Premier épisode
J'ai passé une nuit de folie. Nous nous sommes endormi dans les bras l'un de l'autre, mais au bout de quelques heures je me suis reveillé, j'avais l'impression que mon appetit sexuel loin de s'etre éteint après mes ébats avec Louis s'était embrasé, je me consumais de désir. J'en voulais plus et en sentant le sexe de mon mili contre ma cuisse je decidais de me servir. Je dirigeais ma main vers ce sexe, lui octroyant des caresses puis je dirigeais ma tete, plutot ma bouche vers sa bite, avide de retrouver cet énorme bonbon (je sais, je suis un gourmand), il etait déja mi bandé bien que toujours endormi, cette fois je decidais de ne pas me presser, cette fois ci le plaisir ne sera que douceur je ferai l'amour à cette bite avec ma bouche et ma langue. Le faire mourir de plaisir, c'était mon but, j'ai commencé à le sucer, en profondeur savourant chaque centimetre de peau comme la plus delicieuse des glaces à la vanille, imposant à langue en plus une rotation autour du gland chaque fois que j'étais à son niveau(fermez les yeux chers lecteurs, imaginez vous à la place de Louis, se reveillant en sentant ma langue faisant le tour de son gland, lentement, puis ma bouche descendre centimetre par centimetre, j'enfonce votre sexe tellement loin au fond de ma gorge, mes doigts effleurant ses couilles velus... Mieux imaginez votre mec vous le faire).
Avec ce traitement il ne pouvait pas rester endormi bien longtemps, en se reveillant mon beau mili n'eut qu'un seul mot.
_ Putain!!!!
Je ne pris pas la peine de repondre, me concentrant sur ma tache, et lui semblait avoir perdu la notion meme du language. Je suçais, dévorais cette queu la poussant si loin au fond de ma bouche, je ne pensais meme pas etre capable de l'envoyer aussi loin, je suis certes un spécialiste des gorges profondes, mais là j'etais surpris par mes prouesses buccales. Louis semblait emporter par le plaisir et aussi agacer par mon envie d'y aller à un seul rythme, et moi je continuais j'allais et venais comprimant, massant sa bite avec ma langue, je me mis à lecher sa bite, puis je descendis aspirer ses couilles, ensuite je lui ai leché le périné (zone entre les couilles et l'anus tres sensible) et mon militaire n'arretait pas de gémir, je suis revenu vers sa queu je l'ai glissé dans ma bouche en fixant les yeux du mec, soutenant son regard jusqu'a ce qu'il ferme les yeux dans un gemissement, cette pipe dura un certains temps avant que Louis ne jouisse dans ma bouche, plusieurs jets. Je deteste le gout du sperme autant que je kiff les pipes donc j'ai recraché son jus.
Je me suis couché et avant que je ne puisse parler il m'a embrassé fougueusement.
Il me caressait, m'embrassait, et son sexe était bandé.
Nous n'avons pas parlé, de peur de détruire ce moment, de pure plaisir.
Il a pris le lubrifiant et un préservatif, m'a lubrifié et m'a pénétré sans préparation préalable vu qu'il m'avait sacrement defoncé quelques heures auparavant, cette fois il y est allé en douceur, lui aussi voulait me marquer.
Il me baisait encore une fois comme on ne l'avait jamais fait, allant et venant en moi lentement, je sentais chaque centimetre de sa queu s'enfonçant dans mon cul il alternait vas et viens et lente rotation du bassin le fameux coup de rein version lente, tres tres lente, il m'embrassait en meme temps en retenant mes bras au dessus de ma tete. J'étais à sa merci, soumis au plaisir que m'infligeais sa queu, à un moment il m'a mis sur le ventre, s'est couché completement sur moi et il s'est à nouveau enfoncé en moi effleurant ce fois une zone qui me fit gemir plus fort ma prostate. Instinctivement il a compris et a fait en sorte de toujours passer par là, mon plaisir s'est multiplié par 100(peut etre mille) il allait profondement en moi j'avais l'impression que sa bite etait deux plus grande, plus grosse ( une chose etait sur marché apres ça serait compliqué). Il me baisa dans cette position jusqu'à la jouissance dévastatrice. Mon anus s'est comprimé sur sa queu tout le long de ma jouissance, ça l'a fait jouir lui aussi.
Nous sommes rendormis sa queu toujours en moi, lui je le garde il sait comment me faire prendre mon pied ma derniere pensee cohérente avant de tomber dans le sommeil.
Je me suis réveillé apres quelques heures une impression de vide là ou vous savez.
Louis etait en train de se rhabiller.
_ Bonjour.
Il ne m'a pas repondu, par contre le regard qu'il m'a adressé était plein de colere, de haine.
_ Tu vas fermer ta gueule, tu ne me connais pas, si j'entends mon nom dans le quartier à cause de toi je te BUTE! Sale pédale.
Sur ces charmantes paroles il est parti ...
_ Putain d'hétéro de merde!
Désolé pour les fautes je poste depuis mon phone difficile de me relire...
Luk Alexandre
erwananguilet@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Le militaire gabonais