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Je venais de rentrer chez moi lorsque mon téléphone sonna. Je ne connaissais pas le numéro et, comme souvent, je laissais passer sur la messagerie.
Comme la personne ne laissait pas de message, je supposais qu'il s'agissait d'une erreur mais le téléphone se remit à sonner en affichant le même numéro.
Je décidais de décrocher et ce fut la voix de mon prince marocain que j'entendis...
"Alors salope, tu réponds pas ?"
"Ben oui MOUNIR je viens de comprendre que c'était toi"
"Tu es chez toi ?"
"Oui"
"Donne l'adresse, je viens avec des potes"
Je donnais mon adresse et rangeais rapidement le désordre de mon appartement pour recevoir mon bel arabe et ses amis.
Moins de quinze minutes plus tard la sonnette retentit et je vis par la fenêtre MOUNIR, MUSTAPHA et deux des garçons que j'avais vus dans le parc.
J'ouvrais ma porte et ils entrèrent sans plus de cérémonie, se vautrant dans le salon et réclamant à boire et à manger.
Ils revenaient de l'entraînement de foot et ils se mirent à l'aise, en chaussettes et slips au milieu du salon. Ils étaient déjà tous en érection prêts à emplir ma bouche de leur nectar délicieux.
MOUNIR présenta ses camarades, SOFIANE et ZOUHAIRE, m'ordonnant de me déshabiller et de me mettre à quatre pattes devant eux.
"Tu vas sucer SOFIANE, il a jamais été sucé par une pédale ! Ensuite on va te baiser la chatte..."
Je commençais à sucer le sexe de SOFIANE, dur et long il était délicieux. Son odeur était divine et témoignait d'une douche lointaine, comme j'aimais cette négligence chez les jeunes adultes.
Alors que je gobais avec délice le membre du jeune ami de MOUNIR, je sentis des mains caresser mes fesses, puis, sans prévenir, la fessée arriva m'arrachant un cri de douleur et de surprise.
MOUNIR me donnait la fessée avec plaisir et mes fesses rougissaient sous ses coups puissants. La main de MUSTAPHA branlait mon zob pendant ce temps et je voyais que le dernier lascar, ZOHAIRE, était totalement nu et caressait avec délice une superbe érection.
Je sentis le frémissement de SOFIANE au moment où, en grognant de plaisir, il remplit ma bouche de sperme que j'avalais avec gourmandise.
Il se retira laissant la place à ZOUHAIRE dont le sexe odorant emplit ma bouche de délicieuses effluves de sueur et de pisse mêlées. Il me baisait la bouche avec ardeur, son gland cognant au fond de ma gorge offerte à sa puissance virile.
Je sursautais en sentant un doigt entrer dans mon anus. MOUNIR me dit à l'oreille :
"Je n'ai jamais enculé un pédé, tu seras le premier".
"je l'enculerai juste après" dit MUSTAPHA
L'après-midi promettait d'être mémorable pour une salope !
Fabien51
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