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Weekend avec mon Boss

Allez, je me lance à mon tour (confinement oblige, j’ai que ça à faire). Je suis Julien, 32 ans, 1m80, 68 kg (donc plutôt athlétique sans pour autant être un mec de magazine), blond, quasi imberbe (et rasé là où ça peut l’être). J’habite Paris et je suis un mec gay plutôt classique dans la vie de tous les jours. Mais pour le sexe, j’adore être très soumis dans des plans avec des pratiques généralement assez hard.

J’ai passé un weekend mémorable début mars 2020. Avec un plan cul régulier (Jérémy) que je vois depuis des années, et qui me domine quand on est ensemble. Nous avions décidé d’aller ensemble à Darkland (festival fetish) en Belgique.

C’était une grande première pour moi un évènement du monde fetish et bdsm… J’ai toujours été soumis et j’ai fait pas mal de plans domi-soumis et/ou bdsm dans ma vie, mais je n’ai jamais vraiment intégré le milieu fetish/bdsm parce que ça ne correspond pas vraiment à comment je suis au quotidien, et que je ne suis pas très exhib quand je suis soumis ; je préfère le cadre privé d’un appart ». J’allais enfin voir ce qu’il en est, dans un des plus gros évènements du genre en Europe, et quelle découverte !

Nous avions prévu d’être ensemble du jeudi soir au dimanche fin de journée… Le jeudi soir, nous nous retrouvons chez lui tout de suite après le boulot. J’ai ma valise pour le weekend, et à peine entré, il me met en condition :
« Salut bâtard. À partir de maintenant, quand je le décide tu te comporteras en parfait soumis à mon entière dispo. Et ça commence dès maintenant : à genoux ! »

Je me mets à genoux devant lui, la tête à la hauteur de son entrejambe et les yeux rivés sur l’emplacement de sa queue, bien rangée dans son jog. Il fait ma taille, est vraiment athlétique, quasi imberbe aussi, cheveux noirs et toujours l’air sûr de lui, avec un sourire pervers bien accordé à toutes ses envies hard. Il a quelques années de plus que moi (34 ou 36 ans, je sais plus). Il est habillé sport ce soir, tout en jog, avec un polo Lacoste et des belles skets.

Il continue : « Une seule règle pour ce weekend : tu ne réfléchis pas et tu obéis à ton Boss sans hésitations. Tu sais qu’on se pratique depuis des années, que je connais tes limites et que je ne les dépasserai jamais, alors tu oublies tes inhibitions de ta vie quotidienne et tu te laisses guider tout le weekend. Je vais faire de toi une bonne sous-merde, et tu vas encaisser tous mes trips pour mon plaisir, ce qui doit rester ta priorité absolue. »

En entendant ça, je suis déjà bien excité. Je suis assez cérébral dans mes trips de soumission, et il sait comment me parler pour me mettre dans le bain. Il me désigne la salle de bain, et je sais ce qu’il me reste à faire : aller me préparer (lavement, car je sors tout juste du bureau, et enfiler ce qu’il m’a prévu, qui est généralement posé dans la salle de bain). J’y vais à 4 pattes pendant qu’il reste dans son salon à boire sa bière. Une fois bien propre en profondeur, je m’intéresse à ce qu’il m’a sorti : des attaches pour poignets et chevilles, un short en latex avec une fermeture éclair qui peut ouvrir au cul et à la queue et un débardeur en latex. Je n’ai pas souvent mis du latex (car je n’en ai pas moi-même), mais j’aime beaucoup cette sensation : c’est très près du corps, ça compresse, et j’aime me sentir contraint. Et puis de toute façon c’est mon Boss qui me l’impose donc je n’ai pas le choix (et j’aime vraiment ça quand mon Boss ne me laisse pas le choix : ce n’est pas au soumis de décider quoi faire ni ce qu’il va se passer).

Je sors de la salle de bain à 4 pattes, tête baissée comme il me l’a appris, et je me dirige vers lui. Tout de suite, il m’indique ma place un peu comme il l’indiquerait à un chien, sur une grande bâche noire de protection au sol, sous laquelle il a placé comme d’habitude des tapis de gym pour que je tienne longtemps facilement au niveau des genoux ou des coudes. Il est assis juste devant moi, sur un large siège, lui aussi recouvert d’une grande bâche noire. Avant même que j’aie le temps de lever la tête, il me prend le haut du crâne et me dirige fermement sur ses skets : « vas-y, lèche bien mon bâtard… tu sais que tu sers à ça. Décrasse-moi bien les skets ». J’ai la gueule écrasée sur le dessus de sa sket et je sors la langue pour bien lécher au max. Il me laisse faire, et je présume qu’il savoure de me voir à ses pieds, et de sentir mes coups de langue au travers de la sket. Il commente, me dit d’y aller plus fort, de tout bien décrasser, que je suis une bonne chienne bien à sa place… Puis, alors que je lèche l’autre pied, il attrape quelque chose que je ne vois pas et il se baisse pour atteindre ma tête : il me met une cagoule en tissu noir, doublé au niveau des yeux pour rien n’y voir, et un collier au cou sur la base de la cagoule, alors que je continue mon job en lui décrassant les shoes. Encore une contrainte de plus : je me sens de mieux en mieux et tout à fait dans mon rôle, à ma place. Maintenant je n’y vois plus rien, et la cagoule a juste un grand trou pour la bouche. Je me sens complètement à sa dispo. Il m’attache les mains dans le dos en liant les deux bracelets ensemble, et je dois continuer à lui lécher les skets sans l’appui des mains. C’est plus galère, et il m’appuie souvent sur la tête, jusqu’à bien me mettre la joue contre le sol et me faire lécher le dessous de ses pompes.

Je dois remonter le long de son jog avec la langue bien sortie, et il finit par frotter mon visage comme une brute contre son jog à l’endroit de sa queue. « Lèche bien, vient chercher ma queue, sors la langue, cherche-la, montre-moi que t’en as envie, que t’es qu’un bouffeur de bites… etc. » Je sens sa queue bien grossir sous le jog, et je sens bien qu’il ne porte rien en dessous. J’adore ça : la queue de mon Boss prête à sortir et à me défoncer la bouche ou la chatte à tout instant. Il finit par baisser son job et m’ordonne de lui lécher la queue… Il a un bon 17cm bien droit, super appétissant, et je suis méga excité. Je lèche rapidement en me dirigeant vers le gland pour la prendre en bouche en entier, et je prends une bonne tarte dans la gueule. « Je t’ai dit de lécher bâtard : LÈCHE ! ». Je me remets donc à lécher sa queue de haut en bas, ses couilles, que je prends en bouche en entier, puis à nouveau sa queue… Il la tient maintenant vers moi et m’oblige à lécher son gland seulement du bout de la langue… Il me fait languir et il sait bien que je crève d’envie de la prendre en bouche… Et bien sadiquement je suis sûr que ça le fait kiffer.

Tout à coup il avance un grand coup et me fout se bite d’un coup entier dans la gueule, et appui bien sur ma tête pour trouver le bon axe pour passer la glotte et finir en gorge profonde. Me voilà planté sur sa queue, sans pouvoir respirer, et méga excité. Il relâche et me laisse faire des va-et-vient sur sa tige bien dure : je prends mon pied à fond. J’adore le pomper, j’adore être dans cette position de soumission, j’aime sentir qu’il peut faire de moi ce qu’il veut et qu’il me considère comme son inférieur juste bon à lui faire du bien.

Il finit par se pencher pour ouvrir le devant de mon short, faire sortir ma queue et attraper mes couilles… Et ce faisant il se rend compte que je bande comme un malade. Il attrape alors mes couilles à pleine main et les tire bien à fond, tout en m’appuyant la tête sur sa queue de l’autre main. La situation n’est pas confortable du tout, et la tension sur mes couilles me fait geindre à fond, alors même que j’ai la bouche pleine et que je galère à respirer… Il finit par lâcher ma tête et continue de tirer à fond sur mes couilles… Forcément ça me fait me redresser le long de son torse, pour finir à moitié sur lui, la tête sur son épaule, toujours en train de geindre de douleur… Il tire, et il tourne en même temps… ça fait grave mal, mais en même temps j’adore qu’il me défonce comme ça. Il finit par relâcher et je réglisse à genoux au sol devant lui. Il attrape une bouteille de poppers posée à côté de lui, et me le met sous le nez sans me laisser le choix. Le tissu de la cagoule est fin, et le poppers passe très bien au travers. Il me bouche une narine et m’ordonne d’inspirer à fond. J’adore la première bouffée de poppers : ça me fait décoller et je me sens instantanément encore plus soumis, prêt à tout pour le satisfaire. Après une première respiration, il change de narine et me dit de recommencer, puis à nouveau l’autre narine, puis encore, encore… Il me gaze vraiment à fond, et je commence à geindre un peu et à avoir grave la tête qui tourne. Alors il s’arrête, me pousse en arrière pour que je m’appuie au sol sur mes mains que j’ai toujours liées dans le dos, et reviens vers mes couilles : il les attrape, et commence à les tapoter, puis les tordre, puis les tire en continuant à tapoter… J’ai moins mal que sans le poppers, mais c’est quand même super intense et je galère vraiment. Lui de son côté prend un méga pied à me faire galérer comme ça, et continue de plus en plus fort.

« Alors comme ça on voulait bander mon bâtard ? Tu sais pourtant que la queue d’un bâtard ne doit servir à rien, et que seuls tes trous vont me servir ? Pour qui tu te prends ? En plus je t’y ai même pas autorisé ? Tient voilà prend encore bien cher dans tes couilles pour voir si tu continues encore à bander p’tite merde ! » et il continue à mes les tirer à fond, et/ou à me les taper. Je geins, je respire fort, je crie parfois soit de peur, soit de douleur… Et il fini enfin par relâcher. Je souffle 2 secondes, mais c’est juste le temps qu’il lui faut pour me recoller le poppers sous le nez et recommencer à me gazer… Moins longtemps cette fois-ci, mais quand même, je suis bien shooté. Et bim ! Il repart sur mes couilles de plus belle et s’amuse en les cognant à la main ou avec des petits coups de pied. Je sursaute, je râle, je respire fort, je gueule, je geins… Rien n’y fait, il continue son kiff et jubile de me voir dans cet état.

Quand il relâche enfin, c’est clair que je ne bande plus du tout, du tout. Il attrape alors un lub à base de silicone, m’en met un tout petit peu sur la queue et les couilles, et chope un anneau qu’il place à la base de mes couilles et de ma queue. Je pense qu’il s’agit d’un cockring, mais il place dans la foulée ma queue dans un petit tube, et j’entends le « clic » caractéristique du cadenas de la cage de chasteté qui se referme. En même temps excité et humilié, je me dis « et merde ! ».

Lui, calmement me dit à l’oreille après m’avoir redressé : « Voilà, avec ça tu banderas plus du weekend et tu pourras te concentrer sur ma queue plutôt que la tienne. C’est ça le rôle d’un bâtard, et cette cage va bien te le rappeler à chaque fois que tu tenteras de bander. Et n’essaye même pas de discuter ou de négocier, je ne te l’enlèverai pas avant d’être revenu à Paris dimanche soir. Au moins là t’es bien à moi, et c’est tout à fait normal que je puisse décider de si t’as le droit de jouir ou pas. Dans tous les cas, je vais te faire kiffer de 1000 autres façons ce weekend : tu vas me donner tellement de plaisir que je sais que ça te fera plaisir. T’es tellement formaté comme un soumis intérieurement que je sais que tu vas kiffer me vénérer. Et au pire si c’est pas le cas, ben tant pis pour toi ! Je m’en fous, t’es là pour obéir et subir. »

Moi je ne fais pas trop le malin sous ma cagoule. J’ai encore les couilles qui me chauffent bien et les mains liées derrière le dos, je reprends mes esprits du méga shoot de poppers, et en plus ce qu’il me dit est ultra rabaissant… Je me demande vraiment comment ça se dérouler ce weekend et si je vais arriver à tenir la longueur vue comme ça démarre fort… Ça ma stresse bien, mais honnêtement, je suis quand même toujours aussi bien dans mon rôle de bâtard, et content d’être là.

Il se lève, tourne autour de moi pour venir dans mon dos en laissant ses doigts caresser mes épaules, et me pousse doucement pour que je me mette à 4 pattes, le torse sur l’assise de son fauteuil, et la tête contre le dossier. Il reprend le lub, enfile une capote, et sans plus de précaution il m’enfile direct sa queue bien au fond du cul. Je pousse un cri et je douille bien, mais il est déjà bien dedans et commence à aller et venir tranquillement. Au bout de quelque temps, la première douleur s’estompe et je kiff qu’il me nique comme ça. J’admire ce mec : il est bien gaulé, méga pervers, ultra domi et sadique quand il est en mode plan, et il est capable de me niquer pendant des heures. À sa place, je jouirais en 5 minutes max vu comment je serais excité… Mais ça doit être l’ordre naturel des choses : je suis son bâtard inférieur, alors que lui est mon Boss, capable de me dresser à coup de bite tant qu’il en a envie.

Il accélère, et mon cul commence à vraiment bien s’ouvrir. Parfois il me rajoute des doigts en plus de sa queue, et je couine à fond. Il me traite de bonne pute, me dit que j’ai un bon p « tit cul et qu’il va bien me le défoncer, il m’encourage à bien m’ouvrir pour prendre sa queue… Il rentre en entier et ressort complètement, et re-rentre direct sans même s’aider des mains… Je le prends dans toute sa longueur plusieurs fois d’affilé, et ça me fait prendre un plaisir dingue de sentir la queue de mon Boss me niquer à fond comme ça, et de savoir que je lui fais du bien en lui filant mes trous. Finalement, il ressort et attrape un gros plug, qu’il lubrifie rapidement, et me pousse dans le cul. Putain ce plug est quand même sacrément gros, et je galère à le prendre en entier… Il joue avec, le retire et un et le re-rentre en insistant, et en m’ordonnant de bien lui filer ma chatte… Et il finit par le faire rentrer en entier en me faisant gueuler de douleur et de peur. Ça y est, il est dedans, il ne m’a pas déchiré le cul et j’ai déjà quasi plus mal… Et je suis toujours autant excité.
Lui est tout content et me dit en me collant de grosses fessées qui me font bien douiller : “voilà, ça va te garder ouvert à dispo de la première bite qui passe, et ça va te façonner à avoir la chatte bien élargie comme je veux que le soit mon bâtard !”

Il me remet à genoux devant le siège, va chercher une bière, et s’assoit devant moi sur son siège. Il me demande si j’ai encore mal aux couilles, et je lui réponds “oui Boss”. Il me dit qu’il ne me croit pas et que je suis une grosse chochotte. Il attrape mes couilles et les touche doucement, puis les relâche. Il boit sa bière en se calmant, et je sens mes couilles qui recommencent à me chauffer bizarrement… Je commence à m’inquiéter, à respirer fort, et je finis par craquer et lui dire que j’ai les couilles qui me chauffent très étrangement. Je me demande s’il n’a pas pété quelque chose, ou si je ne fais pas une allergie instantanée à la cage de chasteté, ou je ne sais quoi d’autre… Et lui ne me répond pas vraiment. Je lui redis en étant encore plus paniqué, et il me colle une bonne baffe en me disant :
“Je viens de te tartiner un peu d’harissa sur les couilles pauvre merde : au moins tu sauras pourquoi tu as encore mal !”.

J’y crois pas ! Je suis instantanément rassuré que ce ne soit rien de plus grave, mais aussi super flippé. Je n’ai jamais eu à subir ça, et mes couilles me chauffent vraiment à fond. Mes mains sont liées dans mon dos, et je ne peux rien faire à part endurer. Ça me chauffe comme un volcan, je respire fort et je tousse, je geins à fond, et lui doit jubiler assis dans son fauteuil à voir dans quel état il m’a mis. Putain la honte, en plus d’avoir mal, d’être à ses pieds, d’avoir le cul explosé par ce plug, je dois être ridicule à regarder et je me sens encore plus rabaissé et humilié.

Lui boit sa bière et fume une clope tranquille. Au bout de 10 ou 15 min, le pic de la réaction est passé, et bien que je sente encore mes couilles qui me chauffent, c’est nettement moins intense et j’arrive à me calmer. Il finit par venir coller sa bouche contre la mienne et me refile 2 grosses gorgées de bières en me crachant direct dans la bouche et recommence 2 ou 3 fois. Ça coule un peu sur mon menton et mon torse, mais ça me permet de boire, et en m’appuyant le cul sur mes pieds, je ressens l’énorme plug que j’ai dans le cul, que j’avais complètement oublié pendant tout l’épisode harissa.

Ça dure quelques minutes et je me dis que j’aime aussi ces moments plus calmes où je suis dans mon rôle d’inférieur à sa dispo, même s’il ne se passe pas grand-chose de notable. Je sais aussi qu’il apprécie me voir là devant lui, à ma place de soumis, bien à sa dispo. Il doit certainement réfléchir à la suite du programme en se touchant un peu la queue, et se demander laquelle de ses envies bien hard il va mettre en œuvre ensuite. Il me demande rapidement si ça va, et je réponds “oui Boss”. De toute façon, je ne crois pas lui avoir répondu un jour autre chose tellement j’aime quand il me lope.

Il se lève, me met un bâillon boule, me détache les mains et me remet à 4 pattes, les coudes dans le fauteuil. À nouveau il a une belle vue sur mon cul, et je flippe déjà du moment où il va vouloir enlever cet énorme plug de mon trou. Mais lui ne se pose pas tant de questions : il met un gant, choppe la base du plug, appuie 2 ou 3 fois dessus pour bien me l’enfoncer et m’entendre couiner, plus l’incline et le tire vers la sortie, en ignorant totalement mon énorme râle derrière le bâillon. Je le sais, il s’en fout : il considère que mon cul lui appartient et que je dois encaisser ce qu’il veut, à partir du moment où il a décidé que j’en étais capable.

Mon cul est éclaté. Je sens un courant d’air dès que le plug a fini de sortir, et tout de suite j’ai comme une sensation de manque. Mon Boss pose le plug et commence à me mettre des doigts. Je suis content, j’adore quand je sens mon Boss qui me nique ou me met des doigts. Je préfère quand c’est directement lui qui me lime plutôt qu’un gode ou un plug. Au moins je me dis que je lui donne du plaisir directement, et je sens qu’il prend possession de mon trou lui-même.

Il doit en être à 4 doigts, et ça rentre facilement. Il a bien lubrifié, et vu le plug qu’il m’a mis avant, je suis super bien dilaté. Il continue en joutant le 5e doigt, et continue à pousser. Je commence à râler plutôt qu’à couiner parce que sa main qui veut rentrer me redilate bien à fond… Et lui continue de me travailler, jusqu’à un moment où il m’ordonne de bien lui filer mon cul, et ou il pousse sa main bien à fond pour passer le muscle et finir bien au chaud dans mon cul. Je prends cher, mais instantanément je prends aussi un plaisir de fou. Je couine à fond, je m’essouffle à force de respirer fort, et lui donne de petits coups à l’intérieur qui me font vibrer de la tête aux pieds. J’ai l’impression que je grimpe aux rideaux comme jamais, et geins des “merci Boss” comme une pute.

Lui s’amuse à me défoncer le trou au poing, et n’a pas l’intention d’en rester là. Il continue de me dire que je suis sa pute, et que mes trous lui appartiennent… Qu’il va me défoncer comme jamais, et que je suis fait pour ça… Il me tend le poppers de son autre main libre et m’ordonne de respirer 4 grands coups. Je m’exécute tout de suite et ça m’aide bien. Lui en profite direct, cherche le bon axe et entreprend de s’enfoncer encore plus en moi… Je me tortille dans tous les sens parce que je panique un peu, mais je sens en même temps le plaisir augmenter encore plus. J’ai l’impression d’être entièrement rempli par sa main, et je n’ai aucune idée de jusqu’où il m’a enfoncé son poing, son poignet, ou même son avant-bras. Il me fouille comme ça un moment, en me rendant complètement fou. Il est parfois lent et calme, parfois plus rapide ou brusque. Je n’arrive pas à me calmer et je suis vraiment dans un état de jouissance et de soumission très avancé. Il continue en étant de plus en plus rapide dans ses mouvements. S’amuse à fermer et rouvrir le poing en étant à l’intérieur, à sortir complètement et re-rentrer bien profond d’une traite, et se branle de son autre main libre. Moi je gueule et je chouine tellement ça fait à la fois mal et du bien, tellement je panique de comment il traite mon cul, et tellement je prends un plaisir incroyable… Et il finit par jouir sur ma cuisse de me voir autant galérer et gueuler.

Il sort sa main de mon cul, et je m’écroule instantanément par terre au pied du fauteuil, complètement à l’ouest, et incapable d’articuler quoi que ce soit… Il me laisse là à respirer fort comme un bâtard qui vient de prendre cher, et va enlever son gant et se laver les mains.
Le temps qu’il revienne, je commence à me remettre un peu de mes émotions. Il me regarde, me sourit de son plus beau sourire de Sadique content de lui, et s’assois dans son fauteuil, les pieds sur moi, en me laissant recouvrer mes esprits. Il finit par me tendre une bière, et me demander si je vais bien. Évidemment, je lui réponds : “Oui Boss, merci !”

(La suite du weekend un autre jour. N’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires !)

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