Je suis à la recherche du mec idéal, celui qui me fera vibrer et avec qui je n’imaginerais pas être éloigné trop longtemps.
Bon pour attirer le bon, je dois d’abord me présenter :
Je m’appelle Cali, j’ai 33 ans, je mesure 1m84 pour 88 kg (j’ai un petit bide à bière), je suis brun aux yeux bleus.
Sexuellement, j’ai essayé les femmes. C’est sympa, mais au-delà du fait que je suis loin d’assurer, je ressens 1000 fois plus de choses quand je suis le passif d’un mec (en passant, inutile d’espérer de moi quelque chose d’actif, ce n’est vraiment pas mon truc… Même me tailler une pipe… Je veux bien, mais ça ne va pas me faire beaucoup d’effet).
Ceci étant dit, reste encore à définir ce qu’est un mec « idéal » ^^
Bon déjà le plus simple, le physique :
J’aime les mecs plus grands que moi. Ce n’est pas une obligation, d’autant plus que ça ne court pas les rues, mais ça titille mon petit côté soumis quand mon mec me domine du regard.
J’aime bien les mecs musclés. Là encore rien d’obligatoire, mais mon côté passif aime être tenu fermement pendant l’acte, et mon côté câlin aime suivre les lignes des muscles du bout des doigts.
Et au niveau du pénis, ma langue aime quand il est épais avec de grosses bourses, et ma fleur aime quand il est dur et endurant.
Mais le physique ne faisant pas tout, loin de là, il faut aussi parler personnalité :
J’aime les câlins… J’adore les câlins… Je ne vis que pour les câlins.
Vous l’aurez compris, mon mec idéal doit être câlin et tactile.
Ça inclut la gentillesse aussi. J’aime être traité de salope pendant l’acte… Uniquement pendant l’acte. Le reste du temps, je veux un mec gentil, qui me veut moi, et pas seulement ma fleur.
Je le veux libre, de corps et d’esprit… Parce que je suis nomade et que je veux vivre et voyager avec lui.
Si en plus de tout ça il a de l’humour, c’est le mec parfait.
On se retrouvera l’un l’autre au cœur de paysages magnifiques, souvent éloignés de toute activité humaine, imaginez le tableau :
Je me réveille tard ce matin-là. Il faut dire qu’on a passé une sacrée nuit avec mon mec.
J’enfile un short et je sors du camion.
Il est là, en train de faire chauffer de l’eau.
Je m’étire, appréciant la caresse du soleil sur ma peau qui filtre à travers les branches des arbres, j’apprécie un instant le gazouillis des oiseaux comme chaque matin.
Mon chéri me rejoint et m’enlace.
Lui : « bien dormi ? »
Je love ma tête dans son cou. Oui bien sûr que j’ai bien dormi, j’étais en petite cuillère dans ses bras.
Il me prend par la main et me tire vers le feu.
Il verse l’eau chaude dans 2 tasses.
On boit nos cafés. Je ne peux m’empêcher de le regarder.
Mon café à peine terminé, je m’assois contre lui.
Ses mains me caressent le dos pendant que les miennes parcourent son torse.
Je l’embrasse un long moment. Il devient tout dur. Je lui caresse son membre à travers son short.
Il décide d’enlever le mien. Je l’aide un peu puis reprends le câlin là où il en était.
Il me caresse la fleur en douceur, me couvre de bisous.
Tout en l’embrassant, je passe la main dans son short.
On reste quelques minutes comme ça.
On s’embrasse, nos regards ne se lâchent plus, ses mains me pressent les fesses de façon plus insistante.
Il se redresse et me couche délicatement sur le sol herbeux.
Il m’embrasse langoureusement tout en retirant son short.
Son gland se présente face à ma fleur et rentre sans résistance.
Il me fait l’amour tendrement pendant un long moment.
Mes mains parcourent son corps, mes lèvres, quand elles ne sont pas collées aux siennes, lui montrent à quel point j’aime son torse musclé.
Il me fait un dernier bisou puis se redresse.
J’ai envie de le sentir encore contre moi, mais j’ai bien compris qu’il approche de la fin.
Il me saisit par la taille et commence un va-et-vient plus rapide. Je le sens tout au fond de moi, je gémis fort chaque fois que ses bourses tapent mes fesses.
Enfin, dans un dernier coup de reins, il me remplit.
C’est toujours un plaisir de savoir que j’ai un peu de lui en moi.
Il revient contre moi et me câline.
Sa queue débande et il sort.
Je lâche des petits gémissements, essoufflé, la tête dans sa nuque.
Il fait chaud, mais je n’ai aucune envie de le lâcher.
Enfin il se relève et me prend par la main.
Il m’amène à la rivière un peu plus loin.
L’eau est froide, mais sa main ne me laisse pas le choix.
Une fois l’eau à la taille, il me reprend dans ses bras.
Il me fait un long câlin.
C’est le paradis.
Cali
li.cali@yahoo.com
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