisser la serviette sous laquelle se trouvait un tube de lubrifiant, deux capotes et un flacon de pops.

Je lui graissai le trou, enfilai une capote sur ma tige énorme et la lui mis à l’entrée du trou. Il couina une fois : « Silence ! ». Il arrêta immédiatement.

« Je ne veux rien entendre. Tu m’as chauffé. Tu encaisses. Un point c’est tout. Reçu bâtard ? »
« Oui Monsieur ! »
« Je peux avoir du pops, s’il vous plait Monsieur ? »
« Dans tes rêves, bâtard, tu te concentres, tu pousses et tu encaisses »

Je sentis qu’il prenait sur lui. Et je commençai à m’introduire dans son petit cul serré. Millimètre par millimètre, puis centimètre par centimètre, je fis glisser mon boa dans ses entrailles. Je l’entendais souffler et essayer tant bien que mal d’accepter de se faire ouvrir, sans la moindre pause.

Finalement mes couilles lisses rencontrèrent son cul et je compris qu’il avait tout avalé.

« Bien, détends-toi, calme-toi, habitues-toi. Maintenant, bâtard, je vais lâcher les chevaux ».
Je sentis qu’il serrait les dents et je commençai un pilonnage en règle, lentement, puis en accélérant.

Au bout de quelques minutes, j’estimai que son trou devait s’être habitué et je décidai de tout donner. J’accélérai et on n’entendit plus que les bruits de succion que faisait son trou sous les assauts répétés de ma queue.

Il se crispa de plus en plus mais il m’en fallait encore plus. J’accélérai en le tenant par les hanches et en lui défonçant littéralement la chatte.

Quand je sentis que les choses sérieuses approchaient. Je fis glisser ses bras de la cuvette de sorte qu’il se trouva la tête dans les chiottes. Cette vue me transcenda et je remplis la capote d’une bonne quantité de semence.

Je finis par le libérer. Il se releva et son sourire revint sur ses lèvres.

« Je n’oublierai jamais ce plan Monsieur. Merci beaucoup »
Je lui roulai une pèle bien baveuse. Il récupéra ses affaires et sorti.

Alors que je voulais jeter la capote dans les toilettes, je vis, juste devant une tache de jute. Le petit bâtard avait joui du cul, sans le dire, sans un bruit et sans bander. A cette vue, je senti mon bas ventre vouloir remettre ça, mais bon, il fallait penser à sortir.

Je pris une nouvelle boisson et attendis mon vol. Je m’endormis avec un énorme sourire. La semaine de mission se déroula sans problème. Mes homologues sur place étaient super sympas, mais plutôt coincés. Il ne se passa rien.

Je fus déçu lorsque je vis que mon vol de retour était via Los Angeles et pas Seattle. Aucune chance que le plan hallucinant de l’aller ne se répète.

Loic Du 56

loicdu56@hotmail.com

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