Je débarquais chez ce mec en fin de journée. Cela faisait deux ou trois fois qu'on essayait de se voir, mais, à chaque fois, l'un de nous deux se trouvait indisponible.
J'en savais peu sur lui : qu'il était bi, qu'il voulait rester discret et qu'il était très chaud. Bi marié, le weekend à la maison avec sa femme, la semaine dans une chambre à Paris pour le boulot. Visiblement, il en profitait pour baiser aussi bien des mecs que des nanas.
De mon côté, je n'avais jamais baisé avec un bi et me demandais en quoi cela pouvait être différent.
Quand j'arrivais chez lui, il m'a suffi d'ouvrir la porte qui n'était pas fermée à clé pour le découvrir sur son lit, seulement vêtu d'une cagoule. Effectivement, je n'avais jamais vu son visage.
Il devait se chauffer depuis notre échange, car sa bite était bien dure, il se branlait tranquillement. Je suis restait une bonne minute à la contempler : bien foutu, un peu massif comme j'aime, et un vrai regard de vicieux.
J'enlevais mes fringues et restais en sous-vêtements. Non pas par pudeur, mais par envie d'entrer en contact avec ce mec, son corps, son sexe qui ne demandait qu'à être gobé.
Je me suis jeté sur lui. On s'est échangé quelques pelles, mais, rapidement, j'avais sa queue en bouche. J'en profitais pour caresser son corps très ferme.
" Tu suces bien ", me dit-il. Ma seule réponse fut de le sucer de plus belle et de lui titiller les tétons, que je me mis ensuite à mordiller doucement. Cela eut beaucoup d'effet, si bien que je continuais de les lui travailler tout en le branlant.
C'était vraiment chaud. On s'est ensuite embrassé, sucé, travaillé les tétons et le cul avec frénésie. Visiblement, il avait une envie de sexe non assouvie depuis un certain temps.
J'ai adoré lui bouffer le cul. Il poussait des gémissements sans gêne lorsque ma langue parcourait sa fente poilue.
Au bout d'un bon quart d'heure, il guida ma queue vers son trou.
J'étais dans un état d'excitation que je n'avais jamais connu : ce beau mec cagoulé était chaud comme la braise, et moi aussi.
Exceptionnellement, je n'ai pas mis de capote. Je l'ai pénétré d'un coup, et entendis un " oui, vas-y " aussitôt. Mes va-et-viens étaient lents, car je ne voulais pas jouir rapidement. Je voulais l'enculer tendrement et l'embrasser, le lécher, le regarder dans les yeux, et regarder mon sexe entrer en lui et en ressortir.
On a ensuite changé de rôle. Il m'a mis à quatre pattes et m'a pris de façon énergique. Heureusement qu'il m'avait doigté un peu avant, autrement ç'aurait été douloureux. J'avais aimé la sensation de mon sexe dans son cul, et me faire enculer presque sauvagement par un inconnu m'excitait.
À la base, je suis un garçon sage.
Quand il fut un peu fatigué, il me demanda de le prendre à nouveau.
Là, j'y suis allé sans ménagement, en chandelle, et il lâcha un " vas-y, c'est bon, bourre-moi la chatte ".
Je vous avoue que cela m'a un peu refroidi, moi qui n'ai jamais touché une femme et aime les hommes, tous différents qu'ils soient.
Mais j'accélérais le rythme, pour ensuite jouir en son sein. Divine sensation.
Quelques coups de reins après la jouissance, je vis qu'il se branlait frénétiquement et décidais de lui être le plus agréable possible : lorsque je vis le début des soubresauts arriver, j'avais sa belle queue et recueillais son sperme en bouche.
Là, il a crié de plaisir. Et ce salaud jutais pas mal en plus, mais j'avais décidais de tout avaler.
On s'est ensuite quitté assez rapidement, car il ne voulait pas d'attache.
Aeshenn
aeshenn@gmail.com
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