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Premier épisode

Weekend avec mon Boss | 2

[…] Le temps qu’il revienne, je commence à me remettre un peu de mes émotions. Il me regarde, me sourit de son plus beau sourire de Sadique content de lui, et s’assois dans son fauteuil, les pieds sur moi, en me laissant recouvrer mes esprits. Il finit par me tendre une bière, et me demander si je vais bien. Évidemment, je lui réponds : « Oui Boss, merci ! »

J’ai l’autorisation d’enlever la cagoule, et je bois ma bière à ses pieds. Lui bois la sienne en matant son tél., les pieds sur moi. D’un coup l’ordre claque : « finis ta bière ». Je m’exécute direct puis il m’ordonne d’aller chercher le pack de six bières entier qui est au frais. Je fais l’aller-retour jusqu’au frigo à 4 pattes, et reviens à ses pieds en poussant le pack : « Voici Boss ».
Il ne répond pas, se lève, va chercher quelque chose dans un placard dans une autre pièce.
« Quand je reviens, je veux te voir debout, totalement à poil, mains sur la tête. »
Aaargh merde ! Je suis en débardeur et short latex… C’est super galère à enlever ! Et là j’ai intérêt de me dépêcher parce que je me doute qu’il ne va pas en avoir pour longtemps… Je m’exécute aussi vite que possible, mais ça colle et je me casse la gueule en voulant aller trop vite… Pfff ! Je continue du plus vite que je peux, et je finis enfin par arriver à enlever le débardeur. Je me mets en position et lève les yeux vers l’autre pièce par réflexe pour voir s’il va arriver bientôt. Et merde… Il est appuyé dans l’encadrement de la porte, je ne sais même pas depuis quand, et me regarde galérer comme un débile… Il doit vraiment penser que je suis une véritable sous-merde complètement empotée… Je rebaisse tout de suite les yeux et regarde mes pieds.

Il avance, me choppe le visage d’une main en appuyant son pouce et son index à fond sur chacune de mes joues, et m’oblige à relever la tête et à le regarder : « Alors bâtard ? Pas capable d’être prêt à temps alors que je te donne l’ordre le plus simple du monde ? Tu le fais exprès pour me faire attendre ?! Tu penses qu’une sous-race comme toi peut m’imposer quoi que ce soit ? »
Merde, je l’ai vraiment soulé, et il me fait un peu flipper quand il a l’air vénère comme ça…
« Et en plus, tu lèves les yeux sans permission à la fin et me regardes avec ton air de benêt ?! Pauvre merde… Je vais te punir pour ça, tu te rappelleras bien les règles après ça tu vas voir ! »
Il me jette à la gueule un truc en néoprène qu’il vient de ramener et m’ordonne de l’enfiler.

Je regarde le truc… Le tourne dans tous les sens en cherchant ce que c’est et comment ça se met : c’est un sleep sack ! (Un genre de duvet en néoprène très serré). Je n’en ai jamais vu en vrai… Je ne savais même pas qu’il en avait un alors qu’on se voit depuis des années… Ce mec est décidément plein de ressources ! Je vais être complètement saucissonné là-dedans, mais cette simple idée rebooste mon excitation alors que je pensais qu’on allait terminer le plan (avec ce qu’il venait de me mettre…) Ce n’est manifestement pas ce qu’il a en tête.

Je me mets dedans, et il m’aide à l’enfiler à la fin pour passer les épaules. Je vois qu’il rebande bien dans son jog, ça me plait grave de l’exciter à nouveau et j’ai envie de tout faire pour le satisfaire… Il me dit de bien mettre mes mains dans les poches intérieures prévues à cet effet. Et il m’aide à m’allonger au centre de la bâche au sol puis ferme la fermeture éclair sur toute la longueur…
Je ne peux plus du tout bouger et je suis compressé sur chaque centimètre carré de peau… Je suis complètement contraint, et ma queue qui se réveille est vite arrêtée par la cage de chasteté… Je suis décidément 100% à sa dispo…

Il me retourne sur le ventre d’un coup de pied, et ouvre en grand une fermeture éclair au niveau de mon cul. « Alors tu voulais faire le malin ? Voilà ta punition ! Je vais te rappeler qui est le Boss ici »
Et il me claque bien fort une fesse avec un paddle en cuir. Je gueule, plus de surprise que de douleur. Enfin, il n’y va pas de main morte quand même… En plus il sait que je suis nul pour supporter les fessées… Et bim, une 2e, et une 3e… Wow ça me chauffe déjà tellement… Je me tortille comme je peux à chaque coup… Mais enfermé dans le sleep sack, je ne pourrai jamais lui échapper… Et en même temps, c’est trop bon.

Lui continue à frapper, et fait exprès de ne pas être soft dans ses coups… Il m’a à lui pour le week-end entier, il n’en a rien à foutre si ça marque un peu… Et il jubile de me voir bloqué, autant offert à ses envies. Il veut vraiment me dresser et profiter de ces quelques jours pour aller un cran plus loin dans mon dressage, et ça passera aussi par des choses que j’aurais plus de mal à encaisser comme les fessées. Rien à foutre, le principal c’est qu’après ça, je ne me rebelle pas du week-end et que je sois un bon bâtard bien docile et obéissant à chaque instant... Il répartit les coups entre chaque fesse, et frappe exprès à un rythme irrégulier pour faire monter ma crainte entre chaque coup. Il m’ordonne parfois de la fermer, mais honnêtement je ne peux pas… Je sursaute… Je couine et je chouine, et j’ai l’impression de n’avoir jamais eu aussi chaud de ma vie.
« Tu en as pris combien ? »
Paniqué, je réponds : « je… je ne sais pas Boss… Je suis désolé je n’ai pas compté »
« Putain, mais t’es con ou quoi ?! Tant pis pour toi on recommence et tu en reprends une quinzaine ! » Et il recommence direct…
Je ne sais même pas si je dois compter à voix haute ou dans ma tête, mais dans le doute, je dis au moment du coup « un Boss… Deux Boss… Trois BOSS » … Je ne sais pas si je tiendrai… Il y va assez fort… Il voit que je galère un peu, mais rien n’y fait :
« Tu prendras tes 15 coups alors tais-toi maintenant, je veux plus t’entendre. La prochaine fois tu te tiendras à carreau ! » Et il continue…

Enfin, le 15e coup part et je me sens soulagé, et exténué… Mon cul est méga chaud, et j’ai quelques larmes qui ont coulé sur le visage… Je chuchote un « Merci Boss » pour ne pas m’en prendre une série de plus si jamais je ne lui dis pas… Et il referme la fermeture éclair de derrière… Outch ! Le frottement du néoprène sur mes fesses bien rouge est encore plus hard… Mais je serre les dents pour ne pas m’en prendre une, alors qu’il me fait à nouveau rouler sur le dos.

Il me bande les yeux, et me met un nouveau bâillon que je n’avais jamais vu non plus : c’est un tuyau qui rentre en bouche, assez profond pour que ce soit bien gênant, avec une plaque en caoutchouc qui se plaque sur la bouche. Il le sert correctement pour qu’il soit bien hermétiquement contre ma bouche et que je ne puisse pas le faire bouger. Déglutir n’est pas facile avec ce morceau de tuyau dans la bouche, mais ça va encore. Il fixe à l’extérieur du bâillon un autre bout de tuyau et le relie à un entonnoir. Il a rapproché son fauteuil à la hauteur de ma tête, et s’est rassis en se servant de moi comme repose-pied. Il attrape l’entonnoir et le maintien entre ses jambes, puis attrape une des bières qu’il m’a fait ramener. Il commence tout doucement à verser de la bière dans l’entonnoir… Je suis super surpris, et manque de m’étouffer… L’ordre claque « Concentre-toi et bois tout sous-merde ! N’essaye pas de me décevoir à nouveau. Soit le bon bâtard que je serai fier de loper !». Puis il continue à verser la bière petit à petit.

Moi j’avale aussi vite que possible, mais ce n’est pas simple. Parfois quand je n’arrive pas à avaler assez vite, ma bouche se remplit encore plus et c’est 2 fois plus galère de déglutir… Mais impossible d’ouvrir la bouche et d’en faire couler à l’extérieur : il serait méga vénère, et j’ai le cul bien assez chaud pour ne pas avoir envie de reprendre une raclée ! Et en plus je ne sais même pas si ce serait possible avec ce bâillon. À la fin de la première bière, il se lève… Je respire un peu pendant cette pause improvisée !
« Elles m’ont l’air un peu chaudes ces bières… Je vais te mettre des glaçons "spécial bâtard" dans l’entonnoir… Mes potes ont tous accepté de m’aider à t’en préparer : tu vas pouvoir te rafraichir à la bière pisseuse de bons mecs Alpha… T’es content hein ?! Enfin un bon moyen de te formater à la pisse que tu mérites sans que tu puisses faire la chochotte »

La pisse, c’est un des trips avec lequel j’ai le plus de mal. Rien que l’idée me file envie de gerber… Et il le sait… Il a déjà essayé, et à chaque fois mon dégout a pris le dessus et je n’ai pas réussi à passer le cap… Je flippe un peu… Je ne peux absolument pas bouger, et il n’a jamais semblé aussi déterminé que ce soir (quand on voit les fessées qu’il m’a mises…)
Il met les glaçons dans l’entonnoir en faisant bien en sorte que j’entende, et reverse de la bière…
« Allez avale, avale petit bâtard… Ça a le goût de bière, mais tu sais que c’est surtout ma pisse et celle de mes potes… C’est tout ce que tu mérites… Ne fais pas le dégouté, ça a le goût de bière ! Passe le cap et abandonne, de toute façon je ne lâcherai rien et tu en boiras autant que j’ai décidé ! ». Et il continue à verser… Il en est à la fin de la troisième bière, et il a raison : j’ai dépassé le dégout du début et je continue de me concentrer à boire pour pas m’étouffer… Je commence à plus avoir soif du tout et à remuer un peu pour tenter de lui envoyer un signal…
« Tu galères ma pute ? Vas-y remue toi si tu veux ! Dans ton état tu n’iras pas loin. Je veux te marquer de l’intérieur à la pisse comme les sous-races de ton espèce méritent. Depuis le temps que tu me refuses de boire directement à la source, ce soir je vais te faire regretter de m’avoir résisté. »

Et il continue à ouvrir une bière et à verser dans l’entonnoir plein de glaçons de pisse. Je n’ai plus soif du tout, je dois continuer à me concentrer sur le fait d’avaler alors que je suis déjà rempli de bière. Je ne peux pas le voir, mais j’ai l’impression que mon ventre est tendu… J’y réfléchis et finalement ma bouche se remplit trop et je m’étrangle à moitié. Je tousse, ça en met un peu partout et j’en ai plein le nez, le visage et ça me coule sur les joues et dans le cou… Mon Boss s’est arrêté de verser et m’écrase un pied en travers de la gueule en me disant :
« Écoute-moi bien bâtard : je crois que tu n’as pas compris qui commande ici. Fait oui de la tête pour me dire que tu m’écoutes attentivement ! Dépêche ! »
J’ai son pied sur le nez et les yeux, et je bouge un peu la tête de haut en bas pour lui dire que je l’écoute…

« Ne m’oblige pas à te fesser encore. Tu sais que je le ferai, et que ce ne sera pas d’une façon agréable. Rappelle-toi pourquoi tu es là et ce que tu es ! Je t’ai prévenu que tu passerais le week-end à me servir et me subir pour mon seul plaisir. Et c’est ce qu’il va se passer ! Alors si je veux que tu boives, tu bois ! C’est très important que tu prennes un max de pisse vu ton rang de sous-merde. Les raclures comme toi mériteraient de baigner dedans en permanence ! Alors, obéis et rebois correctement ! »

Et il reverse dans l’entonnoir. Ça fait du bien, il a remplacé la bière par de l’eau cette fois-ci. Ça me rafraichit un peu bien que je n’aie vraiment pas soif. En revanche, on sent bien plus le goût de la pisse. Je suis tellement concentré sur le fait que je n’ai pas soif et que je dois continuer de boire que je ne fais pas vraiment attention au goût. En fait, je suis vraiment en mauvaise posture, mais je réalise que cette situation commence sérieusement à m’exciter… Mon Boss est diabolique, en plus de la pisse, le vrai sadisme de son idée réside dans le fait de boire beaucoup plus que besoin. Ce n’est pas facile du tout, mais je n’ai pas d’autre choix que de continuer à avaler si je ne veux pas le décevoir.

Bien que son rythme soit plus lent maintenant, il est reparti sur la bière et continue à me faire avaler… Lui est très excité. Il est patient dans certaines de ses perversions, et là il prend vraiment un pied monumental de m’infliger ça. Puis il finit par s’arrêter. Le pack de bière y est passé, en plus d’une grande bouteille d’eau. Je ressens un soulagement absolu quand je me rends compte qu’il ne va plus continuer à verser du liquide… Je me sens rempli comme jamais. Mon ventre est tendu, et j’ai de roter…

Mon Boss se lève, m’enlève le bandeau des yeux et le bâillon, et remplace par la cagoule en tissu avec juste un trou pour la bouche. Il vient alors se mettre debout à côté de moi, et pose un pied sur mon ventre. Cette pression est dure à supporter compte tenu de tout ce que j’ai bu… Et voilà qu’il vient mettre son second pied et qu’il pèse de tout son poids sur mon ventre et mon bas-ventre… Je souffle, râle, mais je kiff à fond…
« Aaaaaah bâtard, tu m’excites grave quand tu galères un peu ! »

Enfin il redescend, se dirige vers une autre pièce, et au passage éteint la lumière en balançant un « Bonne nuit connard ! ».
Whaaaaat ?! Putain il blague là ?! Il ne va pas me laisser comme ça jusqu’à demain ?! Faut que j’aille gerber, ou pisser, ou les deux en même temps je sais même plus… Non ça doit être une feinte, il va revenir. Je tends l’oreille et je l’entends à la salle de bain. Il va revenir ensuite me voir c’est sûr. Puis je l’entends aller dans sa chambre… Puis plus rien… Je tente de l’appeler timidement « Boss ? » … Rien. Je retente plus fort « Booooss ? ». À merde j’entends qu’il bouge dans la chambre et qu’il vient. Merde merde merde pourquoi je l’appelle déjà ? Il va râler que je l’ennuie encore c’est sûr… Je l’entends qui s’approche rapidement… Et avant même que j’aie le temps de murmurer quoi que ce soit, je me prends une belle baffe dans la gueule… « Qu’est-ce qu’il y a ?! » Bim ! Une autre baffe sur l’autre joue. « Alors, pourquoi tu me déranges ? Ton Boss va dormir peinard et toi tu l’emmerdes… Vas-y parle, tu as quoi là ?! »
Je suis à moitié sonné et je ne sais plus du tout quoi lui dire… Je finis par murmurer un « Pardon Boss. Faut que j’aille pisser Boss… »
« Tout ça pour ça, rien à foutre, t’as qu’à pisser comme t’es là… Ça te fera bien mariner dedans, c’est ta place ! Maintenant tais-toi, à part pour un vrai souci, j’veux plus t’entendre jusqu’à demain ! Et apprécie la chance que tu as d’avoir un Boss comme moi, qui prend le temps de te remettre à ta place. Au rythme où tu me soules, ça ne risque pas de durer et tu retourneras miauler sur Recon pour retrouver un Mâle Alpha qui accepte de perdre son temps avec toi ! ». Et il se barre, non sans m’avoir marché un p’tit coup sur le ventre.

Il a tellement raison… J’ai cherché tout ce qui m’arrive, et je prends un pied incroyable… Je suis mal comme tout, mais putain je réalise que c’est un méga kiff ce plan…

Ça me fait une peu me détendre et je reprends un peu le contrôle de moi-même. Je suis un peu bourré avec toutes ces bières et je ne sais pas trop si ça m’aide ou pas. En tous cas je m’écoute un peu moins… Cependant je ne vais jamais tenir toute la nuit sans pisser ! Ma vessie est prête à exploser là. Je tergiverse et tente de me retenir un bon moment en me tortillant comme un débile dans ma double peau, en me disant que je risque d’abimer le néoprène du sleep sack de mon Boss… Et finalement sans plus pouvoir me contrôler, je finis par me lâcher et inonder le sleep sack de litres de pisse. Je ne peux plus m’arrêter et évacue en continu pendant de longues minutes. Le néoprène est tout imbibé, ça sent la pisse, et comme je suis pompette je m’égare une seconde en me rappelant avec soulagement de la bâche de protection sous moi : au moins je ne vais pas pourrir son parquet tout neuf… Mon Boss avait dû y penser : putain il est trop fort… Je le kiff trop… Je ne le mérite surement pas et il a raison d’être dur et de me dresser…

Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est, je nage dans la pisse, et je continue régulièrement de me soulager dans le sleep sack, et je finis tant bien que mal par m’endormir, bien à ma place d’inférieur, à mariner dans ma pisse, elle-même faite de pisse recyclée de mon Boss et ses potes…

(La suite du week-end un autre jour. N’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires !)

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