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Sexe à l'armée -06

À pause cubite... des culs... des bites

Les jours suivants furent un peu tristes. Puis la force et l'insouciance de ma jeunesse m'aidèrent à m'habituer assez facilement au fait que je ne verrai plus Eric. Entre temps, je m'étais habitué à la vie de caserne. Je ne souffrais pas qu'il ne soit plus là pour me prendre sous son aile. La vie a pris ses droits. J'entendais toujours mon voisin de lit se masturber, je voyais toujours Paul se dévêtir le soir. Entretemps j'avais clairement vu son sexe, de taille moyenne. Le matin, il s'arrangeait cependant toujours pour dissimuler son érection ou la calmer dans les temps. Je n'avais jamais vu le sexe de Fifi qui se faisait très pudique, avec beaucoup de naturel mais de discrétion. Le remplaçant d'Eric dans la chambre était aussi discret. Il parlait peu, avait des copains dans la chambre d'à côté et ne nous fréquentait guère. Je ne le recherchais pas. J'ai aperçu ses fesses une ou deux fois, mais cela ne m'a pas fait grand-chose.

Je me suis fait quelques nouveaux camarades aussi. J'ai sympathisé en particulier avec le coiffeur, Georges. Je sais aujourd'hui qu'en réalité, j'étais amoureux de lui, mais je n'en avais pas vraiment conscience à l'époque. Je l'ai revu quelques fois après le service puis nous nous sommes perdus de vue. J'ai trouvé entretemps son profil Facebook, mais sans arriver à renouer contact. Georges était blond, toujours bien coiffé, soigné de partout, très souriant. Un peu fanfaron parce qu'il venait de la capitale et moi de ma campagne. Mais nous nous entendions très bien. Je l'aimais beaucoup et je sais qu'il m'appréciait. Nous nous cherchions mutuellement en fin de journée pour aller manger, prendre un verre, nous discutions beaucoup et nous retrouvions sur bien des points. Mais cela est resté au stade de l'amitié. Je n'ai jamais osé tenter de savoir si cela pouvait dépasser ce stade. Alors que bien sûr, je le désirais. Son sourire m'enjôlait. Comme beaucoup de coiffeurs, certains aspects de sa personnalité pouvaient laisser penser qu'il aurait pu aimer les hommes. Mais sans plus. Je ne me souviens pas qu'il m'ait parlé de copines qu'il aurait eu, de relations sexuelles. Ce qui m'arrangeait bien vu que je n'avais pas grand-chose à raconter de ce côté-là. Aujourd'hui encore, je me dis qu'il avait quasi certainement un côté gay en lui. Mais je ne saurai sans doute jamais s'il s'est un jour extériorisé. Je n'ai jamais pu aborder son corps. J'ai juste eu l'occasion de le voir, au vestiaire des douches. Georges n'était pas exagérément pudique mais aimait se sentir tranquille pour se laver et cherchait toujours une douche pas trop visible. Dans le vestiaire, il n'avait cependant pas le choix. Et je me souviens parfaitement de son corps. Une carrure correcte mais limitée, comme souvent à 20 ans, un peu de graisse aux hanches et au ventre mais sans excès. Un corps un peu tubique en définitive. Une peau de vrai blond, très blanche, imberbe. Des fesses bien fournies, tout aussi blanches que le reste. Et un sexe superbe. Je le vois aujourd'hui encore avec précision dans ma mémoire. Long, épais, non circoncis. Bien mieux doté que le mien. Mais pas énorme comme celui d'un modèle porno. Juste très bien fourni. Et par-dessus, une touffe blonde mais quasi rousse. Je n'avais jamais vu jusqu'alors de touffe pubienne de cette couleur. J'en étais impressionné. Le souvenir de ce sexe que je n'ai jamais pu toucher m'a poursuivi toute la vie. Un fantasme inassouvi. Un désir intact. Si je rencontrais Georges aujourd'hui, je suis sûr que j'aurais très envie de lui...

A part cela, un jour, enfin, on m'annonça que j'étais inscrit à l'horaire de la fameuse pause " cubite ". La veille au soir, avant de m'endormir, je ne pensais qu'à cela, avec émotion et érection ! Je me réjouissais de cette aventure, tout en craignant un peu de ne pas savoir cacher mon trouble, d'être empêché de travailler correctement (même si la tâche n'était pas très difficile). La première fois, je ne fus pas posté près du médecin pour prendre des notes, mais chargé de gérer le flux des recrues vers le vestiaire et le bureau du médecin. Je passai donc la journée à appeler des gars qui étaient pieds nus et torse nu dans le grand vestiaire, à les introduire dans le petit vestiaire, leur demander de se déshabiller complètement. Puis je les voyais sortir des cabines, certains très à l'aise, d'autres très embêtés, parfois avec les mains au bas du ventre pour cacher leur intimité. Ils se mettaient dans la file, passaient chez le médecin dans le bureau à côté dont la porte était toujours ouverte, puis revenaient. Je n'osais pas trop fixer tous ces pénis qui déambulaient à côté de moi mais je m'arrangeais pour en voir un maximum. J'ai compris alors que le physique global et la morphologie du sexe n'ont aucun rapport et que toutes les combinaisons sont possibles. De grands et beaux gars très sexy doivent parfois se contenter d'une petite bite ridiculement limitée, de petits gringalets arborent parfois des phallus impressionnants, les tailles moyennes sont bien sûr courantes mais pas majoritaires, la couleur de la peau est parfois surprenante, beaucoup plus foncée que le reste ou alors très rose... Certains pénis ne sont pas beaux du tout, comme une bête sauvage peu amène, d'autres sont très harmonieux et terriblement attirants. Le ton des toisons pubiennes est généralement assorti à la couleur des cheveux mais parfois aussi surprenant de différence. Certaines toisons sont roux carotte alors que l'homme est plutôt châtain. Les plus pitoyables sont les Monsieur Muscle que le nature n'a déjà pas doté d'un gros sexe et chez qui l'excès de musculation fait encore davantage disparaître vers l'intérieur le petit membre viril. J'ai aussi vu des paires de fesses par dizaines, très rarement bronzées à l'époque si ce n'est chez les métissés, mais aussi très diverses en taille, en chair, en fermeté, en pilosité. Cette diversité extrême sous vos propres yeux est très amusante. Et très excitante. Je me contenais bien sûr pour ne rien toucher. Mais au cours de cette semaine, c'est par plusieurs fois que ma visite aux toilettes en fin de journée fut assortie d'une rapide masturbation au cours de laquelle je ne dus guère insister pour me soulager.

Au cours de cette semaine, c'était un vieux médecin qui était de service. Pas du tout sympa, il ne disait pas bonjour et n'adressait jamais la parole aux miliciens. Il n'ouvrait la bouche que pour dire aux recrues ce qu'elles devaient faire pendant la visite. Pourtant, il avait sans aucun doute quelques fantaisies un peu vicieuses. La plupart du temps, il réalisait ses examens de manière très routinière, mais par moment, il nous demandait d'arrêter le flux, pour une durée qu'il déterminait. Nous laissions donc poireauter les recrues dans le grand vestiaire, jusqu'à ce qu'il décide de reprendre les visites. Mais pour les cinq ou six recrues qui étaient déjà nus au moment de sa décision de pause, il terminait l'examen. Et ces pauvres bougres passaient alors un drôle de quart d'heure. Car avant chaque pause, le docteur faisait du zèle. Ou bien s'amusait. S'excitait. On ne saura jamais. Toujours est-il que j'ai assisté à ce petit manège par trois fois et que cela m'a bien amusé. Je m'arrangeais pour rester dans l'entrée du cabinet, puisque je n'avais plus de flux à gérer pour un moment. Le docteur ne m'en chassait pas. Au contraire, il semblait prendre un malin plaisir à me savoir là. Je l'ai ainsi vu occupé à diverses fantaisies, au gré de ses idées du moment. Entre autres, des gars ont dû rester baissés, le cul en l'air pendant plus d'une minute, et bien écarter les fesses. Souvent, il leur demandait de se décalotter, puis prétendait de manière autoritaire qu'ils ne savaient pas s'y prendre et le faisait lui-même, insistant, bougeant puis remettant ses lunettes pour mieux voir, s'aidant parfois d'une loupe. Il allait aussi beaucoup plus loin, demandant à une recrue de bien écarter les fesses de l'autre ou de décalotter l'autre. Il demandait aussi aux jeunes de provoquer une érection, prenait des mesures avant et après. Les jeunes gars étaient rouges de honte. Une seule fois, avec le tout dernier de la file, je l'ai vu enfiler un gant pour faire un toucher rectal qui a pris un temps certain ! Le type bandait ferme et était violet d'excitation et de gêne. Il aussi demandé une fois aux cinq gars qui restaient d'entrer tous ensembles. Il a fait les examens en série et demandé à tous une érection. C'était trop marrant de voir cette file de gars s'exécuter sans oser rien dire, se branler en file. Ils n'osaient pas trop se regarder entre eux mais des regards plus ou moins discrets fusaient néanmoins. Une fois enfin, à un pauvre petit gars que le nature n'avait vraiment pas gâté, un petit malingre, sec, poilu et avec un tout petit pénis, il a demandé de grimper sur le tabouret, de se masturber face à lui et de lui fournir enfin un échantillon de sperme. Le type était dans un état affreux mais est parvenu finalement à bander. Quand il a éjaculé, il n'a pas pu retenir un cri. Il n'est pas parvenu à bien viser dans le récipient qui lui était tendu et a dû essuyer ses tâches sur le sol. Ce spectacle m'avait terriblement fait bander. Je me demandais comment il était possible que de telles pratiques ne soient pas dénoncées. Mais le docteur était un officier supérieur, très ancien dans le service. On prétendait qu'il savait se venger en cas de conflits : avis défavorables pour les montées en grade, mutations forcées dans des endroits lointains, harcèlement quotidien. C'était donc la loi du silence. Quand il avait terminé ces petites séries, le médecin s'absentait quelques minutes ou dizaines de minutes avant de reprendre. Les commentaires allaient bon train. Beaucoup étaient certains qu'il allait se cacher quelque part pour se branler. On ne saura jamais.

Martin

martin_tche@outlook.be

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