Marc, mon beau père

Chapitre 1

Cette histoire s'est passée il y a longtemps.

A ce moment la, je venais d'avoir 18 ans.

Ma mère m'avait eu très jeune, à 18 ans avec son copain de l'époque qui s'était barré dès qu'il avait su que ma mère était enceinte.

Elle est restée célibataire pendant longtemps afin de se concentrer sur son travail et me permettre d'avoir une vie correcte mais il y a 1 an maintenant, elle a rencontré un homme qui lui plaît. Ça a été un renouveau pour ma mère, je la sentais plus joyeuse, elle a recommencé à se maquiller et a s'habiller sexy et c'est tout ce qui m'importait.

Ainsi, lorsque qu'elle m'a annoncé il y a quelque mois qu'on allait emménager chez Marc, son nouveau copain, j'ai rapidement accepté surtout qu'il habite dans une immense maison avec un grand jardin. Mais surtout parce qu'il est magnifique. Il est brun au yeux bleus, fait 1 m 90, est très musclé et a un torse et des jambes très poilus. (Ce qui est important pour moi)

Ma mère ne sais pas que je suis gay et surtout que je craque sur son copain mais comme son bonheur est très important pour moi, j'essaie de réprimer mes sentiments.

Quand je lai rencontré, il m'a tout de suite mis en confiance et m'a rassuré. Ma mère lui avait parlé de mon rapport difficile avec la figure paternelle et il étais prêt à faire des efforts pour que je l'accepte en tant que beau père. Et le pire c'est que j'ai commencé à le considérer comme mon père, bien plus que mon père biologique ce qui rendait des rapports avec lui encore plus difficiles.

Un vendredi soir, alors que je rentrais de l'université en velo, il s'est mis à pleuvoir des cordes. Le temps que je rentre, j'étais trempé jusqu'aux os et j'ai tout de suite enlevé mes vêtements pour les étendre et je suis monté à l'étage en caleçon avec l'intention de prendre un long bain chaud. En passant devant la chambre de Marc et de ma mère, j'ai entendu des gémissements. Comme la porte etait entrouverte, je jette un oeil et je vois Marc prendre ma mère en levrette dans la direction de la porte. Ma mère a la tête dans le lit et ne voit rien mais pendant un bref instant, j'ai cru que Marc m'avait vu. Je me dépêche de partir et j'entends provenir de la chambre

"T'aimes ça, salope !" et un bruit de fessée. En pensant que c'est peut être a moi qu'il parle, je me met à bander dans mon caleçon et me dépêche d'entrer dans la salle de bain.

Un autre point positif de vivre chez Marc, c'est qu'il possède une immense baignoire.

Je fais couler l'eau et je me laisse tomber dans le bain et je tombe dans un semi sommeil.

Quelque temps plus tard, j'entends qu'on entre dans la salle de bain et je voit Marc en caleçon. "Ta mère pars chez une copine et y restera tout le weekend, on sera tout les deux les deux prochains jours. Je me suis crevé, ça te dérange si je viens dans le bain avec toi ?"

Je suis bouche bée par le spectacle devant mes yeux et je me contente de hocher la tête en m'enfoncant dans l'eau pour cacher mon érection et le rouge qui m'est monté aux joues.

Il rentre alors dans la baignoire qui laisse largement de la place pour deux personnes.

" - Alors, comment s'est passé ta journée ?

- Ça va, juste sur le retour je me suis pris la pluie, c'était hyper dur de voir la route et j'avais l'impression que la pluie pénétrait ma peau à travers mes vêtements. En plus vu que ma selle était déjà mouillée j'avais mon cul trempée dès le début du trajet."

Je regrettais aussitôt ces paroles et je m'enfoncais a nouveau dans l'eau pour cacher mon malaise.

Marc le remarqua et me proposa de faire un jeu. Si il faut savoir quelque chose sur moi, c'est que j'adore les jeux, surtout si il y a des enjeux. Je suis très stratégique et j'aime gagner.

" D'accord mais le perdant devra faire à manger, la vaisselle et accéder à toutes les demandes du gagnant pour la soirée, comme a l'hôtel !"

Je sors alors des cartes waterproof du meuble a côté de moi et je demande à quel jeu veux il jouer.

Comme tu veux, me répond il.

Je choisis alors mon jeu préféré, moi qui suis fatigué, je vais pouvoir me faire servir toute la soirée !

Sauf que j'avais oublié quelque chose, c'est que Marc est aussi compétiteur que moi. Après une bataille acharnée, je perds finalement à une carte près. Je suis vert de rage et je vois Marc sourire d'un oeil malicieux.

« Bon, vu que je suis à l’hôtel ce soir, tu va commencer par me vouvoyer et par m'apporter une serviette. Tu va me sécher tout le corps mais je te fais grâce de l’entrejambe. »

Je m’extirpe péniblement du bain et vais lui chercher une serviette pendant que lui aussi sort du bain.

Mais comment un homme peut il être aussi beau ? Je me mets à genoux et me concentre pour ne pas bander pendant que je lui sèche ses pecs, ses abdos parfaitement dessinés, ses jambes et son dos. Mais je suis gêné par sa bite, elle semble énorme même au repos et je dois faire attention pour ne pas la toucher tout en l'essuyant complètement. J'ai l'impression dans cette position qu'il me domine complètement.

« - Bon, j'ai une envie de spaghettis bolognaises ce soir …

- Bien monsieur, je m'en occupe tout de suite. »

Je sors de la salle de bain, m'habille en vitesse et descend dans la cuisine et commence a préparer a manger.

Quinze minutes plus tard, il descend à son tour vêtu d'un simple jogging gris et tout est prêt.

Nous mangeons dans le silence puis il propose de regarder la télé.

Bien sûr, lui regarde pendant que je fais la vaisselle et nettoie la table.

"- Tient ! Apporte moi une bière, j'ai soif.

- Bien monsieur "

Je m'installe à mon tour devant la télé après lui avoir donné sa bière.

Plusieurs fois pendant le programme je suis obligé d'aller faire des allés retour pour lui chercher une bière, son chargeur de téléphone, une part de gâteau au frigo ...

Vers 23 h, après trois bières chacun, je suis totalement soul et jete des regards très peu discrets au chibre de mon beau père.

"Elle te plaît pas vrai ? me demande Marc, lui aussi un peu bourré. Ben vas y, touche la.

Tant que tu y es, mets toi à genoux entre mes jambes et lèche la a travers mon pantalon."

Je m'exécute maladroitement a cause de l'alcool et je sors la bite de mon beau père de son pantalon désormais trop petit pour maintenir son immense chibre. A vu de nez, il devrait faire 20 cm mais j'ai l'impression qu'il me domine de toute sa hauteur.

"Aller, fait plaisir à ton beau père, enfonce la dans ta bouche ... "

À suivre