Premier épisode
Chapitre 4
On est posés avec Manu. Plein de foutre et de sueur. En temps normal je me serais jeté sous la douche, mais j’ai pas du tout envie de bouger.
« Tu dors avec moi ? » me demande Manu.
« Carrément. J’envoie un texto à ma nana »
Penser à Emmanuelle me fait soudain réaliser que je l’ai vraiment trompée ce soir. C’était pas un simple coup de queue. C’était tellement plus. Est-ce que je vais encore arriver à continuer ma vie avec elle après ça ? Parce qu’une chose est sûre : j’aime la bite, en tout cas celle de mon pote, et je pourrai plus m’en passer.
Je reçois un texto:« J’en étais sûre. Tu fais n’importe quoi chaque fois que t’es avec ton pote de toute façon. Vous finirez ensemble, comme des pédés »
Si elle savait....
« Tout va bien ? Elle est pas trop furax ? »
« Tu sais quoi ? Je m’en tape complètement. Je me rends compte de plein de trucs là, et ça sent pas super bon pour elle pour le coup. D’ailleurs en parlant de pas sentir bon.... ça fait quelques heures qu’on baise, et on a un entraînement dans les pattes: faudrait peut-être aller se doucher non ? »
Je remarque que le bout de son gland est légèrement coloré ( une première fois, non préparée....)
« T’as raison . Faut au moins que je me lave la queue. Parce que je t’annonce un truc :t’as pas fini de la sucer cette nuit. Et puis faut que je t’explique deux trois trucs pour se préparer avant de se faire mettre mon beau »
« Je suis désolé » je réponds, rouge de honte « mais t’inquiète, je sais ce qu’il faut faire, j’ai eu une meuf qui adorait ça par le cul. Elle m’a expliqué comment se nettoyer avant »
« Je te chambre mon beau, comme tu dis, tu étais pas préparé, ça s’est fait dans le feu de l’action. Et je regrette pas une seconde »
Son regard brille . Je vois qu’il va pas tarder à me sauter dessus.
« J’y vais en premier » je lui dis. Je le vois déçu. Il voulait probablement qu’on se douche ensemble.
« Je préfère avoir un peu d’intimité pour me préparer justement » . Malgré toute mon envie de lui, je me vois pas me faire un lavement, mon premier de surcroît, avec mon meilleur pote à côté.
«Mais on peut faire un truc, je t’appelle quand tu peux me rejoindre et on finit la douche ensemble, ok? »
« Ça marche, file te laver le conduit, tu vas encore prendre toute la nuit »
Heureusement qu’on bosse pas demain, parce que je pense pas qu’on dorme des masses effectivement. Et il est déjà une heure du mat.
Il me fout sa langue dans la bouche, et commence à m’attraper le chibre, mais je me dégage. C’est pour son (notre) bien.
Une fois dans la douche, je me rends compte que mes connaissances théoriques ne suffiront pas, et je fais une rapide recherche sur mon téléphone ( god bless the smartphones) . Je me sens con à regarder des tutos comme ça... et je réfléchis à tout ce qui vient de se passer. Comment j’ai pu devenir pédé en une soirée ? Mais si je suis honnête avec moi même, je dois bien avouer que ça me taraudait depuis un moment en fait. Depuis nos branlettes d’ados avec Manu. J’ai toujours admiré sa queue, son corps. J’ai toujours regardé sa bouche en m’imaginant l’embrasser, sans vraiment m’en rendre compte. Et même au foot, avec les autres gars. Ce besoin de contact avec les autres mecs, les mains au cul, les chocs, l’odeur des vestiaires.... comment j’ai pu me mentir toute ma vie comme ça ?
Ça y est, l’eau coule enfin claire. Je suis prêt pour me faire de nouveau sauter par mon espagnol. Et toutes les pensées sur les contacts du foot m’ont mis la teub à la verticale.
« Hé l’hidalgo ! Vient à la douche ! Je te sens puer d’ici ! »
« Et ça t’excite petit pédé hein ? »
« Viens vérifier! »
Il arrive. Effectivement, il pue. Et effectivement, ça m’excite.
« Quel dommage que tu te sois lavé. J’adorais ton odeur de mec »me susurre t il a l’oreille en me retournant et en pointant sa queue direct sur mon trou. On est sous la douche, l’eau nous coule dessus, et il m’embroche direct.
« Aïe ! Calmos mon beau. Tu te rappelles que j’étais puceau avant ce soir ? »
« Excuse moi. T’as un cul tellement parfait qu’on a envie de te violer »
Il reste au fond, pour me laisser m’habituer à son membre.
« T’es le plus beau du monde mon Philippe. J’ai envie de passer ma vie dans ton trou. J’aimerais te faire des bébés si c’était possible. T’engrosser avec tout le jus de mes couilles . »
Il commence à bouger. Mais pas beaucoup. Il est doux, comme tout à l’heure, mais comme tout à l’heure, je sais que ça va pas durer et qu’il va finir par me défoncer. Je tends mes muscles pour me préparer à la saillie , dans un mélange d’appréhension et d’envie. J’ai aimé qu’il me défonce. Même si j’ai un peu peur d’avoir mal.
« Attends. Je t’avais promis un truc en fait » me dit il en retirant son chibre, me laissant un vide insupportable dans le cul.
Il prend ma place contre le mur.
« Tu veux pas que je te laisse te préparer ? »
« Tu sais quoi ? C’est déjà fait »
« Quoi ?mais quand...? »
« Plus tard. Arrête de réfléchir. Je te l’ai déjà dit . »
Je me mets derrière lui et essaie de le pénétrer, mais je suis un peu trop grand pour que ça soit confortable.
« Viens, on va sur mon lit »
On se galoche tout le chemin. Il est à peine lavé, et sent encore un peu son odeur de rut. Ma queue me fait mal tellement je bande. Arrivés dans sa chambre, il se met à quatre pattes sur le lit, offert. Son cul est sublime. Toute sa masculinité est dans ses muscles fessiers, son dos parfait, ses poils. Je vais baiser l’homme parfait. Il se doigte un peu le trou avec du gel, et me dit « baise moi mon Philippe. Fort »
« Je veux pas te faire mal mon beau »
« C’est vrai que j’en ai jamais pris d’aussi grosse, mais j’en crève d’envie »
« Quoi??? »
Décidément cette soirée me réserve bien des surprises.
« Plus tard je t’ai dit . Sert toi plus de ta queue et moins de ta tête »
Faut pas qu’il s’inquiète là dessus. Ma queue est archi-prête.
Je l´enfourne dans son trou du cul. C’est la meilleure sensation de ma vie. Calé au fond du cul de la personne que j’aime le plus au monde.
Il halète comme un animal blessé. Putain que c’est beau.
« Arrête de réfléchir » me répète t il en bougeant son cul pour s’enculer tout seul sur mon manche.
Putain ça aussi c’est beau : voir mon chibre coulisser dans ce cul si parfait, si masculin. Je commence à taper, fort, et ça le fait gueuler. Mais à aucun moment j’ai l’impression de lui faire mal. Au contraire. On dirait qu’il mouille du cul. Je savais pas que c’était possible.
« Je te baise. Je te baise. Je te baise » lui dis je à chaque coup de bite, comme pour me le faire réaliser à moi même.
« Encule moi mon beau. Donne moi toute ta bite. Putain que j’aime ton chibre ! T’es énorme. Tu m’écartèles . Je suis complètement à toi maintenant. Tu sens comment je mouille sur ta queue ? Je marque mon territoire. Elle est à moi ta queue. Je la veux, pour toujours »
« Moi aussi je vais te marquer bébé. Tu vas te faire remplir par ton homme. Je vais t’engrosser. Putain! JE GICLE !!!! »
Je lui balance tout ce qui me restait dans les couilles. Et effectivement, j’ai l’impression de marquer mon territoire. Il m’appartient. Comme moi je lui appartient.
Je tombe sur le lit, essoufflé. Mais il n’en a pas fini avec moi. Sa queue est toujours raide et il a besoin de cracher son jus. Il se place au dessus de moi, et je m’apprête à lui gober la teub, mais il avance encore et s’assoit sur ma bouche en se branlant.
« Bouffe moi le trou. Nettoie ton sperme avec ta langue bébé. »
J’ai ses énormes couilles suintantes sur le nez. Ma langue fouille son trou plein de mon foutre. Sa sueur de mâle me dégouline dessus et je m’enivre de ses phéromones qui me rendent fou depuis le début de la soirée.
« Continue bébé. Fais moi l’amour avec ta langue. Embrasse moi à l’intérieur. Je vais te rendre toute la testostérone que tu m’as donné. »
Il bouge un peu et place son gland contre ma langue pour me gicler dans la bouche.
« T’aimes être nourri par ton homme bébé ? Oui c’est ça, c’est bien. Tète la queue du mâle. Viens chercher le jus d’homme. »
Pour la première fois de ma vie, je goute un autre sperme que le mien. Je pourrai plus jamais m’en passer.
Teddy
gnacracfrac@gmail.com
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