La famille de mon coloc

La famille de mon coloc | 8

Une nouvelle semaine passe.
Je suis allé à la plage avec Jano et Mathilde quand ils n’étaient pas dans un lit.
Je me réserve pour mon coup de foudre de l’été.

La veille de son arrivée, on se retrouve tous autour de la table : moi, bien sûr, Jano, Mathilde, Baptiste et sa nouvelle chérie, le père, et sa toute nouvelle conquête, une brune, blanche, la trentaine, des gros seins. Deux nuits qu’elle est là et elle a à peine gueulé un peu la veille. Je soupçonne monsieur d’y aller doucement.

Durant le repas, je me fais chambrer copieusement.
Baptiste : " alors Cali, content de retrouver ton chéri ? »
Je rougis.
Jano : " les ressorts vont grincer demain soir »
Je rougis encore plus.
En attendant, cette nuit-là, seuls mes ressorts restent immobiles.
Ça commence par le père et sa nouvelle maîtresse, puis les gémissements de Mathilde avec mon coloc. Et je soupçonne Baptiste de faire de même à l’étage du dessous vu comment il bécotait sa chérie durant la soirée.
J’ai la trique, et je refuse de me soulager avec un gode. Ma fleur est pour JL.
Je ne m’endors que bien après les derniers gémissements de mes voisines.

Le lendemain, je me réveille... En début d’après-midi.
Je descends manger un truc.
Sur le canapé, Mathilde et la chérie de Baptiste me disent bonjour.
Mathilde : " Jano est parti chercher son frère. Il devrait plus tarder »
J’attrape quelques biscuits et je remonte, direction la douche.
Je mange les biscuits le temps de chercher un petit short sympa, enlève mon caleçon et fonce dans la pièce voisine.
Je me savonne, caresse un peu ma fleur, elle s’est bien remise.

La porte vitrée de la douche s’ouvre.
Je me tourne... C’est JL, entièrement nu, affichant un grand sourire, je ne l’ai pas entendu entrer.
Il me prend par la taille et m’embrasse. On reste un long moment comme ça sous l’eau fraîche.
Ses doigts glissent sur ma fleur et il rentre une phalange.
Il détache ses lèvres des miennes.
JL : " tu m’as manqué, ma p’tite salope préférée. »
Je lui reprends ses lèvres.
Mes mains passent de sa taille à son sexe déjà tendu.
Je le branle un peu.

Il me plaque contre le mur, quitte mes lèvres et me tient la tête pour m’empêcher de les lui reprendre.
Il reste un petit moment comme ça, front contre front, nos nez se touchent et mes yeux ne quittent pas les siens.
Moi : " je t’aime »
Il sourit, m’embrasse.

Il me prend par la main, on sort de la douche.
JL : " pose-toi à genoux sur la cuvette, je reviens. »
Il me fait un bisou et part dans ma chambre.
Je suis à peine posé quand il revient avec le lubrifiant.
Il me met une fessée.
JL : " tes p’tites fesses aussi m’avaient manqué »
Je souris.
Il enduit son membre puis pousse sur ma fleur.
Elle cède rapidement dans un soupir.
Il a décidé de me la mettre au fond.
Je gémis de plaisir en sentant cet énorme morceau de chair en moi, prendre possession de moi.
Je sens ses bourses contre moi. Il tire mon bassin vers lui, il écrase mes fesses, je le sens pleinement en moi, je gémis comme un fou.
Ses bras me redressent.
L’une de ses mains revient me tenir les fesses, il utilise l’autre pour le tourner la tête et m’embrasser.

Je tortille du cul, sentir son barreau en moi me fait mouiller à fond. Il lâche un grognement.
JL : " doucement. 2 semaines que je me réserve pour toi t’inquiète, je vais te démonter ».
Il continue un peu comme ça, me faisant des bisous.
Il entame une série de va-et-vient rapides sur quelques centimètres. Je gémis.
Soudain il sort lentement la presque totalité de sa hampe.
Je sens ma fleur collée à son membre, écartelée.
Il la rerentre d’un coup. Je crie.
Il me baisse un peu, une main sur la bouche et l’autre sur la taille pour me maintenir cambré.

Il me baise sur toute la longueur de sa queue, d’abord lentement.
Je gémis comme un fou.
Il accélère progressivement.
Sa main ne suffit plus à camoufler mes cris.
Il atteint une vitesse soutenue.
Sa main ne suffit plus à tenir ma bouche fermée, elle s’ouvre et je crie comme une salope.
À présent il me tient la taille à 2 mains et me baise à fond.
Aux cris se mêle mon souffle à chaque fois qu’il tape au fond.
Je me tiens à la cuvette, mais j’ai plus de force.

Heureusement JL arrive au bout lui aussi.
Il grogne, accompagnant un coup de hanche brutale qui m’arrache un dernier cri.
Je sens le bout de sa queue bouger en moi, il me remplit.

Il me redresse, tout en restant en moi, et me caresse.
Je tremble de tout mon corps, ma fleur se contracte sur sa queue encore dure, je sens du liquide sur mes cuisses.
Lui me caresse le ventre.
JL : " ça va ? »
Je reste silencieux, appréciant sa douceur retrouvée.
Je relève la tête pour lui faire un bisou dans le cou.
Moi : " c’était... C’était... »
Il rigole tout en sortant doucement.
JL : " c’était ? »
Je me retourne et m’accroche à son cou. Je l’embrasse tendrement.
Moi : " c’était trop bon... Je t’aime ! »

Il m’embrasse, me pousse vers la douche.
Il me glisse tendrement un doigt.
Il me caresse pendant quelques minutes, me savonne, puis me pousse vers la sortie.
Il me sèche avec amour puis me prend par la main.
On se pose sur mon lit, lui sur moi, entre mes jambes. J’ai le droit à un câlin d’enfer.

Alors que je suis détendu dans ses bras, je le vois s’emparer du lubrifiant.
C’est vrai qu’après une petite pause, sa queue est de nouveau tendue.
Le gland entre sans soucis.
Je gémis en sentant son membre de nouveau en moi. Je me tortille, mais je suis calé dans ses bras.

Il se pose contre moi, m’embrasse, et commence de légers mouvements de bassin.
Moi : " mon dieu... »
JL : " non moi c’est JL... »
On explose de rire, je plante mes yeux dans les siens.
JL : " je t’aime ! »
Il m’embrasse.
Il me le redit, et m’embrasse encore.
Je ramène mes jambes au maximum vers mon torse, m’offrant à lui entièrement.
Il me rend fou, ma fleur est comblée, j’aime son corps chaud contre le mien, je veux être tout à lui.

Ça dure bien une demi-heure.
D’un coup il s’immobilise et grogne. Il se décharge pour la seconde fois depuis son retour.
Il se retire et pose sa belle queue sur mon ventre.
On s’embrasse, on se caresse, on se câline.
Il finit par s’endormir dans mes bras.

Le soir venu, on rejoint les autres.
Tout le monde est là et j’ai l’étrange impression qu’ils font des sourires dans mon dos.
C’est Jano, comme d’hab, qui me rentre dedans : " tu ne m’avais pas dit que tu avais une si belle voix Cali ! »
Je finis une fois de plus le repas rouge comme une pivoine.

Alors que la soirée commence à peine ( j’ai bu que 3 verres, c’est très peu pour eux ), JL me prend par la main et m’emmène vers l’escalier en criant « bonne nuit, tout le monde »
Ils rigolent tous. Bon c’est officiel maintenant au moins.
Il m’a fait l’amour 2 autres fois cette nuit-là. Je ne me suis pas soucié une seconde du sommeil de mes voisins.
Je me suis endormi dans ses bras, en petite cuillère, sa hampe le long de ma raie.