Premier épisode
Chapitre 2 | L’inconnu, voisin.
Ayant toujours le cul chaud-bouillant, Le Fantom (Chapitre 1) n’arrivant pas, à lui seul, à me rassasier totalement, je surfais donc très souvent sur le net à la recherche de plans cul avec pour unique motivation, me faire défoncer le cul en plan direct.
Mon trip était simple : je recevais à quatre pattes sur mon lit en jockstrap, le cul bien tendu, avec gel et capotes à côté et poppers à la main. Prêt à me faire baiser. Je n’étais qu’un cul et je souhaitais n’être qu’un cul.
Ce jour-là, je trouvai facilement de quoi me calmer. Un mec de 1 m 90 pour 85 kg, bite de 22 cm. Il était parfait, il ne voulait qu’une chose, se vider les couilles grâce à mon cul. Il me dit se m’être en route et être chez moi en 30 minutes.
Je vais donc prendre ma douche en m’attardant longuement sur mon cul. J’enfile mon jockstrap et attends, fébrile sa venue.
À peine 10 minutes plus tard, on sonne. Je réponds, personne ne dit mot, j’ouvre quand même en reprécisant « rez-de-chaussée », j’entre ouvre la porte de mon appartement, je m’installe à quatre pattes sur mon lit tout en me disant qu’il est drôlement en avance, je tends mon cul en prenant une première bouffée de poppers, il entre et ferme la porte…
Il s’approche, je ne me retourne pas. Ne pas voir qui me baise le cul fait partie de mon trip. Ses mains se posent sur mon cul. Il écarte mes fesses. Je tends davantage mon cul. J’entends la boucle de sa ceinture se défaire, puis le froissement de son jean lorsqu’il défait ses boutons. Je suis toujours le nez dans le poppers. Son jean se baisse. Il pose sa bite sur mon cul. « Putain, il ne m’avait pas menti, elle est énorme. » Sans dire un mot, il prend un des préservatifs posés près de moi, puis le gel. Il m’en met sur le trou, me le caresse avec son gland et commence des petits mouvements de bassin pour attendrir mon trou. Je garde, excité, le poppers dans la narine. Il entre en moi avec douceur, toujours à l’aide des petits mouvements de son bassin. Son gland ne tarde pas à faire céder mon trou. Je suis chaud et n’ai qu’une envie qu’il me baise violemment. Mon vœu fut très vite exaucé. Alors que jusque là, il était doux et très lent, il m’agrippe les hanches, entre sa putain de grosse bite entièrement dans mon cul et commence à me pilonner sévère comme s’il était pris par le temps. Je jouis littéralement du cul. En continu, il me défonce le cul jusqu’à jouir. Je n’entends que de lui, un râle de satisfaction. Il se retire, jette sa capote bien remplie sur le lit, se rhabille puis repart comme il est arrivé.
Je me redresse donc et me dis que j’aurais aimé qu’il me baise plus longtemps. J’ai le cul encore bien chaud.
Je me dirige vers la salle de bain pour reprendre une douche, quand la sonnette retentit : « Oui ? » Un mec me répond. Ho putain, c’est mon plan. Peut-être en reveut-il encore… Moi oui en tout cas. J’entre ouvre la porte et me réinstalle à quatre pattes sur mon lit, le cul bien tendu et toujours autant lubrifié. Il entre, se dirige vers moi en se dégrafant le pantalon. Il me touche le cul, passe son doigt le long de ma raie, me caresse le trou et me fout un doigt direct. Puis il me dit : « Hum, quelqu’un est passé avant que j’arrive. J’adore. » Ces mots ont résonné en moi comme une décharge électrique. Qui m’avait défoncé le cul juste avant ? Cela m’excite encore plus. L’autre continue sa fouille anale pour finir par me foutre d’un coup sa grosse queue qu’il avait énorme comme il l’avait dit. J’avais pour ma part toujours le nez dans le poppers et j’ai pris, avec lui, mon pied pendant une bonne demi-heure. Il jouit, se rhabille et repart en me disant qu’il reviendrait se servir de mon cul comme vide couilles.
En prenant enfin ma douche, je repense à cet inconnu qui m’avait baisé juste avant. Qui était-il ? J’ai eu la surprise de trouver une feuille de papier sur le sol près de la porte d’entrée. C’était un mot sur lequel j’ai pu lire : « J’ai trop aimé te défoncer la chatte. Ça ne fait pas mal de temps que je te mate en train de jouer les salopes. Aujourd’hui, j’en ai profité. Si tu as aussi kiffé, laisse ta porte ouverte cette nuit à minuit et mets ton cul à ma disposition. Un voisin qui ne veut que te baiser. »
Pas besoin de vous dire que j’ai accédé à sa demande. Et ce, à chaque fois qu’il me laisse un message sous la porte.
J’ai su bien plus tard, lors de mon déménagement, qu’il s’agissait du concierge de l’immeuble, 40 ans, pas mal bâti, marié et père d’un enfant. Il m’a avoué m’avoir souvent observé en train de me faire défoncer par les mecs. Étant au rez-de-chaussée, il était facile de me mater par la fenêtre. Je suppose que cela lui arrivait lorsqu’il taillait les haies par exemple.
Le Cul jouissif
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