Les fantasmes de Cali

Introduction

Dans cette rubrique, je vais raconter mes fantasmes sous forme romancée.
Ces histoires seront donc bien évidemment fictives.
Je précise qu’il s’agit bien de fantasme, ça ne veut pas dire que je veux qu’ils soient tous réalisés (je préciserai avant ^^).

J’espère que vous apprécierez.

Chapitre 1 | Partage semi-forcé

(j’aimerais beaucoup réaliser celui-là)
Mise en situation : je suis en couple depuis un moment.
Petite précision : comme il s’agit d’un fantasme, il est évident que mon mec sera parfait ^^
J’ai décidé de l’appeler Thomas, en l’honneur de l’un des personnages du texte que j’ai préféré sur ce site (le mec idéal, de Pitigayy).

Je suis avec Thomas depuis plusieurs années. Aujourd’hui, une totale confiance s’est installée entre nous.
Sexuellement, c’est le top. Il faut dire que du haut de son mètre 90 tout en muscle, être dans ses bras est déjà source d’excitation.
Il est très doux, il sait être patient pour m’insérer son engin. 18 cm, c’est surtout son épaisseur qui est impressionnante.

Au début de notre relation, on s’était dévoilé nos fantasmes qu’on voudrait réaliser.
Je lui avais expliqué le mien en rougissant :
« je voudrais que, régulièrement, tu m’attaches le cul en l’air, tu me bandes les yeux et tu pars 5 minutes devant la télé. Ensuite tu reviens et tu me fais l’amour sans un mot. Et un jour, sans me le dire, ça ne sera pas toi qui viendras me baiser ».

Tout ce qu’il m’avait répondu alors c’était, en riant :" ça rejoint mon fantasme de te regarder te faisant baiser »

Mais il s’y était plié quelques mois plus tard. Environ une fois par semaine, même s’il aimait bien innover ^^, il m’attachait, me bandait les yeux et partait 5 minutes devant la télé avant de revenir s’occuper de moi.

Ce soir était l’un de ces soirs.
Comme d’habitude, il m’amena sous la douche pour me savonner partout. Il passa plus de temps sur ma fleur, allant jusqu’à y glisser un gode étanche tout en me couvrant de bisous.

Ces instants sont, pour moi, aussi jouissifs que le sexe en lui-même. Et il le sait, il sait que plus il prend soin de moi, plus il pourra m’en demander.

Je sens sa queue se durcir, mais je résiste. Je ne veux pas l’exciter trop vite.

La douche finie il me guide vers le lit.
Il me dispose à genoux et m’attache les chevilles au bas du lit, serrant bien les sangles en cuir.
Il attache mes mains dans mon dos à l’aide de menottes en fourrure rose. C’est lui qui me les a achetées… Pour souligner mon côté chienne a-t-il dit avec un sourire coquin.
Il bande mes yeux avec un tissu épais noir.
Je l’entends disposer un pouf en mousse devant moi avant de sentir sa main m’inciter à me pencher en avant.
Je l’entends déplacer des objets, comme s’il cherchait quelque chose, puis il revient vers moi.
Je sens ses doigts froids titiller ma fleur puis une forme que je connais bien, mon plug, forcer délicatement l’entrée.

Une fois le plug en place, il sort de la pièce et ferme la porte.
Débute une attente interminable.
D’abord la position, cul offert, ensuite le fait de ne pas savoir si c’est la bite de mon mec que je vais sentir…

La porte s’ouvre enfin, des pas, puis elle se ferme.
Le bruit de vêtements qui tombent au sol, le matelas qui se tord sous le poids du nouveau venu, une main vient saisir mes cheveux pour me relever la tête et un gland rentre dans ma bouche.

Ce n’est pas mon mec, elle est trop petite. Je me dis qu’il aurait pu choisir mieux doté pour mon fantasme absolu. Il se prendra un doigt au cul pendant notre prochaine partie de jambes en l’air, ça lui apprendra.

En attendant, le membre de mon amant a pris du volume. Il lâche ma tête et passe derrière moi.
D’une main il plaque la tête au matelas, de l’autre il guide sa queue vers ma fleur.
S’en suit une rude bestiale.
Il est peut-être moins doté que mon amour, mais je la sens passer.
Quelques minutes plus tard et il sort. Je sens son jet contre mes fesses.
J’entends la porte s’ouvrir puis se refermer.
Je suis de nouveau seul. Je sens le serment chaud de mon amant couler le long de mes cuisses.

La porte s’ouvre de nouveau, puis se ferme. Pas de bruit de vêtements, le matelas se tord, une main douce vient caresser mon visage et un gland assez volumineux vient tapoter mes lèvres.
Je le prends en bouche, il fait sensiblement la même taille que celui de mon mec. Une fois tendue, la hampe semble aussi grande.
Je suce avec délice la verge de mon homme.

Elle se retire. Le poids quitte le lit… Puis revient ?
J’en profite pour lui faire mon reproche :
« t’aurais pu trouver un mec mieux gâté quand même… »
Un gland plus gros que le précédent vient forcer mes lèvres, ainsi qu’un « la ferme et suce, salope ! »
Alors que je goute la queue de celui qui vient de parler, je sens la première queue, dont je ne suis plus certain que ce soit celle de mon mec, se glisser dans mon fondement.

Le mec de derrière a un rythme plutôt lent, mais il me prend sur toute la longueur de sa verge, tout en me mettant de bonnes fessées.
Je voudrais crier, mais c’est sans compter l’énorme gland que je prends plaisir à sucer.

Le propriétaire de ce gland décide alors de voir jusqu’où je peux l’avaler et force le passage en me tenant fermement la tête.
Pendant ce temps, le mec derrière accélère et me pilonne ma fleur.
« J’vais te féconder salope ! »
…
Si tu veux, de toute façon je peux rien dire, je m’entraine pour le concours de mangeur de saucisse avec ton collègue, et je vais gagner.
Il s’arrête alors qu’il rentre à peine son gland et déverse tout son jus en moi. Il fait un dernier aller-retour pour tasser puis s’en va.

Le mastodonte sort de ma bouche et se présente devant ma fleur déjà malmenée.
Il rentre doucement, se fait un chemin en moi jusqu’à toucher le fond.
Ses mains passent sous mon torse et me relèvent.
Tout mon corps tremble, mais l’inconnu me rassure en me prenant dans ses bras.

Il me baisse de nouveau, me tient par la taille et commence un va-et-vient, d’abord très lent et sans trop d’amplitude.
J’ai l’impression que c’est interminable.
À chaque fois qu’il revient au fond, je ne contrôle plus rien.
Le mec est endurant et continue pendant 20 bonnes minutes. Enfin le mec se came au fond de moi, son torse collé à mon dos et se décharge en moi, ses grognements se mêlant à mes gémissements.

Le mec se retire, la porte s’ouvre et se referme.
J’ai le cul en feu et mal au bras
La porte s’ouvre de nouveau, et se referme.

Une queue que je connais bien rentre sans effort en moi et s’arrête au fond.
« alors, tu as aimé mes surprises ? »
Moi :" ouiiiii »
Un coup de rein, je gémis.
Thomas :" je suis sûr que tu m’en voulais quand tu as senti la première… »
Moi « ouiiii »
Un coup de rein, je gémis.
Je le sens se coller à moi.
Thomas :" et j’ai tout filmé »
Et là il me met plusieurs coups de reins, jusqu’à finir en moi lui aussi.

Tout en restant en moi, il me détache les bras et m’enlève le bandeau.
Il s’allonge sur moi et laisse son membre en moi tout en me bisouillant. Il prendra soin de moi jusqu’à ce que je m’endorme, terrassé par la fatigue, aux anges dans ses bras musclés.