Bonjour, je m’appelle Louis. Je vais vous raconter une histoire vraie qui m’est arrivée en Espagne il y a deux ans.
Je suis un petit mec d’1m68, viril, bien foutu malgré ma cinquantaine, brun, pilosité normale, mais assez abondante à partir du pubis, le cul et les jambes poilus. Mince et sportif, je dispose d’un corps bien dessiné avec une musculature fine, merci la natation.
Ancien hétéro, j’ai fini par basculer du côté sombre, sans aucun regret… Dame nature ayant très généreuse avec moi, j’ai une queue de 20 cm avec une trique d’enfer. En conséquence j’ai longtemps été actif et heureux de faire couiner les nanas d’abord puis les mecs ensuite.
Un jour je suis tombé amoureux d’un autre actif. Avec bien du mal, mais par amour j’ai fini par me donner à lui et ce fut une véritable révélation. J’appréciais de plus en plus mon nouveau rôle de femelle, mon mec ne se privant pas de me féconder plusieurs fois par jour, j’avais l’impression d’être rempli en permanence. Malheureusement les belles histoires ne durent jamais…
Justement au sortir de celle-là, comme tout un chacun, je me suis retrouvé sur des sites et des applis de rencontre. Cela m’a permis de confirmer ma nouvelle nature, en rencontrant des mecs actifs qui adorent me baiser. Étant calibré petit gabarit, j’attire plutôt des mecs balaises, masculins et souvent bien montés. Je rattrapais donc le retard et ma chatte, bien que très serrée, commençait à se formater.
Un jour j’ai commencé à converser avec un espagnol José. Je ne parle pas espagnol alors nous parlions en français, mais son niveau était vraiment faible. Qu’à cela ne tienne, il m’a invité chez lui en Espagne pour une semaine, afin que je le fasse progresser en français. Comme le courant passait bien entre nous et que je pensais qu’il y avait peut-être une belle histoire à la clé, j’acceptais avec plaisir, d’autant qu’il n’était pas mal et que j’étais disponible, car c’était une période de ma vie où j’étais justement entre deux activités. J’ai donc pris mon billet d’avion.
Mon bel hidalgo est venu m’attendre à l’aéroport dans son beau van noir et je dois avouer que j’ai tout de suite flashé. C’était un bel homme brun, barbu, bronzé, pas très grand, mais trapu, très masculin, un peu plus âgé que moi, avec un très beau sourire et un visage ouvert. Le trajet pour m’emmener dans son appartement sur la côte a duré longtemps, mais le contact s’est tout de suite bien passé. Il était tard quand nous sommes arrivés, il m’a proposé de dîner, mais j’avais déjà mangé dans l’avion et j’étais un peu fatigué. Il a alors proposé d’aller nous coucher. Il y avait plusieurs chambres, je m’attendais à ce qu’il me conduise dans une chambre d’ami. Pas du tout, il m’a emmené dans sa chambre en me montrant son lit, tout cela dans un français approximatif, tout en commençant à se déshabiller.
J’étais un peu surpris, car nous n’avions encore échangé aucun baiser ni même aucun contact physique. Je ne pensais pas à un plan q direct compte tenu du ressenti que j’avais eu au travers de nos précédents échanges.
Cela dit, je n’allais pas faire la fine bouche, d’autant que comme il se désapait, je pouvais voir qu’il y avait du potentiel… le bel espagnol était très bien foutu, musclé et très poilu. Il s’est mis entièrement nu et j’ai pu mater sa queue très belle et longue même au repos et ses couilles pendantes au point qu’elles dépassaient sa queue, pourtant longue.
Je me suis donc mis à poils aussi et m’allongeais à côté de lui, ne sachant pas trop quelle attitude adopter… rapprochement ou pas ?
J’ai vite eu la réponse à ma question, car il s’est carrément couché sur moi en emprisonnant ma bouche dans un long baiser vorace. J’étais carrément surpris, car bien que très agréable, je ressentais dans ce baiser une certaine violence, d’autant qu’il avait déjà pris en main mes tétons en les torturant direct. Je savais bien entendu qu’il était actif, nous l’avions évoqué, mais je commençais à me demander s’il n’était pas dominateur. En tout cas j’étais sûr de lui plaire, car je sentais sa matraque déjà bien raide qu’il frottait sur mon ventre.
Il s’est redressé d’un coup et a remplacé sa bouche par sa queue. Toujours surpris j’ai ouvert la bouche machinalement pour l’introduire et il s’est rué directement au fond de ma gorge. Son manche était énorme. J’ai eu beaucoup de mal à le rentrer en entier bien qu’il forçait un max. Voyant cela, il a commencé à me gifler le visage et me boucher le nez. Au bout d’un moment, il s’est enfin calmé, je ne pouvais plus respirer et déglutissais à peine, j’ai eu peur qu’il m’étouffe. Alors il a commencé des vas et viens, ce qui m’a permis avec ma production de salive, de reprendre un semblant de souffle. Il semblait apprécier et a accéléré le rythme. L’atmosphère s’est détendue et il parlait doucement en espagnol, les mots qui revenaient le plus étaient PUTA, pas difficile d’en comprendre le sens, buena humbra… (bonne femelle), gentil….
J’étais toujours sur le dos et lui à califourchon, sa queue plantée dans ma bouche. J’avais fini par m’accoutumer et commençais même à apprécier. De plus j’avais ses couilles pendantes qui me frappaient le menton, ce n’était pas désagréable. Mais pour lui ce ne devait pas être confortable et surtout il n’avait pas assez de puissance d’attaque. Alors toujours en position couchée sur le dos, il m’a déplacé dans l’autre sens du lit, la tête basculée dans le vide.
Debout au bord du lit, bien campé sur ses jambes épaisses et musculeuses, il s’est à nouveau rué dans ma bouche, mais encore plus profondément. Et à peine dedans, il a commencé à me défoncer. De la bave sortait de ma bouche à grands flots et coulait dans mes yeux, je suffoquais, mes yeux me piquaient et le comble, c’est que ses mains libres me massacraient les seins, les pinçant et les tirant comme un fou. J’aurais hurlé si ma bouche n’avait pas été remplie, mais aucun son n’en sortait. Je ne sais combien de temps il est resté ainsi en moi à m’exploser la gorge, c’était interminable, je priais pour qu’il crache sa semence au plus vite en me demandant comment j’allais pouvoir recevoir son jus aussi profondément dans la gorge.
Un moment, il a commencé à me caresser la gorge, à l’endroit où son gland butait. Il devait voir sa queue se déplacer dans ma gorge. Je pense que ça a dû trop l’exciter, car il a fini par s’immobiliser au plus profond de ma gorge et quand il a commencé à crier, j’ai compris que ma récompense était enfin arrivée… une avalanche de foutre a déferlé dans ma gorge.
Il a lui-même été surpris par sa jouissance, car il est resté un long moment calé au fond de ma gorge, abasourdi. Heureusement sa queue dégonflait et il a quand même fini par s’extraire, m’a donné deux baffes au passage et m’a demandé de lui nettoyer le gland. Je me suis exécuté tout en reprenant mon souffle.
J’étais halluciné par la violence de cette fellation, son côté bestial, l’assouvissement total et subi. Je n’étais qu’un objet et on ne m’avait encore jamais utilisé de la sorte. En temps normal, c’est-à-dire avec un français, je me serai révolté, mais là c’était peine perdue, car il ne comprenait pas suffisamment le français. Cela n’a malheureusement pas joué en ma faveur pour la suite des évènements, car sans protestation, José a naturellement pensé que j’étais comblé.
Évidemment je n’avais pas joui même si ma queue déjà balèse était surdimensionnée par l’excitation et le jus qui n’était pas loin de gicler. Mais à aucun moment il ne l’avait touchée. Son seul geste de tendresse a été d’aller chercher un tube de pommade qu’il a utilisé pour enduire délicatement mes tétons rouge violacé. Ils avaient triplé de volume en quelques heures.
Puis Il m’a fait comprendre qu’il était fatigué, m’a demandé de nettoyer les flaques de bave et de salive qui s’étaient déversées sur le sol et s’est couché sans se préoccuper de ma jouissance. En quelques secondes il dormait.
Je me suis allongé à ses côtés. Je tentais de trouver à mon tour le sommeil, mais mes seins me faisaient horriblement souffrir malgré la pommade. J’avais les mâchoires, mais surtout la gorge très douloureuse, l’impression d’avoir une grosse angine. Évidemment je ne trouvais pas le sommeil et me posais beaucoup de questions. J’étais venu pour éventuellement rencontrer mon nouveau chéri, et oui je suis fleur bleue, aujourd’hui c’est un peu désuet, je sais… Résultat, je me retrouvais face à un prédateur, certes charmant, mais qui visiblement ne pensait qu’à assouvir ses instincts basiques de mâle avec moi.
La réalité était en réalité que j’avais la cruelle sensation d’être devenu une PUTA, sa PUTA !
Louis
cire35@outlook.fr
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