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HISTOIRE

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Quand on peut s'entraider.

Encore une histoire fictive, mais assez largement inspirée d'une vidéo porno que j'ai vu récemment et que j'ai bien aimé. Bravo à ceux qui trouveront laquelle c'est, donc avec le titre, le studio de prod et les acteurs.

Je m'ennuie. Je sors d'une longue nuit au boulot avec des collègues tous plus lourds les uns que les autres. Allongé sur mon lit, je regarde la télé sans vraiment écouter. Vers 10h, enfin, mon portable sonne, j'ai reçu un message de Laura, ma meilleure pote. Elle devait mater une série avec son mec mais ils se sont embrouillés et il fait la gueule. Du coup, elle me propose de la rejoindre pour se faire quelques épisodes. J'hésite pas, j'attrape un manteau et je vais chez elle.

J'arrive rapidement, on se fait la bise, elle me dit que Marc, son mec, est dans la chambre et qu'il devrait pas en sortir avant ce soir.

On s'installe dans le canapé, elle allume la télé et lance la série, c'est parti pour deux heures de pleurs et de fusillades ennuyeuses à mourir.

Au moment exact où ça commençait à devenir intéressant, le portable de Laura sonne. C'est une de ses potes, qui lui dit qu'elle s'est fait plaquer. Et Laura, il faut toujours qu'elle aide les gens, c'est plus fort qu'elle, alors elle me laisse là, devant la télé, et je change rapidement de série pour regarder un truc plus intéressant.

– Salut.

Je sursaute, c'est Marc, il est sorti de la chambre.

– Salut, comment tu vas ?

– Bien. Enfin, ça irait mieux si on arrêtait de s'engueuler pour rien avec Laura…

Il soupire et hausse les épaules.

– Et toi, comment ça va ?

– J'ai pas de problèmes de couple, dis-je en riant. Mais c'est chiant d'être tout seul. À part ça, ça va.

Il vient s'installer à côté de moi, je lui laisse un peu de place mais le canapé est pas très grand, on est limité collés l'un à l'autre. On discute de tout et de rien, mais rapidement on revient à parler de Laura et lui, de leurs embrouilles à répétition, des raisons qui les poussent à s'engueuler, et aussi de ce que ça engendre au niveau du couple.

– J'te jure, dit-il, ça doit faire au moins trois mois qu'on a pas vraiment baisé… Elle veut même plus me sucer… Tu te rends compte qu'elle m'a branlé à peine, j'sais pas, peut-être deux fois ces derniers mois, et c'est tout.

– Et genre tu fais comment ? Tu te branles tout seul ?

C'est un peu osé, mais on n'est plus à ça près.

– Même pas, elle veut pas que je le fasse.

– Sérieux ?

– Ouais… Elle dit que si je commence à m'exciter sur d'autres meufs, je vais finir par vouloir aller baiser d'autres chattes.

– Genre elle comprend pas que y'a une différence entre se branler et la tromper ?

– Non… Et c'est chiant parce que moi je suis hyper chaud, et si elle me laissait la toucher de temps en temps, j'aurais peut-être pas envie de me branler.

– Là ça fait combien de temps que t'as pas giclé ?

Il rit, il réfléchit, ça doit faire vraiment longtemps. Le pauvre…

– Ça doit faire un mois environ.

– Ah ouais, quand même…

Je croyais pas que Laura le laisserait comme ça. Autrefois, elle était jamais contre une bonne bite, et au lycée on savait tous qu'elle était pas trop difficile, même moi je l'ai eu un jour.

– Et toi ? demande-t-il.

– Branlette depuis que j'suis célib, mais avec le travail, j'ai pas trop le temps pour le faire.

– Genre ça fait combien de temps pour toi ?

– Ça va faire trois semaines.

– Ah ouais, tes couilles sont presque aussi pleines que les miennes !

On éclate de rire, mais parler de ça me fait commencer à bander. J'hésite à lui proposer un truc, mais j'ai peur qu'il me rejette et qu'après il en parle à Laura. C'est ma meilleure pote depuis qu'on a 7 ans, ça se ferait pas d'essayer de choper son mec. Mais, en même temps, je peux pas le laisser sans gicler, ça aussi ça se fait pas. Alors je me jette à l'eau :

– Ça te dirait qu'on se branle ?

– Sérieux ?

– Bah ouais. On est entre nous, on en a tous les deux besoin, autant en profiter.

Il hésite, j'ai peur qu'il dise non, mais finalement il acquiesce.

– Ok, mais on se touche pas, hein ? C'est chacun sa bite, pas vrai ?

– Ouais logique, pourquoi ? Tu veux me branler ?

Je ris, pas lui, donc j'arrête de rire. Il semble un peu gêné.

– J'ai jamais touché une autre bite que la mienne, je me demande juste ce que ça fait…

Je saute aussitôt sur l'occasion.

– Bon ok, mais à une condition : tu me laisse te branler aussi.

– D'accord.

Ça, c'est fait. Je viens de gagner une branlette par un mec plutôt mignon et bien foutu, en plus de pouvoir le branler aussi.

Toujours gêné, il retire son pantalon et revient s'asseoir en caleçon. Je me lève à mon tour et enlève directement tous mes vêtements, et je me penche en avant pour les ramasser et lui laisser une belle vue sur mon cul.

Je me redresse, il ne peut que voir ma queue bien dure, et je vois évidemment son caleçon tendu, sa bite cherchant désespérément à en sortir.

Il ne l'enlève que quand je retourne à côté de lui, libérant un magnifique sexe d'environ 15 cm, bandé au max et très poilu.

Il hésite à continuer, pas moi, je lui empoigne la bite et commence à le branler, il dit rien et prend à son tour ma queue. Ça se voit qu'il n'a pas l'habitude de secouer un manche, il fait toujours le même mouvement de va-et-vient que tous les mecs connaissent.

On continue encore pendant quelques minutes et, pour l'inciter à diversifier ses mouvements, je tire en arrière son prépuce et masse doucement son gland avec mes doigts, il tressaille.

– Oh putain ! Comment t'as fait ça ??

– J'ai juste caressé ton gland mec, Laura te l'a jamais fait ?

– Pour ça, faudrait qu'elle me touche la bite plus souvent…

C'est triste, il me fait vraiment de la peine.

– Mec, souffle-t-il, tu peux le refaire steuplé ?

Je passe un doigt sur son gland, il tressaille encore plus fortement, renverse sa tête en arrière, son regard se trouble sous l'effet du plaisir tandis que je continue. Il gémit et je le caresse encore et encore, fier et heureux d'être celui qui lui fait découvrir de nouvelles sensations et qui lui montre que se branler c'est pas uniquement faire des mouvements de va-et-vient.

Un peu hésitant, toujours tremblant de plaisir, il me fait la même chose et je gémis. On continue pendant encore plusieurs longues minutes, il s'applique pour me donner du plaisir, moi aussi, et il regarde ma bite avec beaucoup d'intérêt.

– Plus j'te regarde, dit-il, et plus je me dis que si j'étais une meuf, je devrais te sucer.

Aller, je tente le coup.

– Tu sais que y'a pas que les meufs qui sucent ?

– Ouais, mais j'sais pas… J't'avoue que j'ai déjà eu envie d'essayer mais j'ai jamais eu d'occasion.

– Et là, tu crois pas que c'est une occasion ?

On éclate de rire, mais il se reprend rapidement.

– Nan mais t'es le pote de ma meuf, ce serait gênant, non ?

– Bah si tu veux essayer, vas-y.

– Sérieux ? Ça te dérange pas ?

Au contraire, s'il savait.

– Nan vas-y. Crache juste dessus pour que ce soit plus agréable pour moi.

Il se penche au dessus de ma queue, crache dessus et la glisse doucement dans sa bouche, c'est divin.

– Oh ouais vas-y ! Continue, c'est trop bon…

Il libère ma bite, relève la tête et me sourit.

– C'est mieux qu'avec une meuf ?

– En vrai j'sais pas… Ça fait si longtemps que je sais même comment c'était…

Il me reprend en bouche, je me retiens vraiment de jouir tellement c'est bon. Je sens ma queue s'enfoncer un peu plus loin, puis ressortir et retourner encore plus profond dans sa gorge. Il veut me faire une gorge profonde ! Et il y arrive progressivement, c'est juste incroyable.

– Oh putain ! je gémis. Une meuf est jamais allée aussi loin !

Et il continue, m'emmène de plus en plus loin en lui, c'est vraiment le pied ! C'est à croire qu'il est né pour sucer des bites.

Sa tête monte et redescend sur ma bite tandis qu'il se branle doucement en même temps, et je vois qu'il bande bien dur. Il aime ça le coquin !

– Mec, dis-je, doucement sinon je vais juter.

Il ne réagit pas, il continue de me pomper.

– Mec, arrête ou je vais cracher.

Il n'écoute toujours pas, je sens monter la sauce. Je me retire juste avant le point de non-retour, pour éviter de finir trop vite et ne pas pouvoir profiter de lui, mais ça ne lui plaît pas.

– Putain, souffle-t-il, j'étais bien là.

– Et tu vas être encore mieux maintenant.

Il ne comprend pas, je me lève et le prend par le bras pour l'emmener vers la chambre. Là-bas, je le jette sur le lit, me place entre ses cuisses et le regarde en souriant.

– Je vais te montrer ce que ça fait de se faire sucer !

Je prends sa bite au fond de ma gorge du premier coup, lutte contre le haut-le-cœur qui vient me rappeler que j'ai pas sucer une teub depuis des mois et m'applique pour lui donner la meilleure pipe de sa vie.

– Oh ouais… Vas-y mec, continue… Oh c'est trop bon…

Visiblement, il aime ça. Et pour me le montrer, en plus de gémir et de lâcher des morceaux de phrases qu'il peine à finir, il prend ma tête dans ses mains pour m'imprimer un rythme qui lui plaît.

Quand il me laisse respirer, j'en profite pour passer ma langue sur son gland, la faire glisser le long de sa bite, descendre sur ses couilles. J'hésite à essayer de lui bouffer le cul, mais je me dis que c'est peut-être pas son truc vu qu'il a jamais rien fait avec un mec.

Mais c'est finalement lui qui m'encourage à y aller, il appuie sur ma tête pour me faire descendre tandis qu'il relève ses cuisses, libérant l'accès à son petit trou vierge, perdu dans une forêt de poils bruns. Pas d'odeurs, pas de traces, l'endroit est propre.

J'écarte doucement ses fesses avec mes mains, m'offrant une vue dégagée sur mon objectif, puis je fonce, langue en avant, visant le centre de la cible.

Au moment exact où je le touche, Marc sursaute et gémit, alors je continue. Je fais des cercles dans ses poils, d'abord assez larges, puis de plus en plus serrés, jusqu'à revenir sur son trou, tandis qu'il tressaille de plaisir.

Hésitant, je lèche mon index et l'approche doucement en le faisant glisser sur sa peau pour qu'il comprenne ce que je veux faire et, éventuellement, qu'il me dise s'il n'est pas d'accord. Mais il ne dit rien, même quand mon doigt caresse sa rondelle, s'enfonce lentement et ressort, puis revient pour aller un peu plus loin. Si je dois le dépuceler, je tiens à faire ça en douceur, au moins pour qu'il en garde un bon souvenir.

Mon doigt glisse maintenant sans problème dans son cul mais, méfiant, je m'assure que rien d'autre n'en sort, et il est visiblement bien propre.

Je tente d'insérer un deuxième doigt, c'est déjà plus compliqué, le cul de Marc est très étroit, mais il ne me dit pas d'arrêter, alors je continue. À grand renfort de salive, je le doigte lentement et réussis à élargir un peu plus le passage, après de longues minutes, et je l'entends respirer, toujours aussi fortement, en gémissant discrètement.

J'ajoute un troisième doigt et continue, c'est plus difficile, je dois vraiment le lécher pour entrer, mais je finis par y arriver. Je continue de le sucer en même temps, mais maintenant il ne cherche plus à m'imposer quoi que ce soit. Bras derrière sa tête renversée en arrière, yeux fermés, il me laisse totalement libre.

Soudain j'entends la porte d'entrée de l'appart s'ouvrir. Je me fige, incapable de bouger, de retirer de ma bouche la queue de Marc qui ne ramollit pas, alors que la mienne a totalement débandé en une seconde. Les contractions de son cul, en revanche, font sortir mes doigts et ma main pend lourdement au dessus du sol.

Très vite, des pas résonnent vers la chambre, c'est probablement Laura qui revient. Vu comment on est placés, elle va nous griller, on a plus le temps de se rhabiller, c'est trop tard.

– Il est où Tom ?

Je la vois pas dans le couloir, elle n'est pas venue jusqu'à la porte. Marc me regarde, hésite un instant puis prend une grande inspiration avant de répondre.

– Il est parti, il allait quand même pas t'attendre alors que tu l'as laissé là comme un con.

Je manque d'éclater de rire alors que j'ai encore sa bite dans la bouche, mais je redoute que Laura entre pour venir régler ses comptes avec lui.

Je l'entends soupirer et quitte l'appartement, on attend qu'elle ferme bien la porte pour souffler un bon coup, on a bien failli se faire prendre.

– C'était chaud ! me souffle Marc en se redressant.

– Grave, mais imagine si elle revient et qu'elle me voit en train de te pomper…

– En vrai tu fais ça trop bien !

– Ouais bah oublie, c'est trop dangereux.

Il se retourne et caresse son cul en le remuant devant moi.

– Alors qu'est-ce que tu penses de me baiser ?

Je manque de m'étouffer tellement c'est inattendu.

– T'es sérieux ??

– Ouais, j'ai toujours voulu essayer et franchement tu m'excites trop là.

Il se laisse retomber sur le lit, lève les jambes et les écarte, m'offrant une vue directe sur son petit trou. Ma queue tressaille et reprend aussitôt de la vigueur. Je m'approche, pose mon gland à l'entrée de son cul et lève la tête pour le regarder. Il me sourit, je prends ça pour une invitation, alors je pousse tout doucement et ma bite rentre peu à peu en lui.

– Oh putain ! gémit-il.

Je m'enfonce encore plus en lui, il grimace et souffle comme un bœuf, mais il me dit pas d'arrêter, alors je continue lentement. Quand ma queue est entièrement dans son cul, je m'arrête et le laisse s'y adapter, puis quand sa respiration se calme, je commence le va-et-vient.

Ses jambes sur mes épaules, son regard planté dans le mien, ma bite qui coulisse en lui, je le baise au rythme de ses gémissements, il semble adorer ça.

Je plante mon regard dans le sien, ses yeux troublés par le plaisir de la première fois peinent à restés fixés sur les miens, mais je le lâche pas.

Je prends sa bite bien dure dans ma main et la branle doucement, m'arrêtant parfois pour caresser son gland rosé, faire glisser ma main sur son torse imberbe, remonter jusqu'à son épaule et m'y appuyer pour augmenter la puissance de mes coups de rein.

– Vas-y, souffle-t-il, continue ! T'arrête pas !

J'accélère le mouvement, il gémit de plus en plus fort, chasse ma main de sa bite pour s'en occuper lui-même et se branle frénétiquement.

Je sors entièrement ma queue de son cul, il me regarde, surpris, puis je reviens brusquement en lui, il lâche un cri rauque. Je recommence, il tressaille et gémit.

– Retourne-toi, lui dis-je, mets-toi à quatre pattes.

Il me sourit en comprenant que je veux le prendre en levrette, et il se retourne et se met en place en remuant son magnifique cul devant mon visage. J'admire un instant sa rondelle dilatée par ma queue, ce passage bien ouvert qui ne demande qu'à être comblé, et j'y enfonce la totalité de ma bite d'un coup.

– Oh putain ! crache-t-il.

Je ressors entièrement, et je reviens encore, j'adore faire ça, et on dirait bien qu'il adore aussi ! Je le pilonne pendant de longues minutes, mais ce mec a un cul incroyable, bien serré malgré ma salive et mes coups de rein, et la pression exercée par ses muscles sur ma queue me procure des sensations incroyable. Je sens l'orgasme monter, j'en ai plus pour très longtemps avant la fin, mais je sais pas où je dois me finir.

– Tu veux que je gicle où ?

Il me regarde en souriant et articule une réponse entre deux halètements.

– Dans mon cul, remplis-moi !

Je découvre à ce gars un nouveau visage, je l'aurais jamais cru aussi chaud, surtout avec un gars. Et dire que Laura en profite même pas…

Je continue de le pilonner et je sens que je vais pas tarder à jouir, alors j'accélère encore et soudain je sens mon sperme sortir en grands jets pour inonder le cul de Marc. Je me vide en lui pendant de longues secondes, et quand je me dis que le sperme ne peut plus sortir, il sort pourtant encore. Je me demande comment ça peut tenir dans son cul, mais surtout comment ça a pu tenir dans mes couilles !

Et quand enfin ça s'arrête, je me laisse tomber sur Marc dans un long soupir et je reste allongé sur lui quelques instants pour me remettre de ce moment. C'était incroyable.

Quand je me redresse et que je sors ma bite encore assez dure de son fondement, je prends quelques secondes pour admirer mon œuvre, son cul dilaté rempli de mon sperme, et franchement c'est beau.

Je me rends soudain compte que Marc, contrairement à moi, n'a pas encore joui. Il faut tout de suite remédier à ça !

J'attrape sa bite dans mes mains, la branle un peu pour m'assurer qu'elle est bien dure, puis je la suce comme un affamé. L'effet est immédiat, aussitôt Marc tressaille, se redresse et m'avertit de la fin imminente :

– J'vais juter mec !

J'ai juste le temps de m'éloigner avant que son sperme sorte en quantité incroyable. Visiblement, il disait vrai, il avait les couilles bien pleines. Les premiers jets, surpuissants, vont s'écraser jusque sur le mur, un bon mètre derrière la tête de Marc, et les suivants vont de moins en moins loin. L'un atterrit sur le lit, à seulement seulement quelques centimètres de son visage, puis un autre entre ses tétons, puis sur son ventre, pour finalement sortir du gland et glisser le long de sa queue.

Il lui faut à lui aussi quelques minutes pour reprendre ses esprits après cet orgasme apparemment très intense, et il relève la tête quand il retrouve enfin une respiration stable. Alors il regarde le résultat de son éjaculation. Il étale son sperme sur son torse, joue avec quelques grumeaux épais, le regard vide, l'air pensif. Il pense peut-être à Laura, moi aussi je commence à penser à elle, et à ce qu'elle va dire si elle découvre ce qui s'est passé.

Marc se reprend brusquement et me fait un grand sourire. Puis il caresse ses fesses, glisse ses doigts dans son cul et éclate de rire.

– Putain mec, j'ai le cul éclaté !

Il ressort ses doigts pleins de sperme et les regarde en souriant.

– J'aurais jamais cru que je pourrais autant kiffer ça ! Tu te rends compte que ça fait des années que je prends pas de plaisir avec des meufs alors que toi tu m'as fait crier comme jamais ?

– Ravi de t'avoir ouvert les yeux.

– Pas que les yeux, hein !

On se marre bien, puis on se rhabille quand on entend le scooter de Laura en bas de l'immeuble. Quand elle rentre dans l'appart, je suis dans le canapé, Marc dans la chambre, comme avant qu'elle parte.

– T'es revenu ? demande-t-elle.

– J'avais oublié mon portable.

Elle vient me faire une bise, mais s'arrête pour sentir mon odeur.

– Tu sens la sueur, t'as couru ?

– Ouais, j'attendais un appel important. Mais du coup je vais y aller, faut que je passe acheter un truc à bouffer pour ce soir.

– Ça marche, à la prochaine.

En bas, dehors, je lève la tête pour regarder la fenêtre de l'appart de Laura, et j'y vois Marc, qui me salue d'un geste de la main, et je souris. C'est vrai, c'est pas cool de se taper le mec de sa pote, mais il avait besoin d'aide. Moi aussi d'ailleurs. Alors, quand on peut s'entraider…

Voilà, j'espère que ça t'a plu, n'hésite surtout pas à me dire ce que t'en as pensé. Certains lecteurs m'ont reproché des passages trop longs avant le départ des choses sérieuses, alors cette fois j'ai essayé de faire juste le minimum pour poser le contexte sans devenir lourd.

Pour une prochaine histoire, je suis toujours à la recherche d'un homme qui porte l'uniforme, mais par pitié arrêtez les fakes, c'est grillé direct...

Baptiste

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