Le mystérieux amant

Le mystérieux amant | 11

Je me réveille après une excellente nuit.
Immédiatement je sens ses bras musclés autour de moi. Sa main me caresse le ventre, ses doigts jouant avec mon nombril.

J'ouvre les yeux, il est 11h passé sir le cadran du réveil.
Je dandine du cul et lui caresse la main pour lui montré que je suis réveiller.
Lui : "bonjour mon bébé, bien dormi ?"
Il me fait un bisou dans le cou.
Moi : "oui... J'ai envie de te faire un câlin, mais mon bandeau est dans la poche de mon jean."
Lui : "attend !"

Il se décolle de moi. Je frissonne. Il ne fait pourtant pas froid.
Je comprends que j'ai absolument pas envie de le quitter.
Il se tourne en fait vers la table de chevet de son côté puis revient contre moi.
Je vois un bandeau rose me passer devant les yeux.
Il me l'attache derrière la tête.
Moi : "tu aimes bien le rose..."
Lui : "il paraît que je suis ton prince charmant... Dans ce cas tu es ma princesse."
Il finit de l'attacher.
Je me tourne vers lui et il m'embrasse.
Moi : "donc princesse égale rose ? C'est sexiste ça !"
Lui : "et si je dis que c'est parce que tu es ma rose ?"
Il m'embrasse de nouveau.
Ma main parcourt ses pectoraux, les lignes de ses abdos, et rencontre son penis.
Je le saisis et commence à le branler.
Lui : "tu ne devrais pas faire ça..."
Moi : "ça quoi ?"
Lui : "me chauffer ! J'ai une grosse libido et j'ai pas envie de te faire du mal..."
Moi : "je peux te confier un secret ?"
Lui : "bien sûr"

Je pose sa main sur ma fesse.
Moi, rougissant : "j'ai eu un peu mal hier... Mais peut-être parce que c'était toi je... J'ai adoré ça."
Son doigt caresse ma fleur. Je gémis, elle est encore douloureuse.
Lui : "si je m'emporte ce matin, je vais te casser le cul... T'es encore hyper sensible."
Le pire c'est qu'il a raison. J'avais pas besoin de son doigt pour ressentir la douleur.
...
Mais j'ai tellement envie de lui.
Il m'embrasse.
Je serre sa queue un peu plus fort.
Sa main presse ma fesse, il glisse une phalange dans ma fleur. Je gémis.

Je descends en lui faisant des bisous.
J'arrive à hauteur de son sexe et gobe le gland.
Lui : "s'il te plaît, arrête."
Je ne peux pas.
Je continue, je leche sa hampe, tente d'en mettre un maximum en bouche.

Sa main attrape mes cheveux et le redresse avec force.
Il me jette sur le dos et vient sur moi.
Je sens un liquide couler sur ma fleur.
Il se pose sur moi, le gland à l'entrée de la grotte.
Il me mordille l'oreille.
Lui : "tu es fou de vouloir réveiller la bête..."
Moi : "non, juste accro et amoureux."

Il m'embrasse et perce ma fleur.
Je hurle, je ne m'attendais pas à une telle douleur.
Ses lèvres ne suffisent pas à garder les miennes closes.
Il se cale au fond et s'arrête.
J'ai les larmes aux yeux. Ça doit se voir avec le bandeau rose car il change tout de suite de ton.
Lui, me caressant tendrement le visage : "ça va mon bébé ?"
Moi : "oui, c'est juste le frottement qui est douloureux."
Il m'embrasse dans le cou sans bouger son bassin.
Lui : "tu veux qu'on arrête ?"
Moi : "non, reste comme ça."
Il m'embrasse.
Je ne sais pas combien de temps on reste comme ça l'un dans l'autre.
Au bout d'un temps aussi interminable que merveilleux, il sort sa queue, badigeonne ma fleur de lubrifiant puis revient.
La douleur est toujours là, mais un peu plus supportable.

Tout en me serrant contre le matelas, il entame des va-et-vient très lent mais très ample.
Je gémis encore pour la douleur, mais je lâche un cri de plaisir chaque fois que je sens ses couilles s'écraser sur mes fesses.

Il accélère un peu. Je sens une vague de chaleur dans mon bas ventre.
Je perds le contrôle de mon corps. J'attrape le draps d'une main, il me plaque l'autre à côté de ma tête.
Il écrase mes fesses à chaque passage, et à chaque passage le feu dans mon ventre grandit.

À présent je gémis au rythme de ses coups de hanches.
La douleur n'a pas disparu, je l'ai juste oublié, submerger par le flot de plaisir.
Je suis spectateur de la scène, je ne gère plus rien.

Ma fleur mouille abondamment, lui me sert si fort que j'ai du mal à reprendre mon souffle. Il me laboure le cul, il est tout autant en transe que moi.
Mes gémissements se transforment en cris.
La main qui tenait la mienne vient se plaquer sur ma bouche et il accélère encore.

Soudain il se redresse, relève mes jambes au max et posé ses bras de part et d'autre de mon corps. Il donne une dizaine de coups de reins, m'arrachant des cris à chaque fois.
Je sens qu'il me remplit.

Il revient contre moi, essoufflé.
Lui : "mon dieu Cali ! Je t'aime !"
Moi : "c'est toi mon dieu... Han... Doucement en sortant..."

Il sort en douceur et me couvre de bisous.
Je sens une grosse quantité de jus couler dans ma raie. J'ai tellement de lui en moi !
Je le sers fort dans mes bras et l'embrasse.

Mes mains caressent son crâne. Il est rasé. Je me rends compte que je n'avais jamais touché le haut de son crâne avant.
Moi : "le vigil !!!"
Lui : "quoi le vigil ?"
Moi : "tu es le beau gosse au crâne rasé qui fait parti de la sécu !!!"
Lui : "ah ah ! Va falloir être plus précis, yen a un paquet qui correspondent à ta description...
Juste une question : si tu trouve ce mec beau gosse, pourquoi tu n'es jamais allé le voir ?"
Moi : "imagine il est hétéro et va raconter aux autres que je l'ai dragué... J'évite au travail, surtout si je ne connais pas la personne."
Lui : "ben tente le coups, tu verras bien si c'est moi..."

J'enrage, il est malin. Même si je suis sûr à 90% que c'est lui, je ne peux pas encore me permettre de tenter ma chance, surtout avec le patron qui m'a dans le collimateur.

Je me blottis dans ses bras. Il est prévu que je parte en fin d'après midi, je tiens à profiter au maximum de mon prince charmant.