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Chapitre 3 | Abidjan
Le matin, le remu ménage m’a fait ouvrir les yeux, chacun des hommes passant devant moi me regardait d’un regard concupiscent. Il faut dire que j’étais allongé à moitié sur le côté, cul bien en évidence duquel s’échappait encore le foutre dont j’avais été gavé dans la nuit. J’étais encore endormi et donc, je ne me rendais pas vraiment compte que j’exhibais l’antre du plaisir que j’offrais si impudiquement en spectacle.
Après un nettoyage sommaire avec une serviette de toilette, j’ai filé sous la douche pour me rincer de tout ce stupre, sans oublier, une fois sec, d’appliquer la pommade cicatrisante sur ma chatte, bien malmenée pendant la nuit, ils avaient été hyper chauds tous les deux.
Je les ai rejoints dans la salle du petit déjeuner, qui se prenait séparément, les repas communs n’avaient lieu que le soir, ou éventuellement le déjeuner, en partie, pour ceux qui étaient présents. Une fois seuls tous les trois, Yves et Daniel m’ont davantage expliqué le fonctionnement de leur famille. Ce serait un peu long de vous le raconter, mais disons, en résumé, qu’ils respectaient à la fois la coutume africaine de vivre ensemble, mais aussi, la religion catholique qui interdisait tout acte sexuel avant le mariage… ce qui justifiait la séparation entre les hommes et les femmes célibataires. D’où le manque évidemment, les africains ont le sang chaud…
Une fois prêt, Daniel et Yves m’ont amené dans un grand marché traditionnel d’Abidjan où on pouvait trouver de tout… mais vraiment… de tout. Pour moi, c’était comme la caverne d’Ali Baba… De la nourriture, des vêtements, des objets et ustensiles de maison, des plantes, des épices… Bref, la liste serait trop longue. Il y avait quand même un coin un peu retranché, celui où se vendait les herbes et produits médicinaux.
Même si la France avait largement introduit l’allopathie en Afrique, la plupart des habitants restaient quand même très attachés à leur « médecine » traditionnelle, à base d’herbes, bio comme on dirait aujourd’hui, et souvent, très efficace.
Ils m’ont conduit jusqu’à une sorte d’étal, pas très grand, mais couvert de pots, de décoctions, d’herbes séchées, tenu par un…. géant… !!! Je ne saurais vous en dire son âge, la quarantaine je pense, mais sa masse était illuminée par un sourire merveilleux, hyper avenant, dégageant une certaine douceur, malgré sa stature plus qu’imposante. Pendant qu’Yves me gardait près de lui, Daniel est allé lui parler. Ils ont discuté un bon moment, j’ai vu le géant se diriger vers sa charrette couverte, revenir et donner à Daniel divers pots.
« Marc…. Abdou fabrique des potions, des lotions et des crèmes… Vraiment magiques. Tout est naturel, inspiré de nos cultures ancestrales et ce sont les siennes que j’ai utilisés avec toi à Nice. »
« J’avoue... je suis ébahi… super efficace quand même… »
« Il vient de m’en donner d’autres…. Bien plus puissantes… !!! »
« C’est-à-dire ? »
« Beaucoup plus aphrodisiaque, te permettant de t’ouvrir encore davantage, et une autre qui va bien te cicatriser et te refermer rapidement. »
« Mais… Ça existe ça ? »
« Oui, les putes des bordels d’Abidjan les utilisent souvent. »
« Et ça a quel effet ? »
« Ça raffermit les muscles tant vaginaux qu’anaux. Ça les resserre, tout en gardant leur souplesse. »
« C’est génial ça…. Ça devrait être en vente libre en France… !!! »
« Si tu es d’accord, Abdou t’attend pour t’en montrer l’efficacité pendant qu’on s’occupe de sa marchandise… Mais je te préviens…. C’est comment dire… Colossal… Comme lui… !!! »
Je l’ai suivi en confiance, jusqu’à une espèce de cabane, pas très loin, où nous avons pu parler plus facilement. Daniel lui avait tout raconté me concernant, raison pour laquelle il lui expédiait régulièrement ses produits. De mon côté, j’essayais de lui décrire ma fascination pour ces hommes noirs, et surtout de leurs sexes, dont je n’étais jamais rassasié devenant, par là-même une vraie putain, pour mon plaisir et le leur.
« Marc, les Ivoiriens sont des hommes hyper chauds, souvent hyper membrés, je crois que seuls les Nigérians les battent dans ce domaine, et ils adorent défoncer la boite à caca comme ils disent, sans se sentir homo pour autant, c’est eux qui baisent »
« J’ai pu constater ça Abdou et je prends mon pied à chaque fois »
« Avec Daniel et Yves, tu es en sécurité. Ils te feront connaitre un maximum de plaisir avec les hommes de notre pays sans cesser de te protéger, leur tribu est hyper respectée. »
« C’est ce qu’ils m’ont promis, Abdou. »
« Alors, il faut que je te prépare à devenir une vraie putain ici, supporter des accouplements hyper puissants, à plusieurs reprises. »
« Tu peux le faire ? »
« Bien sûr… J’ai donné à Daniel tout ce qu’il faut pour ça. »
« Et c’est quoi ? »
« Il y en a 4. La première est un aphrodisiaque hyper puissant avec des phéromones que tu vas dégager pour exciter les hommes. Tout est à base uniquement de plantes, je te rassure, pas de drogue chez nous. La deuxième est une solution que tu dois ajouter à l’eau de ta poire à lavement pour être parfaitement propre. »
« Ça, c’est parfait… !!! »
« La troisième est une sorte d’huile que tu vas appliquer sur ton orifice, en le massant et ensuite en levant tes jambes jusqu’à tes épaules pour que ça pénètre jusqu’au plus profond de ton conduit. Ça permettra à ta corolle d’être plus souple pour les très grosses largeurs, et supporter les sexes hyper longs jusqu’au fond. »
J’étais surpris par tant de « savoir » on va dire, et que de simples potions africaines pouvaient avoir un tel pouvoir. Il est vrai aussi que l’Afrique connaissait bien davantage la maîtrise des herbes naturelles de leur territoire, que nous, avec de simples cachets.
« Enfin, la dernière est une crème apaisante qui va cicatriser et raffermir ta chatte très vite. Un anus est un muscle, donc, avec les produits adaptés, il peut s’ouvrir et se refermer facilement. »
J’étais trop content des conseils d’Abdou, donnés si gentiment, avec une douceur qui contrastait avec sa masse. Pendant notre conversation, nous avions dégusté un « thé » qu’il m’avait préparé, et je sentais une chaleur monter en moi. Il m’a demandé la permission de m’ôter mon short, de bien écarter les cuisses, pour constater par lui-même si son huile était bien efficace sur moi.
Pendant qu’il m’en enduisait, je focalisais sur le centre de son corps. Une sorte de « robe masculine » le masquait au marché et je pensais au mot de Daniel, avant que j’aille rejoindre Abdou… Colossal… !!! Je me laissais faire, prenant de plus en plus de plaisir, surtout de voir que sa tunique ressemblait davantage à une toile de tente, ou plutôt à un tipi d’indien, tellement le mat central était volumineux. Quand il s’est mis à nu, j’ai pu voir... « la chose ». Inimaginable, il m’est impossible de vous en décrire la taille… Même dans le plus fou de mes fantasmes ou la plus folle de mes pensées.
« Tu comprends maintenant l’utilité de mes produits, Marc ? »
« Oui… mais c’est pas possible… jamais je pourrais… !!! »
« Et bien…. C’est le meilleur moyen de les tester, non ? »
Son gland s’est approché de ma fente, hyper chaude grâce au « thé » et s’ouvrant comme une fleur, à ma stupéfaction, acceptant ce coït énorme, supportant dans son entièreté, cet accouplement monstrueux. J’avais l’impression d’être pris par un cheval, avec certes, une douleur assez forte, mais empli d’une extase… totale. Il m’a possédé trois fois, éjaculant en moi des quantités phénoménales de sperme, avant de me ramener vers Yves et Daniel, chatte nettoyée et enduite copieusement de sa crème cicatrisante. Il m’avait donné aussi un flacon d’une potion à prendre à raison d’une cuillère à café par jour, pour me protéger des maladies africaines, pour lesquelles les européens n’étaient pas immunisés.
Nous avons continué notre ballade dans la ville pour rentrer à la maison en fin d’après midi se reposer un peu. Une heure avant le repas, alors que j’allais prendre ma douche, Daniel s’est approché de moi :
« N’oublie pas d’utiliser les produits d’Abdou… !!! »
J’en avais bien l’intention. Son bazooka défonçant mon fondement m’avait trop excité et ma chatte recommençait à me démanger.
CalinChaud
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