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Sexe à l'armée -07

Le beau lieutenant

Je n'étais tout le temps à la pause " cubite ". Toutes les semaines n'étaient pas aussi excitantes. Pourtant j'aimais l'armée. Quand je rentrais en week-end, dans le milieu familial et social qui avait toujours été le mien, j'étais bien sûr content de faire autre chose, de retrouver ma famille, ma maison, mes amis. Mais je sentais aussi que quelque chose me manquait : cette vie en communauté masculine et le partage de moments intimes. Plus rien de concret ne s'était passé depuis mon aventure dans la douche avec Eric. Je fantasmais inconsciemment sur le corps de Georges, mais sans plus. J'avais vu un voisin de chambre se masturber sans gêne devant tous les autres, s'aidant des interstices du radiateur pour ceinturer son pénis. J'avais vu aussi un pauvre gars se faire foutre à poils devant tous les autres dans le couloir, au retour d'une guindaille arrosée. J'avais moi-même participé à une blague de ce genre avec un gars de la chambre voisine, mais sans y parvenir. Nous n'avions vu que ses poils pubiens, puis les autres s'étaient dégonflés. J'avais secrètement l'impression que si cela m'arrivait, j'aurais plutôt tendance à me laisser faire. J'avais bien changé sur quelques mois à peine.

Puis je fus à nouveau affecté à la pause " cubite ". Et quelle ne fut pas ma surprise de voir que le médecin de la semaine n'était autre que le beau lieutenant qui m'avait accueilli le premier jour, m'avait surpris nu au sortir de ma douche, m'avait lancé quelques remarques douteuses et avait depuis lors plusieurs fois peuplé mes rêves érotiques. Il remarqua ma surprise, la partagea aussi mais avec un air de satisfaction déjà, et il m'expliqua qu'il était en dernière année de médecine, avait épuisé ses sursis et faisait son service en attendant de terminer vraiment ses études. Pour des visites médicales basiques comme celles du recrutement, il était largement assez instruit. Quand il y avait un problème de disponibilité des médecins en place, on faisait appel à lui. " Super que ce soit toi " me dit-il. Consultant rapidement le planning, il vit que j'étais encore affecté au flux, mais il changea rapidement les rôles sur le document pour que je sois son secrétaire, assis à ses côtés, pendant les examens pour prendre les notes. La place de choix donc pour mater les pénis et les fesses à volonté. Et de plus tout près de ce magnifique lieutenant. Je me dis secrètement que je risquais de ne pas débander de toute la journée. La simple proximité des jambes du lieutenant sous la table étroite qui me servait d'écritoire, m'émoustillait déjà beaucoup. Et ce ne fut pas sans raison. La première fois que nos jambes se sont touchées sous la table, j'ai cru au hasard et j'ai retiré poliment la mienne. Mais après deux, trois, quatre fois et de légères poussées plus insistantes, je crus comprendre que c'était intentionnel. Je laissai faire, sans avoir l'air cependant de m'en rendre compte. Plusieurs fois aussi, quand le lieutenant me demandait d'inscrire quelque chose dans un dossier, en me parlant, il posait nonchalamment la main sur mon poignet ou sur ma main, insistant aussi un peu. Une autre fois, pour me dire que nous pouvions prendre une pause, il posa la main sur ma cuisse. Et quand je revins de cette pause, en me demandant s'il me restait du courage pour le reste de la journée, il posa encore sa main sur ma cuisse mais bien plus haut cette fois, à la limite de l'aine. J'en fus intérieurement secoué. D'autant plus qu'en s'asseyant, son autre main s'égara à hauteur de sa propre braguette dans un geste que je ne pus pas définir, mais qui redoubla mon trouble. J'étais tellement subjugué par la présence rapprochée de ce superbe lieutenant que j'en oubliais presque de m'intéresser à ce défilé de garçons nus qui m'avait tant fait fantasmer. Enfin presque... parce que bien sûr, il est impossible de rester insensible à un tel spectacle. Et il donnait l'occasion de se retrouver en tête à tête avec la totale nudité de garçons au physique extraordinaire. Mes érections au cours de ces journées n'ont jamais été longues mais elles ont été multiples. J'ai vu des muscles magnifiques, des ventres plats et dessinés à merveille, des toisons thoraciques terriblement excitantes, des fesses à tomber mort, des cuisses tellement appétissantes, velues ou non, et des pénis, bien sûr, que pour chacun je ne pouvais m'empêcher d'observer. Je compris néanmoins qu'un homme ne se résume pas à son pénis, quel qu'il soit et que la séduction peut venir de tellement de choses, avec toujours ce petit rien qui fait tout... ou pas.... Le lieutenant s'amusait aussi de cette situation, assurément. Et s'il n'en laissait rien paraître devant les recrues et les autres membres du service, dès que nous n'étions que deux, il ne se privait pas de me faire part de ses commentaires sur les corps que nous venions de voir. J'étais flatté de cette complicité, amusé de ses commentaires, souvent spirituels et d'autant plus attiré par cette personnalité mystérieuse qui, au final, ne faisait que me chauffer, mais me laissait toujours sur ma faim. Car une fois le service interrompu ou terminé, il s'en allait dans ses quartiers d'officier, me saluant chaleureusement, mais ne se frayant pas davantage à ma qualité de simple milicien.

Un jour cependant, il accrut encore notre complicité et la confiance qu'il m'accordait. " Tous les chefs du quartier sont en congé " me dit-il. " On va pouvoir s'amuser un peu ". Il congédia sous un prétexte quelconque le milicien chargé du flux, qui ne demanda pas son reste et il décida que nous assurerions tous deux ensemble le flux, le secrétariat et la visite. " On sera plus tranquille, rien que nous deux " me confia-t-il avec un clin d'oeil. Je ne savais pas trop ce qu'il avait derrière la tête, mais je compris que c'était d'esprit coquin et son " ...rien que nous deux " et son clin d'oeil provoquèrent chez moi une vive émotion, aussi affective que sexuelle.

Et de fait, il s'amusa. Il fit fermer la porte entre le petit vestiaire et le bureau, décida de faire attendre les recrues nues dans les cabines et ne les faire entrer qu'une à une. Nous irions chacun à notre tour en chercher une, et déciderions, sur base de son look et de l'impression qu'il nous laissait, de la manière dont il serait visité, au gré de nos fantaisies. C'est ainsi que certains furent expédiés parce que nous les trouvions moches ou sans inspiration. Mais pour d'autres, ce fut un jeu pervers. Nous décidions au feeling. Les plus beaux eurent bien sûr droit à toutes nos attentions. Mais certains plus banaux mais l'air timide et emprunté faisaient aussi l'objet de nos fantaisies. Sans rien préciser, il laissait croire que j'étais un assistant professionnel du secteur médical et me donnait donc l'occasion de procéder à des examens, de toucher, de palper.... Parfois, il me donnait des ordres, comme à un étudiant et m'incitait ainsi à poser sur le corps des recrues des gestes que je n'aurais pas osé moi-même entreprendre. C'est ainsi que j'eus l'occasion de soupeser des testicules, d'observer de près des pénis, d'en décalotter, de humer le gland, de caresser le pourtour du calice, d'écarter des fesses, de palper des anus, et même de doigter des rectums pour aller toucher des prostates bien dures. Ces touchers ne furent pas nombreux, mais ils m'impressionnèrent. A chaque fois, ils ont provoqué une réaction dont la recrue avait sans doute plutôt honte, mais qui était tout simplement incontrôlable. Cela pouvait être une très rapide montée en érection, un suintement de rosée du désir, un couinement ou un soupir du gars visité, parfois même une secousse, un spasme, ou encore un début de don de sperme. Une seule fois, alors que le lieutenant avait insisté parce que le gars était aussi petit et timide que beau et incroyablement sexy, nous eûmes droit à une éjaculation spontanée, soulignée par un cri strident. Le gars ne savait où se mettre. Nous tentions de le rassurer, et de cacher notre extrême satisfaction d'avoir eu droit à un tel spectacle. Une seule fois, nous fûmes inquiets car un des gars nous laissa lui tripoter les couilles et la bite avec beaucoup de dédain et nous traita de vicieux pervers en passant la porte pour sortir. Mais ce fut sans conséquence. Cette journée fut mémorable. Je garde un souvenir très précis, après toutes ces années, de certains pénis que j'ai touché ou vu rapidement grandir, de la mine effarée des pauvres gars que nous avons ainsi traités, mais qui j'en suis persuadé, ont aussi souvent trouvé du plaisir dans cette humiliation et recherchent peut-être aujourd'hui encore cette même forme de plaisir dans des rencontres intimes très coquines ou dépravées.

A l'issue d'une telle journée, j'étais passablement excité et je me demandais comment j'allais me calmer. Les choses ne s'arrangèrent pas quand je vis le lieutenant un peu traîner et attendre que j'ai rangé le local plutôt que de s'en aller au plus vite comme il en avait l'habitude. Quand j'eus terminé et éteins la lumière, il me laissa passer devant lui pour sortir du local. Et en me disant " je t'en prie ", il posa sa main sur mes fesses et y appliqua une légère pression. Ce qui provoqua chez moi une petite réaction visible que j'aurais voulu pouvoir éviter, ainsi que le ènième début d'érection de la journée. A la porte suivante, il répéta son geste, auquel j'eus cette fois le cran de répondre en me retournant pour le regarder droit dans les yeux et lui faire un grand sourire. Quand nous fûmes enfin arrivés dans la cour où nos chemins normalement se séparaient, et alors que j'amorçais déjà un mouvement vers mon bâtiment, il m'arrêta pour me dire " au fait, tu fais quoi ce soir ". A ce moment, je me rendis compte que sa belle assurance n'était pas sans faille et qu'il gardait en lui une certaine timidité. Car cette question, il l'avait sans doute depuis tout un temps sur le bout des lèvres, mais il ne parvenait à la sortir qu'au tout dernier moment. " Rien de spécial ", répondis-je. " Comme tous les jours ici. Un pot à la cantine du soir. Peut-être un cinosh ". " On n'irait pas faire un tour en ville ?" rétorqua-t-il. A cette question, en l'espace de deux secondes plein d'images passèrent dans mon esprit, qui se garnissait de doute. Qu'est-ce que cela signifiait au juste " faire un tour " ? Comblant ma très brève hésitation, il ajouta " C'est la fin du mois. Je suis pas trop riche pour un resto. Mais pour prendre un verre, si tu veux ". " Oui, oui, pourquoi pas " m'empressai-je de répondre, pour éviter toute nouvelle brève attente qui aurait pu être interprétée comme un doute. " A 20h10 à l'arrêt du tram 51 ? ". " Euh, oui... " répondis-je. " Je préfère qu'on ne nous voit pas sortir de la caserne ensemble ; ça jase tellement chez les sous-off' ". Cette dernière remarque m'étonna. J'étais surpris d'apprendre que les sous-off' jasaient et surtout que le lieutenant pouvait croire que de voir deux jeunes militaires passer ensemble le portail pouvait avoir un quelconque intérêt pour les cancaniers. Plus tard, à la réflexion, je compris que c'était le lieutenant lui-même qui voyait dans cette sortie quelque chose dont on aurait pu parler à voix basse.

Je me dépêchai donc de prendre ma douche. Je dus bien me tourner face au mur car le souvenir de cette journée et l'idée de cette soirée n'arrêtaient pas de me faire bander. Aux toilettes, j'eus bien l'idée de me soulager, mais sans trop m'expliquer pourquoi, la perspective de cette soirée avec le lieutenant m'en empêcha plutôt, comme si je voulais préserver quelque chose. Je revêtis des vêtements civils, mangeai rapidement et me trouvai à l'heure dite à l'arrêt de tram. Je ne vis pas de suite le lieutenant, mais à peine fus-je dans l'abri qu'il surgit de je ne sais où, comme s'il s'était un instant caché et avait lorgné mon arrivée.

Sur la banquette étroite du tram, nos jambes se touchaient inévitablement. Le lieutenant ne faisait rien pour en réduire l'écartement. Je ne parvenais pas à détourner mes yeux de son entre-jambes, bien moulé dans un jeans assez neuf. Par deux fois, il y porta sa main, remuant en même temps un peu des fesses, comme si quelque chose le gênait. Il meubla la conversation pendant tout le trajet avec des banalités concernant les endroits de la ville que nous traversions, comme s'il était guide touristique... ou sans doute pour combler un certain embarras. Arrivés au centre, sur une place fréquentée, il choisit une brasserie. Je le suivis. Il inspecta les lieux du regard et jeta son dévolu sur une petite table assez isolée du reste de la clientèle. Nous y restâmes plus d'une heure, consommant chacun trois bières et nous racontant nos vies. Rien de très intime. Nos origines géographiques, notre famille, nos études, nos goûts culturels, nos loisirs etc. Des choses banales mais dont on ressentait la sincérité. Des petits aveux par-ci par-là sur notre famille, nos goûts plus cachés, nos petits soucis. Pas intimes mais personnels. Une conversation très agréable, ouverte, amicale. Un moment de bonheur simple. J'appris enfin qu'il s'appelait Pierre, ce que j'ignorais jusque-là, ne connaissant que son grade et son nom de famille.

En regardant l'heure, avec dépit, il me dit enfin qu'il était temps de reprendre le chemin de la caserne. " Je vais d'abord aux toilettes " me dit-il. Dans un premier instinct, je faillis le suivre, attiré par l'idée de ce moment intime à ses côtés. Puis je me retins, me dis que c'était glauque, qu'il pouvait mal l'interpréter, que des gens de la brasserie pouvaient percevoir mon manège. Il resta assez longtemps, ce qui me fit un peu regretter de ne pas l'avoir suivi, me disant que peut-être il n'attendait que cela. Il revint enfin et se rassit instant pour attendre sa monnaie. C'est alors qu'il me dit " ce fut un bien agréable moment " et ce disant, il posa sa main sur la mienne, sans chercher à déguiser son geste, en me regardant droit dans les yeux avec une certaine émotion. Je me souviens encore très précisément de la sensation de fraîcheur de sa main, qui venait du lavabo, et qui touchait ma main. Certains gestes anodins peuvent ainsi se teinter d'un réel érotisme et d'une incroyable émotion affective. Cette seconde est dans ma mémoire à jamais et son souvenir est toujours une émotion.

Nous repartîmes. Le trajet en tram fut encore ponctué de quelques jeux de jambes. Au portail de la caserne, il passa un peu devant moi, m'indiqua la droite du poste de garde, alors qu'il passait par le côté gauche. Un peu plus loin, au coin d'un bâtiment, il m'attendit. Nous marchâmes encore un peu jusqu'à l'endroit où nous devions logiquement nous séparer. " Et, bien bonne nuit mon ami " dit-il très simplement. A l'époque, il n'était pas d'usage de se faire la bise entre hommes. Et nous ne nous serrions jamais la main, puisque je lui devais normalement le réglementaire salut militaire. Un peu par dérision cette fois, sentant que c'était un peu décalé, je lui répondis donc avec le salut militaire en disant " Bonne nuit à vous, mon lieutenant ". Il comprit la plaisanterie et y rétorqua avec un sourire d'indulgence et d'admiration, qui me fit littéralement fondre sur place. Après deux trois secondes d'extase intérieure, je tournai doucement les talons pour reprendre mon chemin. Je fis trois pas puis j'entendis " au fait... ". Je me retournai. " Je serai démob' avant toi. Bientôt en fait. Et je ne veux pas te quitter .... sans avoir fait l'amour avec toi ". Sans me laisser le temps de réagir, il se retourna aussitôt, partit en courant et disparut derrière le bâtiment suivant, en direction du bloc des officiers. Je restai cloué ! Une fois de plus, il révélait sa timidité, la longue gestation de cette réplique qui devait l'avoir taraudé toute la soirée, et sa fuite face à ses propres désirs. Je n'en revenais pas. Pourtant, c'était clair comme de l'eau de roche. Ce type me draguait depuis le premier instant. Ce qui était étonnant, ce n'était pas qu'il me dise cela, mais qu'il me le dise seulement maintenant. Mais je n'étais pas encore dans la réalité de la vraie relation sexuelle. A part cette aventure sous la douche avec Eric, j'étais encore puceau. Et si j'avais accepté intimement ma nature et mes désirs, cela restait encore au stade du fantasme, du voyeurisme, du jeu.... Tout à coup il me mettait face à une éventualité très réelle et j'en restais perturbé. Très lentement, je repris le chemin vers mon bloc, comme groggy. Je fus heureux de constater que tout le monde dormait. Je me déshabillai dans le noir et en silence, me couchai comme un zombie et trouvai finalement assez facilement le sommeil, épuisé par toutes les sensations et les émotions de la journée. Ce n'est que le lendemain matin que je me rendis compte que j'avais dormi complètement nu, ce qui suscita les plaisanteries stupides de Fifi quand je sortis du lit. Il ricana sur mon émancipation, persuadé que ma sortie de la veille avait été consacrée à une visite au bordel ! Je ne répondis rien, me pressant d'emballer dans un slip mes vierges fesses et le reste de mon érection matinale. Rapidement, les dernières paroles de Pierre me revinrent en mémoire et je me comportais comme si j'étais ralenti par une bonne gueule de bois, alors que dans mon for intérieur, je bouillonnais de désir, de peur, de doute. Je me demandais par moments si je n'avais pas rêvé, si je n'avais pas mal compris. Mais non. C'était bien réel. Il m'avait dit qu'il voulait faire l'amour avec moi. Cette expression, pourtant si claire et commune de " faire l'amour " me perturbait. J'avais accepté d'être attiré par le corps des hommes mais je n'avais pas encore assimilé le fait de vivre une relation amoureuse. J'avais fantasmé et rêvé de multiples situations liées au sexe de l'homme, mais jamais imaginé une vraie rencontre intime, sensuelle, profondément sexuelle. Comment deux hommes faisaient-ils l'amour ? Jamais je n'avais embrassé un homme ni pensé à le faire. Et puis bien sûr, se posait l'inévitable question de la sexualité pédéraste, que je repoussais inconsciemment mais qui était bien présente : la sodomie. Allais-je pratiquer la sodomie ? Allais-je devenir un enculé ? Comment cela se passerait-il ? Ou serait-ce plutôt moi qui... ? Pierre l'avait-il déjà fait ? Est-ce que cela faisait mal ? Que fallait-il faire pour faire cela en toute propreté ? Etc... etc... Mon esprit surchauffait. Mon sexe au contraire se reposait, se rétractait, exempt de toute érection et comme effrayé par la perspective de l'inconnu. En arrivant au lieu des visites médicales, je fus à la fois déçu et soulagé d'apprendre que les médecins malades étaient de retour que le lieutenant qui occupait mon esprit ne serait pas présent pour ma dernière journée à cette pause " cubite ". Et suite à des problèmes de plannings mal rédigés, je fus exceptionnellement affecté à la pesée. Je passai donc la journée comme un zombie, à peser de jeunes hommes torses nus, ne voyant souvent que leur abdomen en prenant note du chiffre de la balance. Tant mieux finalement. Je ne sais pas comment j'aurais supporté un travail plus difficile, ou un nouveau défilé de fesses et de bites.

Martin

martin_tche@outlook.be

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