Chapitre 1
Manu et moi, on se connaît depuis l’enfance. Aussi loin que je me souvienne. On est proches, plus proches qu’avec mes propres frangins. On joue au foot ensemble, ça aussi depuis aussi loin que je me souvienne.
On a découvert la branlette ensemble, après le foot, et on a passé de longues années à se branler côte à côte, bien sagement. C’est lui qui m’a branché la première meuf à qui j’ai roulé des pelles et tripoté les nichons ( c’était sa cousine, Alma) . Et j’ai fait pareil ( ne pouvant lui « offrir » qu’une copine de classe) . Après évidement, on s’est tout raconté, puis on s’est branlé.
C’est Manu qui a baisé en premier. Une meuf assez moche mais facile qu’il a jeté de suite après. Et je l’ai suivi de quelques mois, avec la même demoiselle, pour le même résultat.
Là encore, on s’est tout raconté, et on s’est branlé.
Adultes, on s’est mis à être des queutards invétérés. Faut dire que le foot dans notre petite ville nous a filé une espèce de notoriété ( et un peu la grosse tête j’avoue) , et qu’on a baisé à peu près toutes les meufs du canton pendant notre 20aine , là encore, on se racontait tout, mais sans se branler quand même, on est pas des pédés. J’avoue pourtant que j’y pense des fois, à nos branlettes, à sa teub pas loin, mais bon.... on est pas des pédés.
Depuis quelques années (4 en fait) je réussi tant bien que mal à être en couple, avec une jolie meuf, deux ans de moins que moi ( j’ai 34 ans) , mais super jalouse, et j’avoue, pas fantastique au pieu. Mais elle me va bien, socialement , et mes parents commençaient vraiment à me gonfler pour que je me case. Je réussi à pas ( trop) la tromper. Relativement sage, et discret. Plus moyen de crier sur tous les toits que j’ai piné telle ou telle salope, il faut maintenant la jouer serrée, même si Manu, est évidement toujours dans la confidence. Manu lui ne s’est pas casé. Il continue à baiser tout ce qui bouge, et il a toujours autant de succès. J’avoue qu’il le mérite, il est carrément beau. C’est un espagnol. Aussi brun que je suis blond. Je suis largement plus grand que lui (180cm contre 172) , mais il est beaucoup plus musclé. Enfin plus trapu, parce que je suis pas mal en muscles ( ma meuf adore mon corps) mais plutôt fin,alors que lui est plus massif, et ça lui va carrément bien.
Ajoutez à ça les 22 centimètres qui se balancent dans son short, sa pilosité de Méditerranéen, et vous comprendrez le concentré de testostérone qui piège toutes les salopes à 50 bornes à la ronde.
Depuis quelques semaines, il voit plus ou moins une meuf, la même en tout cas. Et je bande de jalousie chaque fois qu’il me raconte à quel point elle est chaude. Faut dire qu’Emmanuelle ( ma nana, ça s’invente pas) est particulièrement coincée du cul en ce moment, et que je passe pas mal de temps à me faire plaisir tout seul. Je vais donc naturellement finir par la tromper ( et elle l’aura pas volé) .
Manu me dit sans arrêt que sa cochone veut qu’on fasse un truc à trois. Que je la fais mouiller dans ma tenue de foot. Bizarrement, c’est un truc qu’on a jamais fait ça.
On a baisé pleins de fois les mêmes meufs ( une fois j’en ai même sauté une de suite après qu’il ait fini, j’ai littéralement baigné ma queue dans son foutre) mais jamais en même temps. L’idée m’excite vachement, mais me met assez mal à l’aise, sans que je sache pourquoi.
Sa meuf le tanne, elle me veut en même temps que Manu. Et elle nous veut après un match de foot, en tenue, et pas douchés. Je trouve ça chelou, on va puer, mais après tout, c’est ses narines à la meuf. Perso, mon odeur de chacal,je gère, et pareil pour celle de mon alter égo.
J’ai fini par craquer et dire oui, après une semaine sans aucun coup de bite à la maison. Il me faut baiser. Et vu comment elle me casse les couilles, même pas moyen de sortir un week-end pour pécho de la salope. Du coup, le plan de Manu tombe à pic : elle pourra rien me dire, je suis avec Manu ( elle sait que c’est le seul sujet qu’elle ne peut pas contester : Manu est sacré) , et on se fait ça après un entraînement. Déjà pour pas que ma meuf se prenne l’envie de venir comme elle le fait des fois aux matchs, et puis parce qu’on pourra s’éclipser sans prendre de douche en disant qu’on est pressés.
Donc on y est : mercredi soir, 22 heures, mois de juin ( autant vous dire qu’on a bien sué) . On grimpe dans la caisse de mon Manu, et on trace dans le bled d’à côté. Putain comme je bande ! Ma teub déforme l’avant de mon short. Manu s’arrête dans la cambrouse et se fout à poil.
« Qu’est-ce que tu fous ? »
« T’inquiète, j’enlève juste mon calbut, Mina kiffe me tripoter le chibre à travers le short. D’ailleurs tu devrais faire pareil. »
Et nous voilà à poil tous les deux, dans une vigne, bandés comme des petits puceaux, comme quand on était ados.
« Et ben mon Philippe, tu me bâts presque en fait ! Limite t’en as une plus grosse que moi ! Ça faisait longtemps que j’avais pas vu ta queue tendue, je me souvenais pas . »
« En fait c’est pas limite mon Manu : je SUIS mieux monté que toi ! 23 centimètres. »
« Non! » me dit il en m’attrapant la teub pour la mettre à côté de la sienne, face à face. Mais force est de constater que j’ai raison : je suis plus long. Même s’il me bat en diamètre.
« elle va couiner la salope »
« C’est clair ! »
On reste là quelques secondes. Ma teub dans sa main, contre la sienne. Étrangement, ça me fait encore plus bander. Mais faut dire que je suis carrément en manque. Je baiserais une chèvre là...
Donc, on se reprend, on remet nos shorts, et on essaie de se calmer sur les derniers kilomètres. Parce que 22 et 23 centimètres qui tendent des shorts de foot, c’est pas exactement discret quand t’arrives dans une résidence.
Mina nous attend, au portail. Elle est vraiment bonne. J’ai trop hâte de la sauter. Elle est fringuée comme une pute, et j’adore ça. Putain, je me remets à bander.... ça promet....
Elle est sympa, un peu familière, alors qu’on se connaît à peine, elle me serre dans ses bras et me claque un smack. À Manu, elle roule une énorme pelle et lui tâte le chibre qui tend le short au maximum. La soirée va vraiment être chaude....
Chapitre 2
On prend l’ascenseur, et elle le bloque au troisième. Elle se fout à genoux, me sort la teub, et commence à sucer. Faut qu’elle arrête, sinon je lui fous tout dans la face, là, et ça serait dommage. Je lui dis, et elle s’attaque à Manu. Puis elle débloque l’ascenseur et on finit la montée en lui roulant des pelles et en lui touchant le corps. On est super serrés s, je sens ma transpiration, celle de Manu, sa légère odeur à elle. En fait ça m’excite. Je comprends son kif. On sent les hommes, y a pas d’autres mots, mais c’est bandant. Et ça a l’air de parler à ses récepteurs de femelle, parce qu’elle est bouillante. À un moment, je sens le chibre de Manu contre ma cuisse et ça m´électrise . Putain je sais pas ce qui m’arrive. J’ai l’impression de bander autant pour Manu que pour elle. Je tremble, comme un puceau.
On passe dans l’appartement. Je calcule même pas le décors , honnêtement là, j’en ai rien à foutre de son appart , j’ai juste envie de niquer, avec eux. On la lèche, on la doigte, elle mouille et gémis. Putain c’est une déesse, et nous on est ses adorateurs. Les deux footeux, avec nos queues tendues, en tenues, en train de lécher la femelle parfaite. Je sens Manu, son odeur, sa queue contre moi, sa salive qui a déjà mouillé les endroits que je lèche. Elle se fout à genoux et commence enfin à nous vénérer. Moi d’abord, c’est moi l’invité. Elle me sniffe le short, se frotte le visage dessus avec un regard de chienne. Comme pour s’imprégner de mes phéromones de mec. Puis elle sort ma teub et suce. Je me lance, et j’extirpe celle de Manu pour qu’elle s’occupe de lui. Je sais pas ce qui me prend. Peut-être que c’est parce qu’il a touché la mienne tout à l’heure, peut-être que c’est parce que je suis tellement proche de ce mec que dans ma tête,c’est comme toucher ma propre queue , peut-être que j’ai envie de le voir prendre son pied. Et il le prend. Il gémit, respire fort. Il me regarde. Juste moi. On vénérait cette meuf il y a quelques minutes, elle est devenu un simple sex toy. Mon meilleur pote et moi, on est en train de se faire du bien, mutuellement, en utilisant cette meuf. Je sais pas comment, mais je sais que c’est ce qu’il pense aussi à ce moment là. Je le vois dans son regard.
Je me rends compte qu’il a attrapé ma bite et qu’il est en train de me branler, pendant que je pousse la tête de Mina sur son chibre pour qu’elle le pompe à fond. Et je kiffe. Je kiffe sa main sur mon gland. Je mouille, pour lui. Putain je suis à deux doigts de lui mettre ma queue dans la bouche. Et je sais qu’il la prendrait, sans rien dire. Pour me faire du bien.
Il se tourne, et Mina, à mon grand étonnement, se met à lui lécher le trou du cul. J’avais même jamais imaginé qu’on pouvait faire ça, mais il a vraiment l’air d’adorer, et elle aussi d’ailleurs.
« Faut que t’essaies mon Philippe. C’est le paradis »
Alors je me fous à côté de lui et je tends mon cul.
« Lèche mon pote salope » lui ordonne Manu.
Elle le fait. Putain....
on est tous les deux appuyés contre le mur, en transe, en train de se regarder et j’ai une langue dans le trou du cul. J’en peux plus. J’ai trop envie de lui bouffer la bouche. Je m’étais jamais rendu compte à quel point je le trouve beau.
J’ai pas le temps d’hésiter. C’est lui qui prend la décision. Il me roule une pelle.
J’ai jamais ressenti ça. Je me retourne sans lâcher sa bouche, pour larguer mon sperme dans la bouche de Mina.
Manu est chaud comme la braise, il l’allonge sur le canapé, lui écarte les jambes, et lui fout sa teub à fond. Elle chante, peut-être un peu de douleur, mais je m’en tape, je fais même plus attention à elle honnêtement. Tout ce que je vois, c’est Manu. Sa queue énorme qui écarte cette chatte.
« Viens, faut que t’essaies sa moule » me dit il.
Il se retire. Son gland est gluant, j’ai une putain d’envie de lui gober. Je la fais assoir sur ma teub, face à face, c’est elle qui bosse. Et Manu vient se placer derrière et lui pénètre le cul. Il prend son short, et lui fourre dans la bouche pour étouffer ses cris.
« Ta gueule, je sais que t’aimes ça, tu vas ameuter tes voisins si tu continues »
Je sens sa teub frotter contre la mienne à travers la fine paroi du vagin de notre sex toy. Putain mais pourquoi on a pas fait ça avant ???! . Je me mets à rêver , j’aurais du sucer mon pote quand on était ados et qu’on se branlait ensemble, j’aurais du oser. Maintenant je le sais, j’en ai toujours crevé d’envie. Je kiffe ce mec. Je l’ai toujours kiffé.
« Tu l’aimes ma bite » affirme t il en me regardant droit dans les yeux, comme s’il lisait mes pensées. Il se penche et me prend la bouche encore une fois. Et ça me fait le même effet que tout à l’heure. Je largue tout, mais cette fois c’est dans la chatte de la salope. Manu se met à gueuler. « prends mon jus chienne ! » et balance tout dans son trou du cul.
On souffle comme des bêtes. Perso, je me vois pas reprendre la partie. Il est tard, et je suis pas encore rentré. Je bosse demain. Manu à compris, il commence à se rhabiller, et je fais pareil.
« Vous voulez pas vous doucher? » nous demande Mina, « Non, on fera ça chez moi, les sacs sont dans la voiture » lui répond Manu.
Elle l’embrasse d’un air absent, et me claque une bise, pas plus impliquée.
« A un de ces quatre les mecs, c’était sympa » .
Chapitre 3
Arrivés dans la voiture, je commence à réaliser tout ce qui s’est passé ce soir, et j’ai limite honte de m’être lâché comme ça avec mon meilleur pote.
« Manu, je.... »
« Pas de suite. Stp mon Philippe, pas de suite. On va chez moi, et on débriefe le « match » , ok ? Là, juste on roule. »
Alors on roule. Ça dure pas longtemps. On pue le sexe, tous les deux. Un entraînement et une partie de cul de malade, la douche va pas être de trop.
Il se gare devant chez lui,et je le suis dans sa maison. On se pose sur le canap et il me sert une bière.
« Tu veux aller te doucher ? »
« Pas de suite. D’abord on debriefe »
« Ok alors. Chose promise... »
« Manu, on s’est roulé des pelles.... »
« T’as aimé ? »
« Je sais pas... »
« Mens pas Philippe. T’as aimé » .
« Oui.... »
......
« Manu je.... »
« Tais-toi. Tu parles trop. Tu réfléchis trop. T’as toujours été comme ça : réfléchir 50 ans avant d’agir. Moi j’ai pas ce problème » me dit il en s’approchant pour me rouler une pelle. On a même plus l’excuse du plan cul et de l’excitation. La meuf est plus là. C’est juste nous. Et j’ai pas du tout envie de résister en fait. C’est un vrai baiser, d’amour. Parce que ouais, je l’aime mon Manu. Il me fait bander mon Manu. Son odeur, la texture de sa peau. Sa barbe naissante.
Il me tâte la teub, sans complexe. On bande tous les deux comme des chiens. Toujours dans nos tenues de foot. Toujours sans calbut. Il s’allonge sur moi et commence à frotter sa queue contre la mienne. Le nylon fait tout glisser , et c’est divin. On se mange la bouche comme des pédés professionnels.
« Tourne toi Manu, j’ai envie de te sucer. »
« On va faire mieux que ça, un 69 » me dit il.
Il se positionne au dessus de moi, et j’ai son short sur la bouche et le nez. L’odeur est indescriptible. Je sens toute l’essence de mâle de mon Manu. Et je m’enivre .
« Putain mais pourquoi on l’a jamais fait avant ? »
Il me répond pas. Il a sorti ma queue et commence à me bouffer le gland. Alors je fais pareil.
C’est une révélation. J’étais fait pour bouffer de la teub. En tout cas pour bouffer SA teub.
Il retire mon short, et commence à me toucher le trou. Il essaie de me le bouffer, mais il est mal installé. Alors il se lève, et je vois, à regret sa magnifique queue s’éloigner de ma bouche. Il se place entre mes jambes. Et viens me bouffer le cul. Je pourrais jouir là, tellement c’est délicieux. Il fait ça encore mieux que Mina. Peut-être parce qu’il y prend plus de plaisir.
« Manu, prends-moi »
« T’es sûr ? Je vais te faire mal »
« Je m’en fous. Je veux ton chibre dedans. J’en ai besoin. »
« Je vais te faire l’amour bébé. Si tu savais comme j’en rêve. Depuis tellement longtemps »
Il place du gel sur mon trou (je pensais pas qu’il aurait ce genre de truc chez lui) et positionne sa queue. Il commence à rentrer. Je grimace. Ça fait mal.
« Ça va mon beau ? Tu veux que j’arrête ? »
« Surtout pas. Ça va aller. Je te veux bébé » . ( on s’appelle « bébé » maintenant ????)
Il continue, c’est interminable, et j’ai l’impression d’être déchiré.
« Je suis presque au fond mon Philippe . Putain c’est le paradis ton cul »
Ça y est, il est calé au fond. Il reste là. Sans bouger, pour me laisser m’habituer à la taille de son monstre. Puis longtemps après, il commence à bouger, et j’ai moins mal. C’est pas encore vraiment bon, comme une gêne, mais déjà je souffre plus. Et puis il est tellement beau, tellement mâle, que je veux lui offrir ça. Je sais pas si on recommencera, mais là, je suis à lui. Je fais « la femme » pour mon meilleur pote.
Il me tient dans ses bras, et me baise tout doucement. Il m’embrasse, me regarde. J’aurais jamais pensé qu’il pouvait être aussi doux. Peut-être parce que j’ai jamais pensé qu’il pouvait faire l’amour. Juste baiser en fait. Comme il a baisé Mina tout à l’heure. Sans sentiments, juste du cul. Moi, il me protège, me câline. C’est mon homme à ce moment là. Et ça commence à être délicieux d’être à lui, de m’offrir à lui. Sentir son énorme chibre entrer et sortir de moi . Voir son regard, respirer son odeur, bouffer sa bouche.
« Plus fort mon beau »
« Demande encore »
« Plus fort »
« Mieux que ça »
« Baise moi mon beau. »
« Encore »
« Baise moi ! Montre moi comment tu fais crier les salopes. Rempli moi la chatte. Baise moi! Gicle moi dans le cul! Féconde moi! »
« Je vais te défoncer. Tu vas gueuler, et je vais vider mes couilles dans ton cul. Mais tu seras jamais ma salope. Toi t’es mon mec. T’es un homme. Et on va baiser comme des hommes. Tu vas encaisser comme un homme, et prendre mon jus comme un homme. »
« Vas y alors. Montre moi comment ça baise les pédés entre eux. Je suis ton passif. Baise moi »
« Cette fois »
« De quoi? »
« Cette fois ci, t’es mon passif. Ça sera pas toujours le cas. Toi aussi tu vas utiliser mon trou . Avec ton magnifique chibre. »
Il me branle en disant tout ça. Ça et ses coups de bite de plus en plus fort, s’en est trop. Je gicle, partout sur sa main. Et lui se vide dans moi.
Il me regarde,Sourit, et me donne sa main à nettoyer, puis vient partager le sperme avec moi en me foutant sa langue dans la bouche.
À suivre...
Teddy
gnacracfrac@gmail.com
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