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Vacances et Découverte

1| Les résultats sont tombés

J’ai décroché mon Bac avec mention Bien, à laquelle je ne m’attendais pas vraiment, mais très importante dans le milieu des années 70, en 1975 plus exactement.
J’étais majeur depuis 3 mois et mes parents m’avaient promis un super voyage, de mon choix, si je réussissais. Nous n’étions pas une famille riche, mais aisée, et de plus, j’étais enfant unique, donc, ils pouvaient m’offrir ce cadeau qu’ils estimaient mérité, au-delà de leurs espérances. J’étais facile à vivre, sérieux respectueux, obéissant, le « vrai » enfant modèle, et donc, ils m’accordaient une confiance totale.

Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que depuis tout jeune, j’étais attiré par les hommes. Aucun intérêt envers des seins ou des chattes, mais plutôt vers la gente masculine, hyper virile de surcroît. De plus, lors d’un séjour chez mes grands-parents, j’avais vu notre voisin pisser contre un arbre, exhibant un tuyau de chair… énorme alors qu’il n’était même pas en érection. Le village le surnommait « marteau piqueur », sans que j’en comprenne la signification, mais que, du coup, j’avais constaté de visu. (26*7 en pleine forme avec des balloches en rapport, mais ça, je ne l’ai su que bien plus tard.)

Mon expérience sexuelle était extrêmement limitée, je n’avais sucé que deux bites, une assez grosse dans le vestiaire du gymnase, et une autre, plutôt moyenne, dans les chiottes du Lycée, celle de Philippe.

Curieusement, nous sommes devenus assez copains avec Philippe, et au fur et à mesure de notre camaraderie, il me confiait ses expériences. Il était plutôt passif, très chaud du cul et depuis son dépucelage, assez jeune, il se donnait très facilement.

A l’époque, Internet n’existait pas, ni les réseaux téléphones, mais certains guides homos, on ne disait pas gay à l’époque, circulait discrètement, dont un, si je me rappelle bien, s’appelait « Spartacus » et décrivait les endroits où les hommes pouvaient s’adonner au plaisir entre eux, dans des lieux discrets, en France et dans une partie de l’Europe, dont Ibiza, la plus libérée. D’autre part, les filles ne couchaient pas, la culture, hyper peur de tomber enceinte, du coup, certains hommes étaient ravis de trouver des jeunes culs de garçons à baiser facilement qu’ils ne risquaient pas d’engrosser.

J’étais en section littéraire, avec Anglais et Allemand en langues principales, Espagnol en troisième langue, que je n’aimais pas trop et donc, des résultats plutôt médiocres. Et là, le coup de génie est arrivé. Ce serait bien que je demande un séjour en Espagne à mes parents pour m’améliorer. Ainsi fut dit et ainsi fut fait, 3 semaines après, je prenais l’avion pour Ibiza, avec une réservation pour un club de loisirs, soigneusement choisi avec l’aide de Philippe et de son guide magique, dont les commentaires étaient plus qu’élogieux quant à la fréquentation en quasi-majorité masculine.

Une fois arrivé, j’ai pris possession de mon bungalow, un peu à l’écart, simple mais confortable. En bord de plage mais avec piscine, j’ai eu vite fait de revêtir mon maillot et d’aller me jeter à l’eau. Une fois rafraîchi, j’ai jeté un œil autour de moi, contemplant les mâles présents, souvent hyper beaux, fréquemment bien poilus comme j’aimais tant, et certains d’entre eux, abhorrant des bosses plus qu’indécentes sous leur carré de tissu, bien plus intéressantes, pour moi, que celles sous les sous-tifs des filles. La moyenne d’âge était assez jeune quand même, sauf quelques exceptions.

Mes parents avaient bien fait les choses, j’étais « All Inclusive » comme on dit maintenant, avec toutefois, suffisamment d’argent de poche pour des visites éventuelles sur l’île. Une fois rincé, je me suis étendu sur un transat, savourant un cocktail de fruit et surveillant le manège autour de moi, les yeux rivés sur un couple de mecs qui se draguait et qui s’est isolé dans un endroit plus discret et touffu.

Je n’ai pu m’empêcher de les suivre discrètement, pour voir ce qui allait se passer. Je n’ai pas été déçu. Caresses, suce, quand l’un des deux s’est appuyé sur le tronc d’arbre, cul bien en évidence, et que l’autre l’a pénétré d’un bon coup de bite bien profond. Il l’avait bien grosse la vache, mais l’autre l’encaissait sans problème, lui demandant de le baiser encore plus fort. Ce gros tube qui coulissait aisément dans le cul de ce jeune, me rendait fou… J’avais compris que je voulais sentir la même chose, et surtout, surtout, avec un membre aussi volumineux, voire davantage, toujours obsédé par la vision de « Marteau Piqueur ».

Pendant 2 ou 3 jours, j’ai plutôt joué au voyeur, partant à la découverte de ce fabuleux domaine, très vaste et rempli de bosquets très discrets. Je contemplais les hommes se sucer, s’enculer, à deux ou à plusieurs et où le sexe était vraiment, sans tabou.

J’avais rapidement fait la connaissance d’un jeune allemand, Dietrich, un peu plus âgé que moi, passif lui aussi, adorant le sexe depuis qu’il s’était fait dépuceler par son frère trois ans auparavant, qui le baisait toujours, et qui donnait facilement sa bouche et son cul, dans les bois, sur la plage ou dans son bungalow. Je l’avais d’ailleurs vu se faire baiser par tous les trous, par 3 mecs hyper virils.

Il savait que j’étais encore puceau, désireux de perdre ce pucelage qui me gênait et que ma « chatte » me démangeait trop. Je lui avais avoué aussi mon fantasme sur les bites vraiment énormes et sur les mecs bien velus. Il est venu me rejoindre, une fin d’après-midi, alors que je me dorais la pilule au bord de la piscine, exhibant mes fesses assez bombées sous un maillot hyper moulant et minimaliste. Je m’étais rendu compte, très flatté, que je plaisais bien aux mâles qui me mataient sans vergogne.

C’est vrai que je ne suis pas encore présenté. Marc, 18 ans et 2 mois, assez grand, 1m80, plutôt fin, châtain, très peu poilu, des yeux verts qu’on m’avait souvent qualifiés de splendides, une bouche aux lèvres assez pulpeuses, faite pour sucer des bites.

« Si tu es prêt à franchir le pas, petite soirée chez moi avec 3 ou 4 mecs hyper virils dont un te plairait vraiment, ça te branche ? »
« Ah bon ? Pourquoi ? »
« Il est poilu comme un singe et je ne te parle même pas de la poutre qu’il a entre les jambes, j’ai eu beaucoup de mal à le sucer. Il est espagnol et métissé arabe. »
« Je sais pas si je vais oser. »
« Ecoute, tu peux au moins venir voir, après, tu participes si tu en as envie, sinon, tu pars quand tu veux. Juste viens seulement en short. »
« Suis d’accord. » J’avais pris ma décision en quelques secondes, tant mon envie de sexe était brûlante, et surtout, de contempler le genre de mec de mes fantasmes. Après tout, mater n’engageait à rien, d’autant plus que comme une totale liberté régnait, personne ne forçait quiconque à quoique ce soit et je pouvais partir quand je voulais.

Un peu fébrile toutefois, j’ai rejoint le bungalow de Dietrich où, dès son approche, j’ai perçu une atmosphère festive, comme lorsque des potes se réunissaient pour prendre un verre ensemble. A l’idée de ce qui allait se produire ensuite, je bandais déjà, heureusement, mon slip assez serré masquait en partie ma petite bosse tendue.

Dès mon arrivée, Dietrich m’a pris dans ses bras avec de gros bisous, et m’a présenté aux autres, 3 spécimens de mâle overdoses de testostérone me disant que deux autres allaient nous rejoindre, dont Mehdi, l’espano-arabe dont il m’avait parlé. A la vue de ces trois mecs en short, exhibant une magnifique virilité et exsudant une odeur plus intense que le moindre aphrodisiaque, ma faible résolution de n’être que spectateur pour cette première fois est vite tombée aux oubliettes. D’autant plus que ça commençait à bien se peloter, Dietrich avait déjà les cuisses écartées, se faisait caresser le cul et branlait une bite. Je voulais perdre mon pucelage depuis longtemps… Alors, ça serait pour ce soir, ma résolution était prise.

Lors de notre dialogue dans l’après-midi avec Dietrich, je lui avais avoué ma peur de ma première pénétration, pensant, au fond de moi, qu’il valait mieux qu’elle se fasse par une petite queue. Il m’a juste répondu que l’important était que je me sente prêt à me faire pénétrer, peu importait la grosseur du sexe, c’était dans la tête que tout se passait. Il m’a dit qu’il avait toujours été fasciné par son frère, par la taille fabuleuse de son membre, même au repos, aussi bien en longueur qu’en épaisseur (24/6 en érection, à ses dires) et que si la douleur avait été hyper intense au début, la sensation de plénitude avait été fabuleuse après.

Je me suis assis de côté, sur un fauteuil un peu à part, me contentant de regarder d’abord, sentant la chaleur monter dans tout mon corps, j’avais comme l’impression que ma fente commençait à s’humidifier. Je m’identifiais de plus en plus à Dietrich s’offrant aux désirs des mâles, les sexes tendus au maximum parcourant son corps, dont un avait déjà pris possession de son orifice et un autre lui défonçait la bouche.

Léger Toc-toc sur la porte, et sans attendre, deux autres hommes sont entrés. J’ai reconnu de suite celui dont m’avait parlé Dietrich, Mehdi, à l’extraordinaire toison qui le recouvrait, des pieds à la tête, et à son short, déformé par un paquet tellement volumineux que je voyais apparaître la moitié de ses couilles poilues, et la quasi-totalité de son gland circoncis, il ne portait pas de slip, bien évidemment. Sans plus de façon, il s’est assis contre moi, dans ce fauteuil quand même assez étroit, la moitié de son corps velu épousant le mien, m’embrassant à pleine bouche. Il avait dû s’asperger de testostérone ou de phéromones, je plaisante, bien sûr, mais l’odeur qu’il dégageait était… Indescriptible.

« Ravi de te connaitre enfin Marc, Dietrich m’a tellement parlé de toi… Moi, c’est Mehdi, de père marocain et de mère espagnole. » En français parfait.
« Moi aussi Mehdi… !!! » En bafouillant un peu néanmoins.
« Tu sais que tu es super mignon… J’ai envie de te croquer tout cru… !!! »

En bon mâle dominant qu’il était il a constaté mon trouble, descellant à la fois ma crainte mais mon envie folle de lui. Ses baisers et ses caresses sur moi ont rapidement fait fondre mon appréhension, surtout lorsqu’il a pris ma main pour la déposer sur la toison de sa poitrine, et doucement, la faire descendre plus bas, toujours plus bas, jusqu’à atteindre la touffe hyper drue de son pubis, puits d’aromates de plus en plus suave.

Je me moquais complètement que d’autres mecs étaient en train de baiser à fond devant nous, je découvrais un corps qui représentait le pur spécimen de mes fantasmes, et lorsque Mehdi a baissé son short, je revoyais « Marteau Piqueur » dans mes souvenirs, peut-être même en encore plus gros, mais là, en totale érection, et quelle érection… !!!

« Marc… Je sais que tu en as trop envie… Je vais te faire connaitre le vrai plaisir… De caresser un homme, de le sucer et de te faire dépuceler et défoncer. »
« C’est trop gros Mehdi, je sais pas si je vais pouvoir… !!! »
« Mais si tu peux, Marc, j’en suis sur…. Tu vas souffrir au début, mais tu vas adorer. »
« Ici ? Devant les autres, ou seuls tous les deux ? »
« Je te laisse le choix… Mais c’est eux qui t’ont conduit à moi, ce serait bien qu’ils voient aussi le plaisir que tu y prends, non ? »

2 | Je ne suis plus puceau !!!

Tellement j’étais heureux de me retrouver dans les bras de Medhi, qu’il me semblait que le monde autour de moi n’existait plus, ou du moins, d’une manière très floue. J’apercevais Dietrich se faire défoncer par les autres, subissant même une double pénétration et je me disais en moi-même qui si lui pouvait supporter 2 grosses bites en même temps dans son trou, je serais bien capable de prendre celle de Medhi, pourtant énorme, et en totalité, même pour un dépucelage… Je le rêvais comme tel, fait par un pieu vraiment démesuré, peu importait ma souffrance initiale.

Curieusement le groupe qui baisait à qui mieux mieux entre eux, nous laissait tranquille Medhi et moi, jetant quand même quelques regards discrets vers nous. Je m’étais enfin décidé à goûter à ce sucre d’orge plus que XXL, ne pouvant pas l’avaler bien sûr, ce qu’il m’a appris plus tard, mais me délectant de ce merveilleux miel que produit le sexe de l’homme… C’était totalement extraordinaire, avec une saveur et un goût, que jamais je n’avais connu auparavant, lors de mes deux précédentes pipes, si fades.

Dietrich jetait souvent un œil sur moi, et il a vite compris que ma bouche ne suffisait pas à Medhi et qu’il voulait mon cul. A l’époque, pas besoin de capotes, mais tous les gels actuels n’existaient pas encore. Il s’est vite relevé, a filé à la salle de bains et a ramené un gros tube de vaseline, seul lubrifiant du moment. Sur ses conseils, lors de ma douche avant de venir, je m’étais nettoyé en profondeur avec le tuyau dévissé dans mon trou, à plusieurs reprises, jusqu’à obtenir une eau parfaitement claire. Un peu douloureux quand même, surtout que c’était la première fois, mais je lui faisais confiance et donc, j’ai suivi ses conseils à la lettre.

Medhi a pris le tube, mais avant ça, il m’a basculé sur la table basse, écartant mes lobes pour embrasser, lécher ma corolle, le pourtour et le plus loin possible. Puis j’ai senti cette crème visqueuse me badigeonner, de haut en bas, puis un truc énorme, enduit de la même substance, frotter sur ma fente, cherchant à l’ouvrir peu à peu et s’introduisant à petits coups, de plus en plus intenses. L’anneau avait enfin cédé à la pression et son gland m’avait perforé au bout de quelques tentatives. J’avais super mal, ouvert en deux, je me sentais complètement écartelé, mais j’en voulais davantage. J’ai écarté mes fesses à deux mains pour qu’il continue sa pénétration. Il y est allé doucement, mais, mes doigts sur ses poils, au torse, au ventre, sur son pubis et sur ses fesses, hyper velues elles aussi ont fait céder toutes mes barrières. D’une manière douce au début, il est allé de plus en plus fort, en me défonçant comme un fou, sans retenue aucune, dès qu’il m’a senti totalement ouvert et offert, mon conduit s’adaptait à son fabuleux membre, dont il a dépassé le deuxième sphincter au passage, pour s’introduire en totalité dans moi.

Le silence régnait autour de nous, chacun contemplant ce dépucelage et cet accouplement hors normes. J’étais au Nirvana… D’abord, d’être enfin déviergé, en plus par un mâle hors du commun, et devant les amis qui m’avaient aidé et soutenu pour que cela se produise enfin, même si la douleur était colossale.
Medhi a hurlé sa jouissance quand il s’est déversé à long jets au fond de moi, comme moi, quand j’ai cru partir dans les pommes tellement notre plaisir était puissant. J’avais l’impression d’être détruit, d’avoir un gouffre entre les cuisses…. Mais j’étais heureux et comblé. J’avais perdu ma virginité d’une manière sublime. Dietrich m’a accompagné à la salle de bains pour me rincer, j’avais un peu de mal à tenir sur mes jambes,

« Alors ce dépucelage ? Bravo… !!! Tu as pris encore plus gros que la bite de mon frère… Que de la douleur ou du plaisir aussi ? »
« Les deux Dietrich… ça me brûle atrocement, j’ai l’impression d’être dévasté et d’avoir un gouffre entre les jambes, un véritable tunnel… Mais tu avais raison… Beaucoup mieux par hyper gros, une fois la douleur passée, le plaisir était si fort, si puissant. »

Et nous avons rejoint les amis au salon.

« Dis-moi Marc, tu as ton bungalow, non ? »
« Oui, bien sûr Medhi, pourquoi ? »
« Parce que tu crois que la nuit est finie ? On vous laisse les amis…  A plus. »
J’y croyais pas… !!! Il bandait toujours… !!! Avec la même intensité… !!!
« Tu voulais un mec mi espagnol mi arabe, et bien, tu vas te régaler »

Nous avons rejoint mon « chez-moi », assez loin tout de même, d’une manière quasi-indécente, je lui avais bien sucé la bite après notre coït inimaginable, et donc, aucune trace sur son short, sinon l’énorme barre qui la traversait. Sauf qu’on puait le sexe et sa semence qui dégoulinait entre les cuisses montrait à tous ceux que nous avions croisés que je m’étais fait complètement démonter, que j’étais un enculé.
J’avoue que pour un dépucelage, c’était vraiment un VRAI dépucelage. Ma fente était béante comme un véritable vagin ayant subi plusieurs assauts. Malgré la douleur toujours présente, et ma peur de recommencer, elle frétillait encore de désir.

« Au fait Marc, tu sais ce que tu as pris en toi pour la première fois ? »
« Désolé… J’avais oublié mon centimètre… !!! »
« 28 cm de long, 7 de diamètre avec gland plus large et 8 cm à la base… !!! »
« Tu rigoles ??? »
« Non, pas vraiment…. Et c’est la première fois que j’arrive à dépuceler un cul en entier avec mon mandrin. »
« Hmmmm… Ravi… !!! Mais j’ai super envie d’y regoûter… !!! »

Dietrich avait raison, c’est principalement dans la tête que ça se passe. On a baisé presque toute la nuit, le suçant, me délectant de son nectar, son pieu me perforait, dans toutes les positions, toujours plus fort et plus loin, me fécondant à plusieurs reprises, Mehdi était infatigable. Il est parti au petit matin, me laissant me reposer, nu, sur le ventre, cuisses écartées, chatte explosée et dégoulinante, recouvert de son odeur de mâle et de son sperme.

En fin de matinée, encore comateux, j’ai entendu Dietrich rentrer, ma porte n’était pas bouclée, et j’ai vaguement entendu son sifflement.

« Et bien mon Marc, tu as pris cher, on dirait, mais je t’avais prévenu. »
« Pas à ce point quand même… Suis mort… mais trop bon… !!! »

En ouvrant les yeux, je me suis rendu compte qu’un plateau de petit déjeuner, froid bien sûr, était sur ma table. Le serveur avait dû le déposer dans la matinée, en silence, sans doute constaté l’état dans lequel j’étais, complètement défoncé et la chambre empestant le sexe. Le rouge m’est venu aux joues, ainsi qu’une honte que je ne parvenais pas à masquer. Il a de suite compris la situation et m’a pris dans ses bras.

« T’inquiète… Ils sont habitués et ils en ont vu bien d’autres. »
« Oui, mais quand même… !!! »
« Putain…. Il t’a mis cher le Medhi… Tu verrais l’état de ta chatte… !!! C’est ce que tu voulais, non ? »
« Pas à ce point, j’ai encore super mal, mais… Franchement… Trop bon… !!! »
« Alors, remets-toi vite, il va venir vers 16 h pour t’amener à la plage. »
« Bonne idée… Un bon bain de mer me fera du bien… !!! »
« Parce que tu crois que c’est que pour ça ? »
« Suis pas sûr d’être en état de recommencer… !!! »
« T’es con… le passage est plus que fait maintenant, profites-en. »

En milieu d’après-midi, Mehdi est venu me chercher, tous poils dehors, embaumant la pièce de sa fragrance si virile, vêtu d’un simple short « poutre apparente ».

« Allez… Oust… A la plage… Ça va nous faire du bien, surtout là où je vais t’amener, petite crique bien sympa où je vais pouvoir te baiser à mort. »

Devant ce summum du mâle rêvé, toutes mes maigres résolutions de vouloir rester sage se sont effondrées, submergé par ce désir puissant, pourtant si récent, de l’accouplement. Et tant pis pour la douleur… Comme m’avait dit Dietrich, le passage était fait !

CalinChaud

tarbespouzac06@live.fr

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