Chapitre 1
Salut à tous.
Après avoir été un lecteur assidu, je me lance en tant qu’auteur.
Une brève présentation s’impose. Je tairai volontairement mon prénom comme certains détails de ma vie pour ne pas alerter ceux qui me connaissent. Je fais donc 1m70 pour 63 kilos, sportif, sans l’être totalement. J’ai près de quarante ans et vais en salle de sport tous les soirs. Queue de 19 cm et petit cul bombé dont je prends grand soin à raser toutes les semaines.
Je suis en couple gay depuis plus de dix ans avec un véritable passif. D’où mon problème, avant de le connaitre, j’étais devenu bien plus passif qu’actif.
C’est de là où va commencer mon histoire : « Le jour où j’ai découvert que je préférais donner mon cul qu’en empaler alors que j’avais une petite vingtaine d’années.
Chapitre I : Le Fantom
Ce jour-là, je surfais, comme à mon habitude, à la recherche d’un cul. Un mec, le Fantom, que j’avais déjà rencontré me contacta pour renouveler notre premier plan cul ensemble. Celui-ci était simple : j’arrive, il se met à quatre pattes et je lui bouffe longuement le cul. J’accepte de nouveau ce plan, car j’adorais bouffer du cul et je me moquais, à ce moment précis, qu’il n’y ait que ça.
Je me rendis donc très rapidement chez lui. Pratique, il habitait à deux pâtés de maisons de chez moi. J’arrivai en bas de son immeuble, je sonnai, il m’ouvrit, je pris l’ascenseur, je longeai le couloir qui menait à son appartement, j’entrai chez lui… Son cul imberbe m’attendait déjà. Je m’agenouillai devant son orifice et commença à le lécher tendrement avant de le bouffer frénétiquement. J’avais, entre temps, baissé mon jean et mon boxer afin de libérer ma queue qui était raide comme jamais.
Dans la pénombre, une unique lampe de chevet était allumée, et le silence, hormis le bruit de délectation provoquait par mes coups de langue baveux et humides, j’entendis : “ Ah putain, mais tu as un sacré beau cul. ” J’arrêtai ma dégustation et le regarda. Il observait quelque chose derrière moi. Intrigué, je me retournai et vis mon cul dans le miroir. Je le remerciai du compliment et continuai mon œuvre. Pour tout avouer, j’espérais l’enculer cette fois-ci. Il me demanda d’arrêter et me pria de bien vouloir le laisser bouffer mon cul. J’acceptai.
À quatre pattes à mon tour, je sentis ses mains me caresser les fesses. Il s’accroupit, écarta mes deux belles petites miches et commença à me titiller la rondelle. C’était chaud et humide. Il tenta une percée et força le passage. Je tendis davantage mon cul pour apprécier ses coups de langue experts. Pendant plus d’une demi-heure, il m’a bouffé le cul avec plus de frénésie que j’en avais eu en lui bouffant le sien. Étrangement, et c’était nouveau pour moi, je ne bandais pas, mais mouillais énormément du gland. Il n’y en avait que pour mon cul et j’adorais ça. Je ne voulais qu’une chose, me faire défoncer le cul par sa bite comme il l’a été par sa langue. D’un coup, il se redressa et colla sa queue contre mon cul demandeur. Je le trémoussa l’invitant ainsi à m’enculer. Mais il se contenta de branler sa queue entre mes fesses pour finir par cracher tout son jus sur mon trou. Quelque peu frustré, mais néanmoins comblé par cet anulingus magistral, je repartis chez moi.
Le lendemain, il me recontacta pour me dire qu’il ne cessait de penser à mon cul et m’avoua avoir eu envie la veille de me défoncer comme jamais, mais qu’il n’avait pas osé. Je lui ai répondu qu’il aurait dû, car mon cul était entièrement à lui. Là-dessus, il me demanda si j’étais dispo. Je lui répondis que oui.
Cette fois-ci, j’enfilai un jock-strap et un jogging pour aller à l’essentiel en arrivant chez lui. Poppers à la main, je me dirigeais, fébrile, vers son immeuble tout en sachant que je vais m’en prendre plein le cul.
Voilà comment d’actif affirmé, je suis devenu un passif dont la seule obsession était de jouir du cul un maximum.
Le Cul jouissif
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