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Saison -04 / Chapitre -03
Comment j'ai enculé Noah
Me voilà donc dans la salle de bain, seul avec Noah. Moi encore habillé - avec un boxer déjà bien mouillé par le precum, mais je n'avais pas encore éjaculé de la soirée ! Et Noah nu comme un ver, le corps tout blanc, le visage encore rouge, sa longue bite demi-molle. Il assumait sa nudité sans problème, avec surement un point de provocation envers moi, ce qu'il prouva rapidement. J'étais en train de m'asperger d'eau le visage et de me rincer la bouche quand, debout juste à côté de moi devant le lavabo, il me dit :
Noah : Alors, t'en as bien profité ?
Moi : De quoi tu parles ?
Noah : De moi pardi ! Tu crois que je n'ai pas remarqué ? Je ne sais pas si la bite de Matteo était un prétexte ou quoi, mais t'en as bien profité pour m'embrasser.
Je savais qu'il n'était pas attiré par moi mis il n'étais pas obligé de me le faire remarquer aussi directement...
Moi : Et toi, tu aimes ça alors ? Te faire prendre comme une chienne ? Faire le soumis ? Être la lope de Kamel ?
Sans me regarder, en faisant mine de s'examiner dans le miroir, il répondit :
Noah : Faut croire ! On a tous nos jardins secrets.
Il était là, à poil devant moi, visiblement pas très pressé d'aller sous la douche. Allais-je en profiter ou pas ? C'était maintenant ou jamais, et j'avais vu qu'avec lui, il fallait employer la manière forte. La seule difficulté, pour moi, consister à surmonter cette distance entre nous, cette impression que j'avais d'être le petit intello moche à côté du beau gosse du lycée qui daignait m'accorder le privilège de le voir nu, mais rien d'autre. Sauf que j'avais un argument de taille, et je savais qu'il y serait sensible...
Moi : Entre Matteo qui me suce et toi qui te fais prendre, c'est la soirée des surprises ! Pourtant t'as pas joui !
Noah : Non, même pas. Mais ce n'est pas grave.
J'ai aussitôt tendu ma main vers son cul et j'ai glissé un doigt dans son trou - encore gluant du sperme de Kamel.
Noah : Tu fais quoi là ? Arrête !
Mais sa réaction corporelle montrait bien qu'il éprouvait du plaisir.
Moi : Ben quoi ? Tu ne veux pas que je t'aide à jouir ?
Je continuais à fourrer un doigt, puis deux dans son cul. C'était déjà bien élargi, et le sperme de Kamel dégoulinait. En temps normal j'aurais probablement trouvé ça écoeurant, mais là, avec Noah à dix centimètres de moi, ça m'excitait vraiment et mon érection avait repris... Mais il me prit le bras et je dus me résigner à ressortir mes doigts.
Noah : Non arrête, je suis sérieux. Y'a que Kamel qui a le droit de me prendre de ce côté-là.
Moi : Pourtant, ça a suffi pour te faire bander à nouveau.
C'était vrai : j'avais à peine dû faire quelques caresses et son sexe était à nouveau dur, dressé, impudique, cognant contre le lavabo - long, mince et fin.
Noah : Je n'ai pas dit que je n'étais pas chaud. Juste que y'a que Kamel qui a le droit de toucher à mon cul.
Moi : Pourtant tu as vu ma queue avant. La queue de Kamel est épaisse, je ne dis pas, mais la mienne est plus longue.
Joignant le geste à la parole, j'ai baissé mon short pour montrer ma queue qui commençait à prendre forme : pas encore entièrement dure, mais déjà bien épaisse et longue. Il la regarda avec avidité, et ne put s'empêcher de se mordre les lèvres d'envie. Pourtant ce n'était pas sa bouche que je voulais - mais bel et bien son cul.
J'ai joué le tout pour le tout. Je l'ai retourné brusquement, je me suis mis derrière lui, j'ai pris ma queue en main et je l'ai enfourné dans le cul de Noah.
Noah : Attends tu fais quoi... Oh !
Je l'avais entrée en entier en un coup. Elle n'était pas complètement bandée, mais son trou était suffisamment ouvert et lubrifié par le sperme de Kamel pour que ça ne pose pas de problème. Et sa taille était déjà suffisamment grande pour qu'elle fasse son effet. Noah avait tenté de résister, mais à peine étais-je entré qu'il fut submergé par le plaisir (la prostate sans aucun doute !) et qu'il en fut comme paralysé. Moi, j'avais réussi mon coup : j'étais dans le cul de Noah. Le magnifique cul de Noah, tout blanc, imberbe, avec son dos fin et musclé, sa nuque, ses épais cheveux noirs. Il se tenait des deux bras au lavabo. Et, dans le miroir, je pouvais voir son visage : les yeux grands ouverts, les traits convulsés par le plaisir, il se mordait la lèvre inférieure pour ne pas crier. Je pouvais aussi voir son torse (un beau torse d'éphèbe : fin, blanc, sans poil, et musclé par un été passé à faire de la boxe !) et sa queue qui était soulevée par de petits à-coups d'érection. Au début, je ne fis que de tous petits gestes : je sentais ma queue grossir en lui, et lui aussi la sentait - je le voyais à son visage.
Kamel était un meilleur baiseur que moi, je n'en doutais pas, et un " dominateur " hors pair. Mais ma queue était quasiment aussi épaisse que la sienne et plus longue d'au moins un ou deux centimètres : sans faire d'effort particulier, elle atteignait dans le cul de Noah des endroits que la queue de Kamel n'avait jamais touchés. Noah ne pouvait s'empêcher de pousser de petits cris chaque fois que je touchais de nouveaux endroits. Sentir le sperme de Kamel - et savoir que je faisais quelque chose d'interdit - décuplait encore mon excitation et le plus dur était de réussir à faire durer ce moment, de ne pas jouir tout de suite - qui sait si j'aurais une nouvelle fois l'occasion d'enculer le beau Noah ?
Quand je sentis que ma queue avait atteint sa taille maximale ou presque, je commençais à faire des mouvements plus brusques : à la sortir presque entièrement et à la rentrer d'un coup, brutalement. Noah encaissait en se retenant de crier. Il fermait les yeux maintenant. Moi, je les gardais bien ouverts, je voulais ne rien perdre du spectacle. J'essayais d'être le plus brutal possible : à la fois pour me venger de ce Noah qui venait de se moquer de moi parce que j'avais tenté de l'embrasser, et parce que je savais que c'était ça qu'il kiffait. Et en même temps, pour passer juste après Kamel, il fallait bien ça... Et ça semblait marcher.
La queue de Noah était bien raide, mais il ne la touchait pas : il avait gardé les deux mains bien à plat sur le lavabo pour résister à mes coups de reins. Moi, je le tenais fermement par les hanches. Quand je sentis que je n'allais pas tarder à venir, j'ai changé de stratégie. Je me suis rapproché tout contre lui. D'une main, j'ai saisi sa queue pour la branler, et de l'autre, je l'ai pris par le coup et j'ai tourné son visage pour le forcer à m'embrasser. Il résista, il ne voulait pas : ni que je le branle ni que je l'embrasse. Il tenta d'ôter mes bras de lui. Mais le plaisir de ma queue l'empêchait d'agir avec résolution. Il finit par se laissait faire.
En quelques coups de rein supplémentaire, je finis par jouir en lui. C'était presque douloureux (Matteo m'avait sucé, puis Fred m'avait bien allumé, puis j'avais sucé Mattéo face à Noah... La tension s'était accumulée !) et mon sperme n'en finit pas de gicler et de couler dans le cul de Noah. Et au même moment, Noah éjacula à son tour. Nous étions synchrones ! Les premiers jets jaillirent jusque sur le miroir, le reste coula sur ma main. Je ne sortis pas ma queue de son cul tout de suite. Je montais ma main pleine de sperme jusqu'à sa bouche et il lécha les doigts : je pouvais le voir à la voir juste devant moi et dans le reflet du miroir. Je glissais un à un mes doigts dans sa bouche et il les lécha avidement - pour un peu, j'aurais presque rebandé, tellement c " était excitant. Puis je redescendis vers sa queue pour prendre du bout du doigt ce qui avait continué à couler et cette fois c'est moi qui avala son sperme. Je me retirais enfin de lui, je le retournai pour qu'il soit désormais face à moi et je l'embrassai à pleine bouche - tant pis s'il n'aimait pas m'embrasser, il n'avait pas le choix, il était de toute façon encore sous le coup de l'orgasme intense qu'il venait de ressentir. Nos langues se mêlèrent avec son propre sperme. Je profitai un peu la situation pour sentir son corps chaud contre le mien, sa queue débandée contre la mienne. Puis je me suis reculé.
Moi : Bon, qui va à la douche en premier, toi ou moi ?
Sans répondre, en évitant presque mon regard, il alla sous la douche. Ce n'est pas grave s'il avait honte : j'avais eu ce que je voulais. Je ne savais pas si j'allais gagner mon pari, mais en tout cas, j'avais déjà réussi à gouter le cul de Noah.
Marc-67
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