Si vous avez lu quelques-uns de mes anciens récits, peut-être connaissez-vous « Maroc » et celui-ci en est un peu, la suite en quelque sorte. Hélas, mon ordi fixe sur lequel je les avais écrites a rendu l’âme sans que j’aie pu en faire une sauvegarde. Après moultes recherches, je suis enfin parvenu à retrouver le site sur lequel je les avais publiées, et surtout, sous quel pseudo ?
Donc, ayant décidé mon retour en France pour m’occuper de mon père dont l’état de santé s’était fortement aggravé, mais aussi, même si j’adorais toujours autant Khaled, je ne me sentais plus prêt à continuer cette spirale infernale dans laquelle je commençais à me sentir enfermé. J’avais besoin d’une pause, revoir ma famille, prendre les décisions nécessaires quant à mon père, et réfléchir, en toute sérénité, sur mes choix à venir.
Mes relations avec ma mère étant toujours aussi conflictuelles, même amplifiées, je n’avais pas envie de réintégrer Nice, ma ville, celle où je suis né, que j’ai toujours aimée et que j’aime toujours autant. La pression de ma mère allait être trop forte pour moi. Même si mes parents étaient divorcés depuis plus de quinze ans, elle se régalait trop à massacrer nos vies. Je préfère ne pas m’étendre sur le sujet de cette femme, bipolaire et schizophrène à une extrémité que je ne pouvais pas connaitre à l’époque.
J’ai donc choisi les Pyrénées pour mon retour, m’y étant rendu plusieurs fois avec mon meilleur ami dont il était originaire. Cette région me rappelait la mienne, avec cet entourage de campagne, de champs, de montagne et de mer aussi proche. J’adorais m’y promener, dans cette « frontière » entre la Bigorre, le Béarn et le Pays Basque, avec ses petits villages denses, ses fermes plutôt disséminées.
À la limite entre Béarn et Pays Basque, assis sur un tronc d’arbre en contemplant le paysage, j’ai entendu un craquement derrière moi et un homme est venu me rejoindre, sans trop me parler d’abord, restant juste à mes côtés.
« Tu vois la ferme en haut de la vallée, isolée, tout au bout de cette petite route ?... Et bien, c’est la mienne… »
Je lui ai souri en le regardant. Le vrai prototype du Basque… Très brun, pas très grand, trapu, musclé, velu et empestant le mâle.
Nous avons parlé un assez long moment, un peu de tout et de rien, mais avec des sourires qui devenaient de plus en plus appuyés, des regards de complicité, des allusions sur sa solitude, même s’il adorait sa région qu’il ne quitterait jamais.
Il s’est enfin décidé à m’offrir un café dans sa ferme, pour me la faire visiter, avec un regard plus que coquin dans ses yeux, une invite subtile, mais claire à la fois.
Une fois debout, j’ai pu admirer ce corps d’homme, dont les poils s’exhibaient tout autour de sa salopette et sur ses bras, avec une bosse à l’entrejambe, plus que prometteuse.
Le café servi, au vu de mon attirance envers lui qu’il avait bien perçue, il s’est approché de moi, m’a chopé entre ses bras virils et m’a dit simplement :
« J’ai envie de toi… Tu m’as plu dès que je t’ai vu et je suis depuis si longtemps sans amour ».
Je sentais son désir tout contre moi, la barre de son sexe incrustée sur mon ventre, ses mains pétrissant mes fesses. Une seule alternative… Soit fuir en courant, soit me laisser aller et m’offrir au désir de cet homme, si viril et si puissant.
J’ai accepté son baiser, ma main parcourant son torse hyper velu en le découvrant peu à peu, jusqu’à un caleçon hyper rempli, d’où une énorme touffe de poils émergeait remplie d’une odeur si masculine, corps d’homme dont j’étais privé depuis le Maroc.
Empli de ces saveurs si viriles, mes mains ont descendu ce rempart de tissu et mis à nu ce sceptre qui fait la fierté de l’homme. Il n’était pas super long, mais quand même… Je vais dire entre 18 et 19 cm, mais en revanche, hyper épais, d’un diamètre peu commun, reposant sur des couilles hyper grosses, bien velues. C’était le vrai mâle Pyrénéen à l’état pur.
Je me suis mis à genoux, pour caresser ce magnifique pieu poilu qui prenait de l’ampleur à chacune de mes caresses en approchant mes lèvres pour en déguster les saveurs. Sa largeur m’a empêché d’aller trop loin, ma bouche distendue ne pouvait qu’en absorber la moitié, et en quelques minutes, il s’est déversé en moi, à longs jets qui ne semblaient pas se tarir, tellement son désir était puissant et lointain.
Sage depuis mon retour, j’étais trop heureux de donner à nouveau du plaisir à un homme, surtout aussi viril que lui. Son sexe me paraissait magnifique, pas aussi long que celui de Khaled, mais aussi large, voire davantage avec des couilles encore plus volumineuses, le tout, bien entouré d’une énorme touffe de poils dégageant une odeur de mâle, de testostérone qui me montait à la tête, le mâle à l’état brut.
Depuis que j’étais rentré en France, anxieux quand même, j’avais effectué plusieurs tests, à trois reprises à trois mois d’intervalle, dont le dernier datait de la semaine précédente, pour être sûr d’être clean, de ne rien avoir choppé lors de mes débordements sexuels au Maroc… Par chance, tout était négatif…
En reprenant un autre café avec Laurent, il m’avait enfin dit son prénom, je me suis senti à l’aise avec lui, cet homme si simple et si gentil. Mais je voyais aussi la bosse entre ses jambes se reformer, sa salopette, pourtant ample, ne pouvait pas cacher cette « toile de tente » qui la déformait de manière indécente.
« Viens dans ma chambre... Je n’ai plus fait l’amour depuis presque 3 ans et j’ai trop envie de te prendre ».
« J’ai envie de toi aussi, Laurent »
« Je vis seul avec mon frère depuis toujours, dans la ferme de nos parents, et ce n’est pas facile »
CalinChaud
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