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Bonjour à tous, c’est Louis.
J’ai passé un séjour en Espagne chez José, il y a deux ans.
Après les quatre premiers épisodes de ce séjour, je vous en propose un nouveau.
Je rappelle qu’il s’agit d’une histoire vraie.
Je résume rapidement les épisodes précédents.
Je suis un petit mec dans la cinquantaine, ex-hétéro, viril et masculin, brun, barbu, pilosité normale, assez abondante à partir du pubis, cul et jambes poilus. Mince et sportif, je dispose d'un corps bien dessiné avec une musculature fine, merci la natation. Niveau équipements, une bonne trique de 20 cm, qui a donné beaucoup de bonheur, aujourd’hui encore même si c’est mon cul qui est maintenant en première ligne, un cul d’enfer à ce qu’il parait… !
Via une application, j’ai fait la connaissance, il y a deux ans, de José, un bel hidalgo qui m’a proposé de venir passer une semaine chez lui en Espagne, il voulait améliorer son français…
Il est venu me chercher à l’aéroport. Très beau mec, masculin, viril, charmant, un visage ouvert et rassurant. Le courant est tout de suite passé entre nous malgré la barrière de la langue.
Cela fait maintenant quelques jours que je suis chez lui. Je passe de merveilleux moments en sa compagnie. Et pourtant je n’arrive pas à le cerner.
C’est un mec génial, attentionné, intéressant, cultivé. Comme la plupart des espagnols, il a le sens de l’hospitalité. Il se met en quatre pour rendre mon séjour agréable. Il prépare de délicieux repas et me fait découvrir les spécialités de son pays. Il est passionné par sa région et tient à me faire partager sa passion. Il est sportif, dynamique et nous pratiquons de nombreuses activités.
Au lit, c’est un amant hors pair et il sait se montrer très tendre. Physiquement il est doté de beaux atouts qu’il utilise à bon escient, ce qui lui permet d’assurer le bonheur de son partenaire. Il me donne un max de plaisir et nous faisons beaucoup l’amour. Il est insatiable et me féconde plusieurs fois par jour, ce qui n’est pas pour me déplaire. Je dirais qu’il excelle pour développer et donner du sens à mon mental de femelle.
Mais, parce qu’il y a un mais, José ne sait pas se fixer de limites dans sa sexualité. Il arrive parfois qu’il ne parvient pas à contenir sa virilité. Il se laisse alors déborder par un excès de domination et de violence en réduisant son partenaire à un objet sexuel.
C’est ce qui s’est passé à plusieurs reprises depuis mon arrivée. José perd alors tout contrôle, faisant acte de force, voire de torture. Plus de tendresse ni de sentiment, remplacés par des gifles, des crachats, des insultes en espagnol, obscènes et incompréhensibles pour moi à part PUTA !
Devant cette violence et afin d’éviter d’être massacré, je n’ai d’autres choix que de me résigner et de collaborer.
Le dernier épisode en date s’est déroulé avant-hier. Lors d’une randonnée, José m’a entrainé par surprise, sur un lieu de drague. Sans mon accord, il m’a démonté en public, autorisant, incitant plutôt les mecs autour, à utiliser ma bouche et à se déverser dans ma gorge ou sur mon visage. Comme si cela ne suffisait pas, je lui ai ensuite servi d’urinoir. Il m’a forcé à avaler sa pisse. Evidemment les mecs présents ne se sont pas fait prier pour l’imiter. Mes tentatives de riposte ont été vaines et se sont soldées par des mandales… J’étais sous le choc !
Depuis cet épisode, José est charmant et attentionné, aussi bien dans l’intimité que dans la vie quotidienne… Voilà pourquoi j’ai beaucoup de mal à le cerner. En même temps, je relativise car je ne suis là que pour une semaine et le temps passe si vite. Je suis du style à profiter de la vie !
Nous continuons à sillonner la région. Hier nous avons visité une ville qui se situe à une centaine de kilomètres dans les terres. La journée était parfaite et encore une fois José m’a impressionné par sa culture et son envie de la partager. Il ne lui est pas facile de s’exprimer en français mais il progresse de jour en jour.
J’en suis maintenant à la moitié de mon séjour et José qui possède une maison à la montagne, me propose d’aller y passer quelques jours avant que je reparte en France. Il souhaite me montrer cet endroit qui lui tient à cœur. Il m’explique qu’il préfère la tranquillité et les grands espaces.
Nous partons aujourd’hui.
Nous préparons nos affaires. Peu avant le départ José m’appelle pour me montrer une photo sur son smartphone. C’est une photo de Javier, un de ses amis. Il me demande s’il me plait. Je trouve la question un peu surprenante, mais je lui réponds que c’est un beau mec. Car c’est le cas, il a pas mal de points communs avec José d’ailleurs, mature comme lui, très masculin et viril aussi, un visage qui dégage également beaucoup de charme mais en revanche très fermé. José me répond que ça tombe bien car je lui plais aussi. Devant mon étonnement, il me dit lui avoir envoyé une des nombreuses photos qu’il a prise de moi. Puis il me montre une deuxième photo de Javier à poils. Encore une fois, beaucoup de similitudes avec José, corps massif, bien dessiné, du poil partout, queue impressionnante. Je siffle d’approbation bien que je sois surpris qu’il me montre cette photo. Ma surprise va crescendo quand il me demande de me déshabiller. Il veut envoyer une photo de moi nu à Javier. Préférant ne pas le contrarier, je me désape et prend la pose mais c’est mon cul qu’il photographie !
Nous prenons la route. Pendant le voyage, José me reparle de Javier. C’est un ami de longue date, ils ont bossé ensemble autrefois et gardent un lien d’amitié très fort. Javier est marié et père de famille. Je demande alors à José pourquoi il a une photo de Javier nu. Il m’explique que la femme de Javier a eu un accident grave il y a quelques années et que depuis ils ne peuvent plus avoir de relations sexuelles. Il y a ensuite un blanc… José semble mal à l’aise… Il me dit enfin que Javier a de gros besoins sexuels mais qu’il ne veut pas tromper sa femme. Il pense qu’en baisant des mecs, il ne la trompe pas… Je demande alors à José s’ils baisent ensemble, ce qui expliquerait la photo. Il est mort de rire et me dit que Javier ne baise que des femelles comme moi, et qu’il aide son ami en lui proposant ses conquêtes. Il me demande si j’accepte de l’aider ? Je suis stupéfait par cette question… Il est vrai que dans l’absolu, Javier a de beaux arguments mais la démarche est singulière. D’un autre côté, si je refuse, je m’expose peut-être encore à la colère, voir la violence de José. Et puis je ferai ma BA ! J’accepte.
José dit que ça tombe bien car Javier n’habite pas loin et que nous n’allons pas tarder à arriver au lieu de rendez-vous… Tiens donc ! Et si j’avais refusé ? Il me demande d’être gentil avec Javier et de me laisser faire. Devant mon interrogation, il m’explique que Javier est hétéro, qu’il ne s’agit pour lui que d’un acte hygiénique et qu’il va probablement me considérer comme une PUTA ! Je pense que je suis déjà à bonne école, mais je préfère me taire…
Nous sortons de la route principale pour emprunter des routes secondaires, puis un chemin de terre aboutissant à un parking en pleine campagne. Il y a juste un véhicule sur ce parking. A notre approche, un homme en sort. C’est Javier, je le reconnais. Il est impressionnant, beaucoup plus grand que je me l’imaginais, très balaise aussi. Comme José il émane de lui une virilité intense. La différence est dans l’expression de son visage grave et fermé qui lui donne un coté menaçant mais extrêmement sexy. Il porte un polo qui dévoile ses puissants bras poilus et dessine ses pectoraux et ses tétons. Il porte aussi un jogging et là, le paquet est énorme ! On pourrait croire que son entrejambe est animé car ça remue dans tous les sens dès qu’il bouge. En revanche la poutre transversale est fixe et insolente. J’espère qu’il bande déjà car s’il est au repos, je vais morfler grave…
José et Javier se serrent dans les bras. Javier est effectivement plus grand que José. Ils sont heureux de se voir et entament une longue discussion, dont je ne comprends pas un traître mot. Je retourne m’asseoir dans le van de José. Javier n’a pas eu un seul regard pour moi…
A un moment j’ai l’impression qu’ils me calculent enfin car ils me regardent et le mot PUTA est prononcé plusieurs fois. José rentre alors à l’arrière du van et je vois qu’il déplace les sièges, qui sont amovibles, pour en faire un lit. Il dispose aussi des serviettes sur la couchette. Il m’avait dit qu’il avait acheté ce véhicule pour faire du tourisme. Je pense qu’il doit aussi lui servir à autre chose… Les vitres sont entièrement teintées donc aucun risque d’être vu de l’extérieur. Après nous avoir préparé notre lupanar, José chausse ses chaussures de randonnée. Il m’explique qu’il y a une jolie randonnée à faire dans le coin et il s’en va.
Javier verrouille son véhicule, monte à l’arrière du van. Avec une expression dure, presque haineuse, il me fait signe de le rejoindre. Dans son briefing, José m’avait prévenu que Javier ne parle pas un mot de français. Je passe de l’avant à l’arrière. Javier se déshabille, j’en fais autant. Son corps est magnifique, que du muscle et du poil, avec la démarcation comme j’aime sur les biceps et à mi-cuisse. Sa queue majestueuse, un long tuyau d’un bon diamètre, ne réussit pas à cacher entièrement ses boules lourdes et pendantes. Les stocks doivent être au maximum ! Il s’allonge sur le lit et me fait signe d’approcher. Je m’allonge entre ses jambes, je prends sa poutre entre mes mains. Elle est juste demi-molle mais avoisine déjà les 20 cm.
Je le branle doucement quand je l’entends gueuler. Il a l’air menaçant et me fait peur. Il me prend la tête pour l’avancer sur sa queue. J’ai compris, j’ouvre la bouche et j’engloutis sa queue encore un peu molle. J’adore sentir une queue durcir dans ma bouche. Tu te dis qu’au moins tu fais du bon boulot… Et c’est ce qui se passe, je sens le monstre durcir. C’est difficile de le garder en bouche. Javier a compris, il m’attrape la tête pour me la maintenir sur sa queue et commence des vas et vient. J’ai du mal à l’avaler en entier et je commence à baver grave. Javier me gifle, ça ne lui convient pas. Il me fait signe de m’allonger sur le dos et cale sa queue dans ma bouche. C’est reparti mais là c’est lui qui dirige la manœuvre. Il me baise la gorge violemment, je m’étouffe avec son morceau mais aussi avec ma bave que j’ai du mal à expulser. Javier me claque sans arrêt le visage. Il ressort juste pour me cracher dans la bouche et reprend sa baise buccale avec acharnement. Sa queue ne rentre pas entièrement même si je la sens tout au fond de ma gorge. J’espère juste que mes lèvres ne vont pas se déchirer aux commissures. Tout ça dure une éternité, je commence à avoir des hauts le cœur, je pense que je vais gerber. Les serviettes sont trempées avec toute la bave que j’expulse...
Au bout d’un moment, il pivote et s’assoit carrément sur mon visage. J’ai son cul sur ma bouche, enfin surtout ses poils qui me chatouille le nez car il est noir de poils. Je l’entends gueuler. Je comprends que je dois le lécher. Je m’applique à lui bouffer le cul, c’est difficile avec les poils mais je parviens à rentrer ma langue au plus loin. Il se tait, ça doit lui plaire. Je me dis que c’est le comble, je lui bouffe le cul alors que c’est le mien qui aurait besoin d’être préparé ! Il a dû comprendre mes pensées car il bouge et commence à me relever les jambes. Je suis content d’avoir pris mon flacon de gel car même si José m’a copieusement fécondé ce matin et que j’ai tout gardé, j’ai intérêt à me préparer la chatte ! Javier accepte d’ailleurs que je lubrifie aussi sa batte de base-ball… Elle est surdimensionnée. A tel point que pour gérer la pénétration, je préfère m’asseoir dessus car je sais par expérience, que c’est plus facile, en tout cas pour moi. Javier accepte de s’allonger sur le dos. Je me positionne sur lui, de dos pour éviter de croiser son regard car il est trop dédaigneux. Son gland est encore plus large que sa queue, c’est compliqué… Je suis obligé de remettre du gel. Javier commence à gueuler. Il me tire les seins avec violence, ce qui réactive les douleurs dues à leur massacre par José. Ouf je sens que je m’ouvre enfin… Malheureusement Javier a dû le sentir aussi car il lâche mes seins pour m’appuyer sur les épaules, ce qui me fait descendre d’un coup jusqu’à ce que sa queue bute au fond de mon trou. Je crie de douleur. Je reste un bon moment sans bouger. Javier reprend mes tétons en main, je démarre alors mon chevauchement. Ce n’est pas assez rapide pour Javier, il me pivote contre son torse en prenant mes fesses à pleines mains pour me soulever à un rythme plus soutenu. Et là je dérouille, c’est très rapide mais j’avoue qu’il s’y prend bien et de se retrouver dans cette position totalement ouverte me procure un bonheur intense !
J’ai bien conscience qu’il ne rentre pas entièrement sa queue. Lui aussi, je pense… Alors il me bascule vers l’avant, je me retrouve à quatre pattes et là il me défonce malgré mes cris. Il me tire sur les seins, me claque les fesses, m’insulte de PUTA. Il relève mon cul et me monte comme une chienne. Il va encore plus loin. La douleur est intense mais le plaisir aussi. Ses grosses couilles tapent contre les miennes à chaque coup de boutoir. Javier est très endurant. Je pensais qu’il m’aurait rempli assez vite compte tenu de son abstinence mais cela dure…
Il gueule de plus en plus fort et puis plus rien. Et là je sens un geyser au fond de mon cul. Il m’inonde les boyaux. Cela me provoque un orgasme si puissant que j’envoie ma sauce gicler sur les sièges. Il n’a pas fini de m’ensemencer qu’il ressort. Je sens ma chatte qui dégueule son foutre le long de mes cuisses pendant qu’il enfourne sa queue encore dégoulinante et dressée dans ma bouche. Je commence mon nettoyage mais ce n’est pas ce qu’il veut. Il recommence à me baiser la bouche puis rapidement s’arrête et là je sens ma bouche se remplir de son jus, il me remplit le gosier après la chatte, les jets n’en finissent pas. Plusieurs semaines de semence s’écoulent en moi et je n’en perds pas une goutte…
Une fois ses couilles entièrement vidées et sa queue nettoyée, Javier s’extraie de ma bouche, me la maintient ouverte pour la mollarder, m’envoie deux bonnes baffes, enfile son boxer puis ouvre la porte et s’extirpe dehors pour s’habiller. Par la porte restée ouverte, je vois José qui attend assis à l’ombre d’un arbre Je regarde l’heure. Le plan a duré plus de deux heures. Ils échangent en espagnol. J’entends des rires et des PUTA, ils parlent donc de moi. Pendant ce temps, je me rhabille et je nettoie tout, juste avant que José ne rentre remettre les sièges en place, non sans se plaindre de l’odeur de foutre.
Une voiture démarre, Javier repart déjà. Il ouvre sa fenêtre pour échanger une dernière fois avec José puis il s’en va, sans un mot ni un geste pour moi.
Nous repartons à notre tour. José reste silencieux…
Ma mission est réalisée, j’ai donné beaucoup de plaisir à Javier même s’il ne le reconnaîtra jamais. Je ne me serai pas cru capable de satisfaire un tel étalon, me donner autant, dans la durée et avec une telle intensité. Une chance que José m’ait formaté. Depuis plusieurs jours, sinon je pense que ça n’aurait pas été possible. Je mentirais si je disais que je n’ai pas ressenti un plaisir jamais ressenti jusque-là. Mais ils n’ont peut-être pas tort, je dois être une PUTA. Certes il n’y a pas eu d’échange d’argent, mais la soumission et l’asservissement sont là et je suis devenu un objet sexuel…
Que me réserve encore José, je m’attends à tout !
A suivre…
Si mon récit vous plait, n’hésitez pas à m’envoyer vos encouragements ou vos commentaires !
A bientôt
Louis
cire35@outlook.fr
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