Mon premier texte semble avoir beaucoup plu vu qu'il s'est retrouvé en Top histoires, alors en voilà un nouveau, toujours entièrement fictif. Bonne lecture.
Désolé si je fais un peu la gueule aujourd'hui, mais mon appart a cramé. Ou plutôt, une partie, principalement ma chambre et ma penderie. J'ai donc plus beaucoup de vêtements, juste un ou deux pantalons, caleçons et T-shirt qui pas trop endommagés par le feu.
Après avoir retiré un peu d'argent, je rejoins un magasin conseillé par Matthieu, un pote qui s'y fournit et dont les caleçons sont plutôt pas mal. T'excites pas, j'ai dit que les caleçons étaient pas mal, j'ai pas parlé de ce qu'il mettait dedans. Je suis gay, certes, mais c'est pas une raison.
À l'intérieur du bâtiment, je suis surpris de voir autant de monde. Y'a plusieurs rayons, des présentoirs contre les murs, tout ça offrant à ma vue différents types de sous-vêtements. L'endroit n'est spécialisé que dans ce domaine et exclusivement pour les hommes. J'imagine évidemment que beaucoup de gays viennent se servir ici, mais je vois aussi pas mal de couple hétéros qui se promènent pour trouver un truc qui irait bien à Monsieur.
Au début, je me dis que Matthieu m'a envoyé dans une espèce de sex-shop axé sur les sous-vêtements, mais finalement je vois assez peu de trucs vraiment fait pour le sexe.
Je regarde dans le premier rayon, c'est des slips, je passe au deuxième. J'aime que ma bite soit maintenue mais je supporte pas les slips, j'ai mal vécu mon enfance avec le fameux moule-bite qui laissait bien souvent dépasser les poils.
– Je peux vous aider ?
Je me retourne, un vendeur me regarde avec son sourire hypocrite, l'air de dire « quelle merde trop chère je vais bien pouvoir te vendre ? », alors je me montre plutôt méfiant.
Il me pose quelques questions pour comprendre ce que je veux, donc des vêtements pour tous les jours, et il commence par me montrer un caleçon banal, que je rejette. Il m'en propose encore un autre, puis un autre et encore un autre, mais rien ne me plaît, les motifs sont pas très attrayants, et d'autres n'ont aucune originalité.
Je refuse tout ce qu'il me montre pendant encore plusieurs minutes, il est de moins enthousiaste quand il prend un produit sur un rayon et il s'impatiente rapidement.
– Écoutez Monsieur, me dit-il finalement, j'ai beaucoup de travail et peu de temps. Excusez-moi.
– Attendez !
Il me regarde fixement, puis fait signe d'attendre aux clients, et je m'approche pour lui parler.
– J'ai plus d'habits, tout a cramé pendant un incendie chez moi.
Il me regarde de haut en bas, hésite un instant puis soupire longuement.
– J'ai beaucoup de travail. Repassez ce soir vers 18 heures, j'aurais un peu plus de temps pour vous.
Et il me laisse tout seul comme ça.
Le soir venu…
J'arrive devant le magasin avec une impression de déjà-vu, mais je remarque cette fois qu'il y a beaucoup moins de monde. À l'intérieur, il reste deux hommes, dont un à la caisse.
Le vendeur me voit, me sourit et me fait signe d'attendre pour qu'il vienne s'occuper de moi. En attendant, je fais un rapide tour dans les rayons.
L'homme à la caisse quitte le bâtiment, le deuxième part rapidement aussi, et il n'y a plus que moi et le vendeur qui vient me voir en souriant. On discute rapidement et je lui explique ma situation, puis il me fait signe de le suivre tandis qu'il attrape plusieurs modèles en rayon.
– Vous allez essayer ces produits, on verra ce que ça donne.
Je n'ose pas lui dire que la plupart de ceux qu'il a pris me plaisent déjà pas.
On arrive au bout des rayons, il a les bras chargés, il pose tout sur un comptoir.
– Mettez-vous en caleçon ?
– Pourquoi ?
J'avoue que je m'attendais pas à ça, mais il semble pas dérangé et hausse les épaules.
– Vous n'allez pas essayer tout ça en pantalon, donc mettez-vous en caleçon.
Pas faux. Un peu gêné, j'enlève mes chaussures, mon T-shirt et mon pantalon, et me voilà en caleçon devant un inconnu. Il est plutôt jeune donc ça va, 25 ans environ, donc dans mes âges, c'est mieux que les vieux qui reluquent les minets. Mais il a plutôt un physique de crevette. Grand, maigre, cheveux blonds en bataille et une barbe qui peine à pousser.
Il me tend un boxer sobre, je le prend et le mets, mais j'ai du mal à le faire glisser sur mon caleçon. Une fois mis, je l'ajuste et replace mon sexe, puis je me tourne vers le vendeur.
– Pas mal, me dit-il en souriant, regardez dans le miroir.
Je regarde, ça me plaît pas, je le dis, ça lui plaît pas.
– Essayez celui-ci, dit-il en me tendant un autre boxer.
Je retire d'abord celui que j'ai en prenant soin de pas enlever le mien en même temps, mais c'est difficile et les tissus glissent pas bien.
Après m'être débattu avec le premier boxer, j'enfile donc celui que le vendeur me tend et, là encore, je peine à y arriver. Mon propre boxer remonte avec lui et fait des plis vraiment chiants, mais je dis rien et me contente de me regarder le miroir.
– Bof, vous auriez d'autres motifs ?
Le vendeur me tend un autre boxer et sourit en me voyant en difficulté pour le mettre sans finir à poil, ça l'amuse. Je le comprend, il doit déjà pas apprécier que je lui fasse perdre son temps et que je critique ses produits, il a bien le droit de se foutre de ma gueule.
Sauf que mon boxer pose de plus en plus de problèmes, j'arrive pas à le maintenir en place quand j'essaie les vêtements, il me scie le cul en deux, et il se barre quand je retire les autres boxers.
– Le magasin est fermé, dit le vendeur, vous voulez les essayer nu ?
Au point où j'en suis, ça me dérangerait même pas, mais je me demande si c'est raisonnable.
– Et l'hygiène ? Imaginez qu'il arrive un truc à vos clients si ils achètent ça.
– Je lave tout chaque semaine pour éviter la poussière. Et justement je dois le faire demain vu que le magasin sera fermé.
J'hésite quand même un peu.
– Allez vous changer derrière un rayon si vous voulez, vous serez plus à l'aise.
– Bon... D'accord.
Et me voilà derrière un rayon, je vérifie rapidement que le gars peut pas me voir au travers, mais le rayon est rempli et bloque la vue, alors j'enlève mon boxer et essaie celui qu'il m'a laissé.
Prêt, je retourne le voir et me regarde dans le miroir, c'est déjà plus confortable et au moins y'a pas tous ces plis.
– Ça vous va super bien. C'est pas trop moulant donc vous pouvez le portez tous les jours, mais ça reste assez serré pour soutenir votre sexe. Retournez-vous pour voir.
Je me retourne, il sourit.
– Ça maintient bien vos fesses et la ceinture est suffisamment haute pour pas risquer de moment gênant si vous vous penchez. Et en bas, ça descend assez pour accueillir le pantalon quand vous le mettez, mais ça gêne pas les mouvements. Marchez un peu si vous voulez.
Je fais quelques pas, il a raison, ça gêne pas.
– Vous voyez, le tissu reste contre vous et glisse pas, il s'étire, donc vous le sentirez pas si vous le portez tous les jours. Vous en pensez quoi ?
– Il est confortable, et j'aime bien la couleur. Je le prends.
Le vendeur me sourit, content d'avoir réussi une vente, il a pas totalement perdu son temps.
Il me tend un autre boxer, je vais me changer et je lui rends le boxer que je vais acheter.
– Il vous va bien aussi, me dit-il, vous en pensez quoi ?
– Il est pas mal, ouais.
Les minutes passent, les boxers aussi, et après en avoir essayé une quinzaine et décidé d'en acheter quatre, il me pose une question déroutante :
– Vous portez de la lingerie ?
– Pardon ?
– De la lingerie, des petits trucs sexy. Pour plaire à votre moitié.
Il semble totalement décontracté, et étrangement ça me met un peu à l'aise.
– Je suis célibataire. Donc non.
– Vous voulez essayer ? J'ai des modèles qui pourraient vous plaire.
Il me laisse même pas le temps de répondre, il se lève, rejoint un rayon et y prend une bonne dizaine d'articles en tout genre. Des boxers, des strings, d'autres trucs que je connais pas.
Il revient ensuite et pose tout à côté de moi, sauf un slip en dentelle transparente, doublé au niveau de la bite.
– Ce modèle est très populaire, me dit-il, car il cache que l'essentiel. Vous voulez l'essayer ?
– Euh... ouais. Mais ça cache vraiment ?
Il rit et passe sa main à l'intérieur du slip, sur la partie doublée.
– Vous voyez pas ma main au travers, donc personne verra votre sexe. Prenez-le.
Je le prend et repars derrière mon rayon. Ça me fait un peu bizarre de savoir que ma bite va être à l'endroit qu'il a touché, mais curieusement ça me déplaît pas.
Je retourne le voir, il me sourit.
– Très sexy, vous en feriez chavirer plus d'une… Ou plus d'un.
Je relève pas, je me contente de prendre le deuxième modèle qu'il me tend et je retourne derrière le rayon, où je me rends compte que c'est un string rouge, genre bien vulgaire, et la taille semble assez basse. J'ai un peu de poils sur le torse et le ventre, donc je me rase pas la bite pour éviter une démarcation. Mais quand je le mets, c'est encore pire que je pensais. Il arrive juste au dessus de la base de ma queue, donc il laisse tout voir au dessus, et il est – vraiment – très moulant. J'avoue, à force de m'habiller et ajuster ma bite, je commence à avoir une demi-molle, mais là ça se voit comme un militaire à Paris.
Un peu gêné, je retourne voir le vendeur. Il bloque littéralement sur le string pendant quelques secondes, puis il se reprend, très pro.
– Ça vous va pas si mal, mais il vous faudrait peut-être la taille au dessus. Vous voulez réessayer ?
– Ouais, aller.
Retour derrière le rayon, je vire le string et enfile le même en plus grand, mais ma bite durcit de plus en plus à force de la toucher et de sentir le regard d'un inconnu la fixer.
Je sors, il bloque encore une fois, puis se reprend rapidement et ne semble pas aimer.
– Ça vous va pas très bien…
– C'est quoi le problème ?
– Le tissu. Y'en a trop, ça fait des plis, c'est pas sexy.
– Ouais mais l'autre est trop petit. Vous avez quoi de sexy mais à ma taille ?
Son visage s'illumine, mais je reconnais pas le truc en plastique bleu qu'il me tend.
– On appelle ça un C-string, c'est une coquille qui cache uniquement le sexe.
– Et ça tient comment ?
Je vois bien la tige en plastique, et je redoute qu'il me dise de me l'enfoncer dans le cul.
– Vous voyez cette tige ?
Ça part mal.
– Vous la mettez simplement entre vos fesses, vos muscles la retiendront. Allez-y, essayez.
J'hésite un peu mais ça m'intrigue, donc je vais derrière le rayon placer la coquille sur ma demi-molle et la tige entre mes fesses, puis je reviens voir le gars.
– Alors là, me dit-il en souriant, c'est juste parfait ! Retournez-vous pour voir.
Je me retourne, il siffle. J'ose pas lui faire remarquer que je porte quasiment rien, et qu'il n'y a que la coquille devant qu'il peut voir, donc rien derrière.
– Franchement je vous le conseille, vos futures conquêtes vont adorer.
Je reviens face à lui, mais ses paroles font encore durcir ma bite. J'essaie de me retenir, mais je n'y parviens pas. Plus j'y pense, plus ma queue prend de la place dans la coquille.
Je ne me rends compte qu'après quelques secondes de l'impression de fraîcheur sur mes couilles, et il m'en faut encore plus pour comprendre que la coquille est tombée et que je suis entièrement nu devant un inconnu, la bite presque entièrement dure.
– On dirait que vous adorez aussi ! me raille-t-il.
– Je suis désolé.
Je bafouille, perdu dans mes pensées, m'efforçant de cacher ma queue, mais il semble calme.
– Ne le soyez pas, ces produits sont faits pour susciter le désir, c'est normal d'être excité. Si ça peut vous rassurer, vous n'êtes pas le premier à réagir de cette manière pendant les essayages.
– C'est assez gênant…
– Vous croyez être le premier homme que je vois nu ? Allez, n'ayez pas honte, retirez vos mains.
Il est sérieux là ? Pire encore, je suis sérieux là, à laisser mes mains retomber le long de mon corps ? C'est bizarre, mais je me sens à l'aise avec ce gars, et je le laisse voir ma bite toujours dure.
– Vous êtes très bien fait, vous avez déjà mesuré ?
– Oui, 19 cm.
Je le voir se mordre la lèvre, et je me surprends à lui demander :
– Et vous ?
– Ça vous intéresse ? raille-t-il. 17 cm, mais en réalité je suis plutôt passif. Pas vous, j'espère !
On éclate de rire, même si je sais que ce gars veut ma bite, et j'ai bien envie de la lui donner.
Il me tend un string avec une poche pour la queue.
– Vu que vous êtes en forme, essayez ça.
Je m'apprête à aller derrière le rayon mais je me dis que c'est pas la peine, et il me devance :
– Je vous ai vu, vous n'avez plus à vous cacher maintenant.
– Pas faux.
Alors j'enfile le string et je place ma bite toujours aussi dure dans la poche, sauf qu'elle est trop petite pour moi.
– Dites, y'a un problème là, je rentre pas dedans.
– Faites voir ?
Il attrape la poche du string et tire vers lui pour regarder l'intérieur et constater que, effectivement, ça rentre pas.
– Je comprends pas, dit-il, c'est votre taille.
– Ouais mais ça passe pas dans la poche. Pour vous ça va peut-être mais moi…
Il me fusille du regard, je sais que j'ai touché un point sensible et il tarde pas à réagir.
– Vous croyez que je rentre dedans ? Ça m'étonnerait !
– Allez-y, on va rire.
Et il le fait. Il enlève son T-shirt, puis son pantalon et son slip d'un seul coup, libérant sa bite bien bandée. Il m'avait pas menti sur la longueur, mais il a oublié de préciser la largeur : énorme !
– Alors, dit-il en souriant, vous croyez que ça va rentrer ?
– Euh... Je sais pas, je demande à voir.
Soudain, il s'agenouille et m'enlève le string, ma queue libérée vient le bifler, il rit et se relève. Il enfile donc le string et essaie de rentrer sa bite dans la poche, même si le résultat est connu d'avance. Effectivement, ça rentre pas, et moi je reste à le regarder avec la teub à l'air.
– Tu crois que ça me va ? demande-t-il en désignant un jockstrap sur le tas de vêtements.
Il me laisse pas le temps de répondre, il retire le string et enfile le jockstrap avant de se tourner vers moi.
– T'en penses quoi ?
– Retourne-toi pour voir.
Les rôles se sont inversés et le simple tutoiement m'indiquent que la situation va dégénérer.
Il se retourne et se penche en avant, m'offrant une vue sur son cul parfait. Deux magnifiques fesses bien rebondies, très légèrement poilues, un peu bronzées, qu'il balance de gauche à droite à une trentaine de centimètres de mon visage.
Ma queue, toujours libre, tressaille, démontrant que ses mouvements me font de l'effet, mais j'ose pas le toucher. Il remue encore son cul devant moi, l'approche encore plus près, le caresse et l'écarte doucement pour me laisser voir sa rondelle.
De ma main, j'ajuste le jockstrap et j'en profite pour caresser doucement ses fesses, ses cuisses recouvertes d'un fin duvet blond, il se penche en avant pour m'y aider.
Mon index glisse sur l'ouverture du jock pour glisser dans sa raie, titiller son petit trou qui s'ouvre un peu, il a déjà dû accueillir des bites, et la mienne demande qu'à être la prochaine !
Il recule encore son cul, il est maintenant juste en face de mon visage, alors je m'approche, lui embrasse les fesses et les écarte bien. Je crache tendrement sur sa rondelle, j'étale ma salive dessus et je fais rentrer un doigt sans difficulté, rapidement suivi d'un deuxième, et je le doigte au rythme de ses soupirs discrets et de ses gémissements de plaisir.
Quand son trou s'écarte encore un peu, je retire mes doigts, écarte bien ses fesses et lui dévore la rondelle comme un affamé. Je lèche chaque parcelle de son cul, j'enfonce ma langue dans son trou, et j'alterne ensuite avec mes doigts, avant de remettre ma langue.
Tête renversée en arrière, une main sur mes cheveux pour m'emmener au plus profond de lui, il souffle comme un bœuf alors que mes gestes s'intensifient et se font plus précis. Désormais, à chaque fois que je rentre mes doigts, je les replie pour aller masser sa prostate.
Je continue à grand renfort de salive et j'en profite aussi pour passer une main entre ses cuisses, lui attraper la bite et le branler au rythme de mes coups de langue. Il gémit de plus en plus fort, son cul est bien dilaté, alors je me redresse et lui murmure à l'oreille :
– Je veux te prendre…
Il plante son regard dans le mien, je vois ses yeux briller.
– J'attends que ça depuis des heures…
Et il m'embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent tandis que ma bite s'approche de son trou. Mon gland se pose à l'entrée, glisse à l'intérieur, suivi par le reste de ma queue, en nous arrachant au passage des gémissements de plaisirs.
Quand j'arrive au fond, je le regarde droit dans les yeux, ressort lentement, et revient d'un coup. Il grimace, souffle fortement, puis son visage se détend et je commence le va-et-vient.
– Putain, gémit-il, vas-y, continue ! Plus fort !
Pas besoin de me le dire deux fois, je le laboure avec force et vigueur, ma queue glisse parfaitement dans son cul. Autour de nous règne un silence absolu, seulement entrecoupé par le claquement de mes cuisses contre ses fesses.
Je le pilonne de plus en plus fort, et parfois je sors entièrement ma bite pour la rentrer d'un coup, ça le fait gémir et trembler de plaisir.
Après plusieurs bonnes minutes de baise intense, il me fait m'allonger au sol et vient se placer au dessus de moi, on dirait bien qu'il veut contrôler ! Et il fait ça super bien, il prend le temps de descendre lentement pour aligner son cul avec ma teub, et soudain il se laisse tomber et s'empale sur moi.
– Putain ! crie-t-on en même temps.
On se regarde, il me sourit, puis il renverse sa tête en arrière tandis que son cul monte et descend sur ma bite. Mon gland tape contre sa prostate et parfois il le laisse s'y frotter pour accentuer le plaisir.
Je sens la sauce monter, je vais plus tenir très longtemps, même si je voudrais que ce moment dure encore.
– Je vais gicler, lui dis-je.
– Remplis-moi mec !
C'est un ordre, et je veux rien de plus qu'y obéir. Il continue de me chevaucher, mon sperme sort déjà de mes couilles, se fraie un passage dans ma bite alors que l'orgasme monte, et soudain j'explose en lui, plusieurs jets lui repeignent l'intérieur du cul, et ça déclenche aussitôt sa jouissance. Son jus sort de sa bite qui tressaille et vient s'étaler sur mon corps, se mêler aux poils de mon torse et de mes abdos, alors que sa rondelle se resserre fortement autour de ma queue et qu'on gémit tous les deux de plaisir.
Il se laisse tomber sur le sol et ma bite sort de son cul, puis on s'efforce de reprendre notre respiration. Il nous faut un peu de temps pour nous remettre de ce moment.
Quand on a retrouvé nos esprits, on se rhabille et je vois sur mon portable que je suis là depuis plus de deux heures. On discute un peu, il s'appelle Lucas et il me propose qu'on se revoit. J'accepte évidemment, on échange nos Snap et on se quitte sur un doux baiser. Sauf que j'oublie mes achats, et je vais en avoir besoin rapidement, on risque donc de se revoir assez vite…
Voilà, j'espère que ce nouveau texte t'a plu, n'hésite pas à me dire ce que t'en as pensé. Pour un prochain, j'envisage d'y montrer un policier, donc si l'un de mes lecteurs porte l'uniforme (police nationale, municipale, gendarmerie, douanes, administration pénitentiaire ou autre) ce serait sympa de me contacter. Idem pour les questions, demandes ou autres, je lis tout.
Baptiste
baptistecmoi75@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :