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3 | Promenade
Le petit déjeuner avalé et après une toilette plus qu’approfondie au vu de tout ce qu’il m’avait mis, nous avons rejoint le centre du village vers 10 heures.
Plusieurs voitures stationnaient, entourées par des groupes de jeunes, prêts au départ, dont Réda.
« On va à Tizi, Tonton, tu viens avec nous ? »
« Pas trop envie de la ville et Omar a proposé de m’emmener en ballade aux alentours »
« Pour te montrer les cailloux, les chèvres et les oliviers ? »
Il est parti d’un grand éclat de rire. C’est vrai que c’était toujours un sujet de plaisanterie entre nous. Mon fils m’avait souvent dit que la Kabylie n’était que chèvres, cailloux et olives. Devant lui, Réda a voulu nous prouver le contraire en nous montrant un documentaire de sa région sur le Net…. Lequel documentaire ne montrait…. Que des cailloux, des chèvres et des oliviers. Nous étions pétés de rire tous les trois, sachant bien que ce magnifique endroit ne se bornait pas qu’à ça, et l’huile d’olive de Kabylie est une pure merveille.
En retrait, Omar dardait ses yeux ténébreux sur moi, se demandant si j’allais partir avec eux ou rester avec lui. Un bisou à Réda, et une fois les jeunes sur le départ, le sourire lui est revenu quand il m’a vu le rejoindre, et pas que le sourire si j’en jugeais la protubérance de son entrejambe. Il est resté quand même plutôt sage lorsque nous sommes allés chez lui pour prendre nos sacs et partir sur le chemin de notre promenade.
Ma chatte me faisait encore super mal de tous les assauts qu’elle avait subis cette nuit, mais sans masochisme aucun, j’aimais cette douleur… C’était celle de la femelle baisée, couverte, saillie par le mâle… Celle de la femelle comblée.
Déjà, rien que d’avoir une de ses mains dans la mienne et l’autre caressant mon dos et mes fesses, je me sentais humide entre mes cuisses, réclamant l’appel de la bite. A quelques centaines de mètres de notre départ, endroit désert, Omar m’a bousculé sur un tronc d’arbre, baissant le faible rempart de mon pantacourt, son pieu forant mon puits dans lequel il s’est introduit sans ménagement. J’étais à nouveau prise… Quel délice… !!!
Précautionneux, j’avais toujours dans mon sac des lingettes nettoyantes ainsi que des protections de slip, sachant que tout ce bon jus de mâle allait s’écouler de moi pendant notre marche.
J’étais vraiment épanoui et je retrouvais le plaisir de me faire sauter plusieurs fois par jours, comme ce que j’avais vécu avec Ilyas, mais en plus, par un membre phénoménal auquel ma chatte commençait à bien se formater, pour son plus grand plaisir. Certes vu sa taille, la douleur était toujours présente, mais s’atténuait progressivement du fait de nos copulations intenses et fréquentes. Il était toujours « en forme » comme si il cherchait à rattraper un long retard, cette quête d’amour, de désir et de sexe dont il avait tant besoin.
Cette ballade fut vraiment, merveilleuse, la découverte de cette région que je ne connaissais que par des vidéos, nature encore sauvage, air chargé de parfums d’herbes aromatiques qui me rappelait mon Comté de Nice natal.
Il m’a conduit jusqu’à une ferme, quasi isolée, où nous nous sommes approvisionnés de fromage frais, de chèvre évidemment, et d’huile d’olive, évidemment aussi, qui offrait des aromes si intenses, si frais, que j’avais l’impression, en la goûtant, de croquer dans le fruit, ainsi que tous les aromates composant la cuisine méridionale.
Omar a pu rester relativement « sage » pendant cette promenade, ne me prenant que trois fois, avec toute cette vigueur qui était la sienne.
Nos besaces remplies de nos trésors, nous avons rejoint le village pour donner aux femmes tout ce que nous avions acheté, en grande quantité, pour qu’elles en fassent bon usage.
Dans ces événements familiaux, il était de coutume que toute la famille participe, chacun selon ses moyens, et Omar était très fier d’apporter nos sacs, remplis à ras bord, de ces produits bio, comme on dirait aujourd’hui, et dont la famille raffolait. Il avait d’abord refusé que je partage avec lui le coût élevé de nos achats, mais s’est laissé convaincre une fois que j’aie pu lui expliquer que c’était l’usage aussi chez nous et qu’il me vexerait si il n’acceptait pas, et finalement, il m’a laissé tout payer.
En sortant de la maison des parents de Réda, il était tout émoustillé d’avoir pu offrir notre écot à la fête, en plus d’une quantité astronomique de bières qu’il avait commandé, en cachette, pour l’occasion, mais surtout pour leur dire que nous avions choisi tout ça ensemble et que c’était un cadeau de ma part.
Je n’ai pu m’empêcher de le contempler, dans sa splendeur de mâle. Il était vraiment magnifique, ou du moins il correspondait à 1.000% à mes goûts. Au fur et à mesure qu’il avançait vers moi, je voyais la barre entre ses jambes devenir poutre et après une caresse subtile sur cette bosse indécente :
« On rentre Habibi ? »
« Oui, tu dois avoir besoin de te reposer un peu après cette longue marche »
« Besoin de repos…. Mais pas que… !!! »
« Trop envie de toi… De te posséder, de te défoncer, d’envahir cette chatte qui est à moi… »
« Mais tu n’es pas calmé après toutes nos étreintes aujourd’hui… ??? »
« Tu connais les vrais Kabyles, non ? On n’en a jamais assez… !!! »
« Je sais…. Moi aussi j’ai encore envie de toi… !!! »
J’ai toujours vénéré les hommes, les vrais mâles, mais Omar représentait l’archétype de ce que j’adorais. Hyper velu, un sexe d’enfer et d’une puissance… phénoménale. Il n’en avait jamais assez, sans doute privé depuis trop longtemps d’assouvir ses besoins sexuels. J’étais habitué avec Ilyas de la « fougue » Kabyle, mais là, j’avoue, Omar battait tous les records, pour mon plus grand plaisir d’ailleurs.
Même si Réda m’avait parlé de lui, à demi-mots, bien sûr, j’étais loin de m’imaginer ce qui allait m’attendre avec lui. La vue de ce corps, si grand, si poilu et de cette barre qui se formait entre ses jambes me faisait fondre. Je sentais ma chatte s’humidifier et s’ouvrir au fur et à mesure qu’il s’approchait de moi. La fragrance qu’il dégageait, ce mec devait avoir une surcharge de testostérone et de phéromones, m’étourdissait complètement et envahissait mes narines comme le plus puissant des aphrodisiaques.
J’avais trop envie de prendre son sexe en bouche et humer, me délecter de toute la saveur si musquée de son énorme touffe de poils pubiens. Il puait le mâle par toutes les pores de sa peau brune.
Le repas n’étant prévu qu’assez tard, le temps que les garçons rentrent de Tizi, nous avions quelques heures devant nous pour profiter l’un de l’autre. Il était fébrile en arrivant devant chez lui, tellement son envie était forte, et manifeste au vu de la protubérance de son gourdin dont la moitié sortait déjà de son short.
Mais que c’est beau un homme… !!! Que cette barre de chair majestueuse qui possède, qui pilonne, qui fouille au plus profond l’orifice de sa femelle est magique, magnifique… !!!
Je ne voulais pas lui donner ma chatte de suite, malgré son insistance, je voulais profiter de chaque parcelle de son corps avant. Allongés sur le lit, j’ai commencé à caresser tous ses poils, à les embrasser, à les lécher, me délectant de son odeur, à m’approchant subrepticement de son pieu, tendu à l’extrême, avec seulement quelques coups de langue, sur son gland, sur toute sa longueur, gobant ses couilles une par une, bien trop grosses pour prendre les deux en même temps, avec une sensualité extrême qu’il n’avait jamais connue auparavant, ce qu’il m’a avoué plus tard.
Quand j’ai senti sa jouissance arriver, je l’ai enfourné dans ma bouche, savourant chaque jet de son nectar de mâle, si suave, si épicé, presque sucré, qu’il déversait sans fin.
« Marc… Jamais on ne m’a fait ça… !!! »
« Pourquoi Habibi, tu n’as pas aimé ? »
« J’ai adoré, mais ici, ça reste encore tabou… Pardonne- moi de te dire ça, mais seules les Kahbas le font, et encore… c’est rare… !!! »
« Tu me prends pour une Kahba ? »
« Non, bien sûr que non, Marc. »
« Parce que pour moi, c’est un geste d’amour que je ne fais que lorsque je suis heureux avec un homme. »
Après quelques instants de repos et de câlins, son instinct viril a repris le dessus, il m’a allongé sur le dos et s’est enfoncé dans moi d’une traite. Il m’a labouré comme un fou, cherchant à me posséder le plus loin possible, en me couvrant de caresses et de baisers. Il voulait me rendre le plaisir que je lui avait procuré en me possédant comme il savait que j’aimais l’être. Il coulissait parfaitement dans moi comme dans un écrin, un écrin qui lui appartenait dorénavant, pour notre jouissance commune.
Nous avons fait l’amour encore deux fois et après une bonne douche salvatrice, nous avons rejoint le groupe pour la soirée.
En arrivant, Réda s’est approché de moi :
« Dis-moi Tonton, tu es content de ton séjour parmi nous ? »
« Oh que Oui mon Réda…. Merci encore… »
« Tu nous a transformé ce vieil ours d’Omar on dirait… Il a l’air resplendissant… !!! »
« C’est parce que je suis très gentil avec lui… !!! »
« Vraiment très gentil alors… !!! » Avec un clin d’œil et un sourire en coin significatifs.Promenade
Le petit déjeuner avalé et après une toilette plus qu’approfondie au vu de tout ce qu’il m’avait mis, nous avons rejoint le centre du village vers 10 heures.
Plusieurs voitures stationnaient, entourées par des groupes de jeunes, prêts au départ, dont Réda.
« On va à Tizi, Tonton, tu viens avec nous ? »
« Pas trop envie de la ville et Omar a proposé de m’emmener en ballade aux alentours »
« Pour te montrer les cailloux, les chèvres et les oliviers ? »
Il est parti d’un grand éclat de rire. C’est vrai que c’était toujours un sujet de plaisanterie entre nous. Mon fils m’avait souvent dit que la Kabylie n’était que chèvres, cailloux et olives. Devant lui, Réda a voulu nous prouver le contraire en nous montrant un documentaire de sa région sur le Net…. Lequel documentaire ne montrait…. Que des cailloux, des chèvres et des oliviers. Nous étions pétés de rire tous les trois, sachant bien que ce magnifique endroit ne se bornait pas qu’à ça, et l’huile d’olive de Kabylie est une pure merveille.
En retrait, Omar dardait ses yeux ténébreux sur moi, se demandant si j’allais partir avec eux ou rester avec lui. Un bisou à Réda, et une fois les jeunes sur le départ, le sourire lui est revenu quand il m’a vu le rejoindre, et pas que le sourire si j’en jugeais la protubérance de son entrejambe. Il est resté quand même plutôt sage lorsque nous sommes allés chez lui pour prendre nos sacs et partir sur le chemin de notre promenade.
Ma chatte me faisait encore super mal de tous les assauts qu’elle avait subis cette nuit, mais sans masochisme aucun, j’aimais cette douleur… C’était celle de la femelle baisée, couverte, saillie par le mâle… Celle de la femelle comblée.
Déjà, rien que d’avoir une de ses mains dans la mienne et l’autre caressant mon dos et mes fesses, je me sentais humide entre mes cuisses, réclamant l’appel de la bite. A quelques centaines de mètres de notre départ, endroit désert, Omar m’a bousculé sur un tronc d’arbre, baissant le faible rempart de mon pantacourt, son pieu forant mon puits dans lequel il s’est introduit sans ménagement. J’étais à nouveau prise… Quel délice… !!!
Précautionneux, j’avais toujours dans mon sac des lingettes nettoyantes ainsi que des protections de slip, sachant que tout ce bon jus de mâle allait s’écouler de moi pendant notre marche.
J’étais vraiment épanoui et je retrouvais le plaisir de me faire sauter plusieurs fois par jours, comme ce que j’avais vécu avec Ilyas, mais en plus, par un membre phénoménal auquel ma chatte commençait à bien se formater, pour son plus grand plaisir. Certes vu sa taille, la douleur était toujours présente, mais s’atténuait progressivement du fait de nos copulations intenses et fréquentes. Il était toujours « en forme » comme si il cherchait à rattraper un long retard, cette quête d’amour, de désir et de sexe dont il avait tant besoin.
Cette ballade fut vraiment, merveilleuse, la découverte de cette région que je ne connaissais que par des vidéos, nature encore sauvage, air chargé de parfums d’herbes aromatiques qui me rappelait mon Comté de Nice natal.
Il m’a conduit jusqu’à une ferme, quasi isolée, où nous nous sommes approvisionnés de fromage frais, de chèvre évidemment, et d’huile d’olive, évidemment aussi, qui offrait des aromes si intenses, si frais, que j’avais l’impression, en la goûtant, de croquer dans le fruit, ainsi que tous les aromates composant la cuisine méridionale.
Omar a pu rester relativement « sage » pendant cette promenade, ne me prenant que trois fois, avec toute cette vigueur qui était la sienne.
Nos besaces remplies de nos trésors, nous avons rejoint le village pour donner aux femmes tout ce que nous avions acheté, en grande quantité, pour qu’elles en fassent bon usage.
Dans ces événements familiaux, il était de coutume que toute la famille participe, chacun selon ses moyens, et Omar était très fier d’apporter nos sacs, remplis à ras bord, de ces produits bio, comme on dirait aujourd’hui, et dont la famille raffolait. Il avait d’abord refusé que je partage avec lui le coût élevé de nos achats, mais s’est laissé convaincre une fois que j’aie pu lui expliquer que c’était l’usage aussi chez nous et qu’il me vexerait si il n’acceptait pas, et finalement, il m’a laissé tout payer.
En sortant de la maison des parents de Réda, il était tout émoustillé d’avoir pu offrir notre écot à la fête, en plus d’une quantité astronomique de bières qu’il avait commandé, en cachette, pour l’occasion, mais surtout pour leur dire que nous avions choisi tout ça ensemble et que c’était un cadeau de ma part.
Je n’ai pu m’empêcher de le contempler, dans sa splendeur de mâle. Il était vraiment magnifique, ou du moins il correspondait à 1.000% à mes goûts. Au fur et à mesure qu’il avançait vers moi, je voyais la barre entre ses jambes devenir poutre et après une caresse subtile sur cette bosse indécente :
« On rentre Habibi ? »
« Oui, tu dois avoir besoin de te reposer un peu après cette longue marche »
« Besoin de repos…. Mais pas que… !!! »
« Trop envie de toi… De te posséder, de te défoncer, d’envahir cette chatte qui est à moi… »
« Mais tu n’es pas calmé après toutes nos étreintes aujourd’hui… ??? »
« Tu connais les vrais Kabyles, non ? On n’en a jamais assez… !!! »
« Je sais…. Moi aussi j’ai encore envie de toi… !!! »
J’ai toujours vénéré les hommes, les vrais mâles, mais Omar représentait l’archétype de ce que j’adorais. Hyper velu, un sexe d’enfer et d’une puissance… phénoménale. Il n’en avait jamais assez, sans doute privé depuis trop longtemps d’assouvir ses besoins sexuels. J’étais habitué avec Ilyas de la « fougue » Kabyle, mais là, j’avoue, Omar battait tous les records, pour mon plus grand plaisir d’ailleurs.
Même si Réda m’avait parlé de lui, à demi-mots, bien sûr, j’étais loin de m’imaginer ce qui allait m’attendre avec lui. La vue de ce corps, si grand, si poilu et de cette barre qui se formait entre ses jambes me faisait fondre. Je sentais ma chatte s’humidifier et s’ouvrir au fur et à mesure qu’il s’approchait de moi. La fragrance qu’il dégageait, ce mec devait avoir une surcharge de testostérone et de phéromones, m’étourdissait complètement et envahissait mes narines comme le plus puissant des aphrodisiaques.
J’avais trop envie de prendre son sexe en bouche et humer, me délecter de toute la saveur si musquée de son énorme touffe de poils pubiens. Il puait le mâle par toutes les pores de sa peau brune.
Le repas n’étant prévu qu’assez tard, le temps que les garçons rentrent de Tizi, nous avions quelques heures devant nous pour profiter l’un de l’autre. Il était fébrile en arrivant devant chez lui, tellement son envie était forte, et manifeste au vu de la protubérance de son gourdin dont la moitié sortait déjà de son short.
Mais que c’est beau un homme… !!! Que cette barre de chair majestueuse qui possède, qui pilonne, qui fouille au plus profond l’orifice de sa femelle est magique, magnifique… !!!
Je ne voulais pas lui donner ma chatte de suite, malgré son insistance, je voulais profiter de chaque parcelle de son corps avant. Allongés sur le lit, j’ai commencé à caresser tous ses poils, à les embrasser, à les lécher, me délectant de son odeur, à m’approchant subrepticement de son pieu, tendu à l’extrême, avec seulement quelques coups de langue, sur son gland, sur toute sa longueur, gobant ses couilles une par une, bien trop grosses pour prendre les deux en même temps, avec une sensualité extrême qu’il n’avait jamais connue auparavant, ce qu’il m’a avoué plus tard.
Quand j’ai senti sa jouissance arriver, je l’ai enfourné dans ma bouche, savourant chaque jet de son nectar de mâle, si suave, si épicé, presque sucré, qu’il déversait sans fin.
« Marc… Jamais on ne m’a fait ça… !!! »
« Pourquoi Habibi, tu n’as pas aimé ? »
« J’ai adoré, mais ici, ça reste encore tabou… Pardonne- moi de te dire ça, mais seules les Kahbas le font, et encore… c’est rare… !!! »
« Tu me prends pour une Kahba ? »
« Non, bien sûr que non, Marc. »
« Parce que pour moi, c’est un geste d’amour que je ne fais que lorsque je suis heureux avec un homme. »
Après quelques instants de repos et de câlins, son instinct viril a repris le dessus, il m’a allongé sur le dos et s’est enfoncé dans moi d’une traite. Il m’a labouré comme un fou, cherchant à me posséder le plus loin possible, en me couvrant de caresses et de baisers. Il voulait me rendre le plaisir que je lui avait procuré en me possédant comme il savait que j’aimais l’être. Il coulissait parfaitement dans moi comme dans un écrin, un écrin qui lui appartenait dorénavant, pour notre jouissance commune.
Nous avons fait l’amour encore deux fois et après une bonne douche salvatrice, nous avons rejoint le groupe pour la soirée.
En arrivant, Réda s’est approché de moi :
« Dis-moi Tonton, tu es content de ton séjour parmi nous ? »
« Oh que Oui mon Réda…. Merci encore… »
« Tu nous a transformé ce vieil ours d’Omar on dirait… Il a l’air resplendissant… !!! »
« C’est parce que je suis très gentil avec lui… !!! »
« Vraiment très gentil alors… !!! » Avec un clin d’œil et un sourire en coin significatifs.
CalinChaud
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