Chapitre 1
Pendant les dernières vacances, je suis parti avec mes parents dans un hameau à la campagne pour quelques jours. Cela faisait longtemps que nous n'étions pas partis en vacances ensemble. En effet, dès mes 18 ans, je suis parti étudié a Paris mais je reviens tout de même une semaine pendant les grandes vacances. Pourtant ma mère voulais qu'on renoue des liens forts. Car mes parents et moi ne sommes pas très proches. Mon père est clairement homophobe et ma mère ne comprends pas qu'il existe autre chose sur la sainte hétérosexualité. Cela ne m'a pas empêché de coucher avec quelques mecs mais sans rencontres extraordinaires. Cela les énerve que je ne ramène pas de fille à la maison mais j'essaie de temporiser. Quand au hameau, pas de monuments à visiter et une connexion internet facillante me faisait douter de la qualité des vacances à venir. Les premiers jours furent très long, la fenêtre de ma chambre donnait sur la fenêtre de la maison à côté, fermée par des volets, et l'excursion autour du hameau avait vite été faite, les promenades se limitant à un même parcours, répétitif.
Le troisième jour, cependant, un couple arriva dans la maison à côté de la nôtre. La femme était enceinte et tout deux avaient l'air assez fatigué. Mon père leur proposa de se joindre à nous pour nos balades hebdomadaires mais la jeune femme ne pouvait pas marcher et se contenterai de rester sur le fauteuil devant la maison pour profiter de l'air. En revanche, Paul, le futur papa, accepta avec plaisir. Ma mère proposa de rester en compagnie de Sarah et le lendemain matin, nous partîmes donc tous les trois pour une balade matinale. Mon père et Paul parlaient avec animation et je me contentait de marcher derrière. La conversation dérivait lentement sur le sexe et mon père posa soudainement la question.
" - Mais du coup Paul, avec ta femme, pour le sexe ça doit être compliqué ?
- Et bien au début de sa grossesse, Sarah avait une grosse libido et on le faisais pratiquement tous les jours. Pour moi c'était le paradis. Mais au bout de quatres mois, elle n'a pas voulu que je la touche. Alors je me branle de temps en temps mais c'est vrai que je suis assez frustré en ce moment.
- Ouais je comprends, c'était pareil comme quand ma femme était enceinte. Abstinence pendant 4 mois. Je peux te dire que quand le petit est né, on en a bien profité."
Et la Paul se retourne vers moi et me demande :
"- Et toi alors une petite copine ?
- Je ...
- Tu rigoles ! Je serai mort avant qu'il ne ramène une fille dans son lit ! Je me demande si il préfère pas les mecs ..."
Je préfère m'effacer. Mon père lance souvent des piques comme ça mais pour lui, c'est inconcevable que son fils puisse être gay. Ils reprennent alors leur discussion et je me fait discret à l'arrière. Après la marche, je décide de prendre une douche. Une fois sorti, je met mes écouteurs et commence à danser nu dans ma chambre. J'adore cette sensation de mouillé qui sèche a l'air mais cette fois ci, c'est différent ... J'ai l'impression d'être épié. Je tourne la tête vers la fenêtre et vois Paul torse nu qui me mate en se touchant la paquet. Je me dépêche de fermer les rideaux et de m'habiller. Je bande cependant au maximun. Paul n'est pas très musclé mais sa taille (1m90 je dirais) et sa légère musculature le rend encore plus grand, plus impressionnant. J'avais l'impression d'être en train de danser pour son plaisir. Et le pire, c'est que j'ai adoré ça. Y repenser fais tressaillir ma bite, comme si elle répondait à l'appel d'un mâle. Le lendemain, mon père, Paul et moi partons ensemble pour une autre balade. Mais au bout de cinq minutes, mon père s'arrête et dis qu'il a oublié ses jumelles. Il nous dit de continuer et qui nous rattrapera.
Paul et moi continuons donc à marcher côté à côte sans que j'arrive à prendre la parole. Il brise ainsi le silence :
"- Tu danses bien tu sais, j'aimerais bien avoir le droit à une autre séance aussi dénudée ...
- Mais je ... Enfin, tu vas être papa ...
- N'en fait pas tout une histoire, je l'ai déjà trompé avant, j'ai même eu un enfant avec une australienne il y a deux ans.
- Mais tu ne restes pas dans la même chambre de ta femme ? Tu ne l'aimes pas ?
- Si bien sûr, elle a un cul magnifique et elle cuisine bien mais le lit de la chambre conjugale est trop petit pour nous deux. Mais tu sais, dès que je vois une personne attirante, je ne peux m'empêcher de vouloir la marquer, de la posséder. Et visiblement, ça te plaît ce que je te dis ...
Je remarque alors que je bande et que ma bite est redressée et sort légèrement de mon pantalon.
À ce moment, mon père arrive et je bégaie un truc du style, besoin pipi, et je file en direction de la maison. Je cours et aux toilettes et me branle frénétiquement. Au bout de quelques minutes, j'explose et me nettoie rapidement. Le midi, nous sommes invités chez Paul et Sarah pour le déjeuner. Je suis en face de Paul et je sens son pied pendant le repas qui vient me caresser la bite et je dois faire attention pour me pas faire de sons. Au bout du repas, Paul déclare qu'il est fatigué et qu'il va se reposer. On commence une partie de cartes mais impossible de me concentrer à cause de l'excitation. Je quitte donc la table en repensant aux paroles du matin. J'ai envie à ce moment là, qu'il me possède, qu'il me marque. Alors je prends une douche, ressort un peu mouillé, retourne dans ma chambre, ouvre grand la fenêtre et me met à danser.
Paul, dont le lit est en face de la fenêtre, ouvre son pantalon et se met à se branler. Sa bite, à son image, n'est pas très épaisse mais extraordinairement longue. Je bande alors au maximum. Pendant que je danse et lui se branle. Deux mouvements coordonnées pour le plaisir. Tout à coup, il se leve et enjambe la fenetre de sa maison puis escalade la fenêtre de ma chambre. Il est nu dans ma chambre et me dis de me mettre à genoux en chuchotant. Je m'exécute et ouvre la bouche pour accueillir son immense membre. Comme je me doutais, je n'arrive pas à le prendre en entier dans ma bouche mais je m'applique comme je peux et je vois à sa tête que je m'y prends pas trop mal. Soudain, il prend ma tête et essaie d'avancer plus loin. Ne pouvant plus respirer, je pousse sur ses jambes mais je ne peux pas me reculer. Je pousse de toutes mes forces mais je sens mes forces qui me quittent. Au moment où je vais tomber dans les pommes, il libère ma bouche en m'éjaculant dessus. Je tombe par terre, la bouche pleine de bave et de sperme.
"Voilà, c'est comme ça que tu me plais le plus."
Pratiquement inerte, il me porte sur le lit et commence à me lécher le cul.
" - Mais, tu n'as pas fini ?
- Tu plaisantes, après 4 mois d'abstinence, je vais te défoncer !"
Il rentre alors a bite dans mon cul d'un coup. Je mords l'oreiller pour ne pas hurler. Sa bite lubrifiée par ma bave et son sperme, il rentre facilement sa bite et il en profite. Moi, je ne suis qu'une chose à demi consciente et je ne suis que sensations. J'ai l'impression de tout ressentir. Je sens fort sa bite en moi. Je sens qu'il jouis à nouveau en moi. J'entends un son puis son départ précipité. Je tombe alors dans les pommes. Quand je me réveille, je suis tout seul et c'est le soir. Je regarde mon téléphone et je vois un message de ma mère : Sarah a accouché d'une petite fille cette après midi. Ton père et moi les avons accompagnés. Comme tu semblais dormir, nous ne t'avons pas réveillé. Il y a des pâtes au frigo.
Antoine
antoine.mia78@gmail.com
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