Chapitre-1 | Hétéro de plus en plus curieux
Je m’appelle Jean François , ou Jef pour les intimes. 39 ans, marié à une super nana, mon premier amour, Géraldine, et père d’un petit gars de 5 ans.
Géraldine et moi on se connaît depuis qu’on a 16 ans, depuis le lycée, on a fait nos études ensemble, on travaille tous les deux dans la même boîte. On s’entend bien. On ne se dispute même jamais. C’est quelqu’un que j’aime profondément, la mère de mon gamin, la femme de ma vie, réellement. Elle est belle, et l’a toujours été. On a découvert le sexe ensemble, et on s’est éclaté au lit, pendant presque 20 ans.
Seulement, depuis qu’on est parents, on est devenu des amis. Ça s’est fait tout seul, sans qu’on en parle même ,en tout cas au début.
On était un jeune couple dynamique, canon, elle, la magnifique blonde au corps splendide, et moi Le brun viril barbu dans ses costards à 3000 balles; on vivait à Montpellier, avec une super vie sociale, on baisait comme des tarés entre deux portes, parfois même au boulot, c’était le pied. Puis Gé est tombée enceinte et a eu une grossesse compliquée. Alors on a arrêté le sexe. Ça a été un peu dur, mais je pouvais vraiment pas lui en vouloir, et en quelque sorte ça nous a même rapprochés. On s’est mis à se parler vraiment , de plus de choses, plus profondes, et si c’était possible, mon affection pour elle s’est encore approfondi, et la sienne pour moi. Un an après la naissance de notre garçon, elle a pris le taureau par les cornes et m’a avoué ne plus ressentir de désir sexuel pour moi ( ni pour personne d’ailleurs, c’était une de mes craintes) . Ça a été un choc et je me suis beaucoup remis en question, parce que ça m’a blessé sur le coup, moi qui attendais patiemment qu’elle ait à nouveau envie de baiser comme avant. Mais je me suis rendu compte après quelques jours de réflexion à encaisser le coup que je ne la désirais plus non plus de cette façon.
Alors on a rediscuté. Je lui ai demandé si elle souhaitait qu’on divorce et elle m’a répondu que non, catégoriquement. J’étais et resterais le compagnon de toute sa vie, l’homme qu’elle aimait, j’étais un merveilleux compagnon, comme elle l’était pour moi, mais elle me demandait, si je l’acceptais, de concevoir que notre couple ne serait plus basé sur le sexe, et que notre amour ne serait plus physique.
Elle savait que je plaisais beaucoup ,on avait quelque fois pratiqué l’échangisme dans notre folle jeunesse, et j’avais beaucoup de succès auprès des femmes, de plus, j’avoue que je ne manquais pas de remarquer les yeux féminins qui mataient mon cul ferme en costard au bureau. Elle savait que j’aimais le cul, elle m’a donc proposé de me laisser niquer tant que je voulais, tant que je restais discret et que je ne tombais pas amoureux.
On est banquiers Géraldine et moi, donc de temps en temps quand je partais en formation, j’en profitais pour me taper des nanas. C’était sympa, mais sans plus. Une fois que j’avais joui je n’avais qu’une envie, c’était d’être seul. J’ai même tenté une expérience avec un couple qui me relançait depuis une soirée libertine, Pierre et Vero. Ils avaient 45 ans, libertins. Elle était extrêmement bien gaulée et très salope au lit, lors de notre dernière petite partouze, Pierre et moi l´avions prise en double, et l’expérience m’avait beaucoup excité , ainsi que Gé qui s’était bien doigtée en profitant du spectacle. Pierre était un silver fox, daddy aux cheveux grisonnants, bien entretenu, raisonnablement gaulé et passablement monté, mais qui dégageait une vraie puissance virile, car il était très dominant sexuellement avec sa femme, très verbal aussi, ce qui rajoutait à l’excitation du moment. Un vrai pervers, cérébral, qui commentait tout ce qu’il se passait au plumard.
Son aura virile me poussait à me surpasser, comme si j’étais en compétition avec ce mec si sûr de lui.
Ppendant ce petit trio, Véro était venue me titiller le trou du cul et ça ça avait été une découverte, au grand plaisir de Pierre.
« Vas y Jef, assieds-toi sur sa gueule de salope et fais lui bouffer ton trou » m’avait il dit.
Elle m’avait fait découvrir à quel point j’aimais qu’on me stimule ce cul dont j’étais si fier. J’avais même remarqué à quel point son mec était excité de la voir s’occuper de mon trou comme ça, le lécher, le doigter. Il s’était mis à 4 pattes pour qu’elle s’occupe de lui et elle lui avait fait pareil,
« n’oublie pas à qui tu appartiens ma pute , viens lécher ton homme » lui avait-il ordonné, et ça m’avait aussi beaucoup excité, de voir ce mec si viril dans cette position.
Il cédait une partie de sa virilité, puisqu’il se faisait pénétrer par la langue et les doigts de sa femme, tout en restant très dominant.
Il avait été cette fois-ci plus tactile avec moi, guidant ma queue dans les orifices de sa femme, la complimentant indirectement.
« Tu l’aimes sa grosse bite hein salope ? Ça te fait jouir de te taper un beau mec devant ton maître grosse pute ? » lui répétait il.
On a fini par lui recouvrir le visage de nos foutres, en même temps, en transe, appuyés l’un sur l’autre, presque joue contre joue.
C’était la première fois que je sentais cette connexion avec un autre homme, et c’était parce que je l’avais vu, et que lui m’avait vu offrir cette partie inexplorée de moi.
J’ai refusé poliment de les revoir par la suite, un peu honteux de m’être à ce point laissé aller, et sans doute un peu troublé par cette intimité partagée avec Pierre. Je n’avais aucun soucis à avoir tronché sa femme sans le moindre égard, mais les contacts avec lui m’avaient laissé une impression étrange, presque frustrante, inachevée.
À partir de ça , j’ai commencé à explorer le plaisir anal, à me faire doigter et lécher le trou du cul par mes maîtresses. Je prenais soin de mon hygiène anale , moi qui n’y avais jamais réfléchi avant. J’ai commencé à beaucoup fantasmer sur la pénétration : je veux dire le fait d’être pénétré, sans pour autant oser franchir le pas en demandant à une conquête de me goder réellement. Le plus gros qui me fouillait, c’était un majeur. Pas plus.
J’aimais toujours autant qu’on me vénère la bite, attention, et le plaisir ultime restait toujours une bonne éjaculation, de préférence sur le visage de ma nana, comme pour lui rappeler ma dominance après l’avoir laissée me travailler le cul.
Je me suis mis à fantasmer sur des pornos d’échangistes , de plus en plus souvent, où parfois les mecs se touchaient , se caressaient un peu. Une fois même, un des protagonistes avait gobé la tige de l’autre gars au sortir de la chatte de sa compagne, et ça m’avait fait cracher à fond. J’avais souvent regardé cette vidéo.
J’imposais maintenant l’anilingus à toutes mes maîtresses, de manière très dominante, comme Pierre, mais souvent dans une position pourtant soumise, à 4 pattes. Parfois j’avais un peu honte de m’imaginer à 4 pattes en train de me faire bouffer le trou du cul, mais étrangement ce sentiment de honte me faisait encore plus bander.
Deux ans après la naissance de mon fils, Géraldine a été muté dans une autre agence, à Béziers, alors on a vendu l’appartement gigantesque de Montpellier pour s’acheter une chouette villa dans un village vers la mer, près de Béziers. Mathis a fait sa rentrée en maternelle, et moi pendant quelques temps j’ai pris un petit studio en ville et ne rentrais les retrouver que le week-end. Avec Géraldine hors du tableau , j’ai commencé à taper dans les collègues qui me faisaient de l’œil depuis quelques temps, tout en étant toujours honnête, et leur disant qu’elles n’avaient rien à espérer de plus qu’un bon coup de bite.
J’ai même fini par accepter une nouvelle invitation de Pierre et Véro pour une petite partouze entre nous .
J’étais nerveux, gêné. Je ne savais pas ce que je devais attendre de la soirée, j’avais mes fantasmes en tête, et Pierre était présent, très présent. Encore plus tactile que la fois d’avant. Il m’avait directement pris dans ses bras à mon arrivée, très chaleureusement, et ça m’avait fait bander direct. Même si je me disais que c’était l’idée de sauter Véro qui me faisait cet effet là. Pleins de fois au cours de notre soirée, ses mains s’étaient retrouvées sur ma bite, mes couilles, mon cul même. Il s’adressait à moi pendant que je faisais gueuler sa femme.
« Vas y, tronche la comme la salope qu’elle est, elle est faite pour ça, satisfaire les étalons que je lui amène. Tu as une bonne queue, profites-en. » ou bien « putain j’aime ça voir un beau mec enculer ma salope, merci mon Jef » il me cajolait pendant que je sautais sa soumise, beaucoup moins acteur et beaucoup plus spectateur que la fois d’avant, et le spectacle, clairement, c’était moi. Au moment où j’allais jouir, sur la face de la salope, il se plaça à côté d’elle, comme fasciné par mon foutre qui couvrait sa femme. Je crus même voir quelques goutes tomber dans ses cheveux gris. J’avais joui sur un homme, et ça l’avait excité. Il avait embrassé à pleine langue sa femme, partageant ainsi mon sperme avec elle.
Je m’étais enfui aussi vite et poliment que possible. Extrêmement honteux encore une fois de ces pensées et fantasmes de moins en moins hétéros.
Il m’a fallu baiser beaucoup de nanas ensuite pour atténuer l’image entêtante de Pierre dégustant mon sperme, et me rassurer sur ma virilité. Je me disais qu’il devait être un peu pédé et ignorais ses appels et messages, où il me tannait pour une nouvelle soirée coquine. Je me rassurais en me disant que le pédé c’était lui, pas moi, que je n’avais pas touché sa bite et son corps, pas volontairement, ni gouté son sperme. Quel goût ça avait d’ailleurs du sperme ? ….
Je me mis à goûter le mien après m’être branlé, et découvris que j’aimais assez ce goût salé. Souvent, après avoir joui dans la bouche d’une nana, je venais l’embrasser et goûter mon propre jus sur elle.
J’ai pas mal profité de ce semi célibat pour baiser autant que je voulais, explorer ma sexualité en me rassurant un max sur ma virilité, mais au final ma famille me manquait , et je commençais à prendre un peu peur des limites que je franchissais alors j’ai préféré faire des trajets plutôt que d’être loin des miens. J’ai rendu le studio, et suis allé m’installer en village avec eux.
Teddy
gnacracfrac@gmail.com
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