Derek et les camionneurs 1

Derek et les camionneurs

Chapitre 2

Le lundi suivant, je n’ai pas d’école, mais je me lève tôt pour aller visiter les débarcadères et voir mes beaux camionneurs. Je décide même d’y aller à vélo pour pouvoir faire des allers et retours et tourner en rond à ma guise. Sans doute que ça sera suspect, mais j’ai le goût de m’exciter au max. J’ai trop le goût de sucer à nouveau Hamza ou qu’il me prenne par derrière.

Sur les lieux, je reconnais tous les camions habituels. Je vois Hamza qui discute au loin avec Ron et Fabio. Je tourne un peu en rond. En passant près d’un camion j’entends une voix.

- Hey kid ! dit Henry, le camionneur plus âgé de sa vitre baissée.

Je m’arrête et lui sourit.

- Il paraît que tu t’es bien régalé l’autre matin ? Mon pote, l’arabe là-bas, il m’a tout raconté. T’as une sacrée gueule de pute toi!

E il ouvre la portière de son camion. Il a la queue sortie de son jeans et se branle un peu. Une belle queue pas trop longue mais très large.

- T’as le goût de me faire plaisir à moi aussi ?

Et sur le siège d’à côté je vois apparaître Marc-André, le plus jeune des camionneurs.

- Allez! Viens sucer Papa après tu vas t’occuper de moi! dit le jeune en se penchant pour sucer Henri.

- Et après ça sera moi!

Celui qui vient de parler c’est Ron qui est arrivé derrière moi avec Guy et Hamza.

- Attendez les gars! Cette petite chienne est presque à moi! dit Hamza

- Woah! Possessif l’ami! La petite chienne a l’air d’être capable d’en prendre. On va tous en profiter! affirme Guy

Les hommes rient. Je descends de mon vélo que j’appuie sur le camion d’Henry. Je me place au centre des mecs. Henry et Marc-André descendent du camion. Ils m’entourent. Je suis terriblement excité. Terriblement heureux. Ils vont tous me passer sur le corps et j’en suis ravi. Je vais me sentir aimé. Je vais me sentir plein. Je vais me sentir libre.

- Je suis capable de faire plaisir à tout le monde, mais vous devez être fins avec moi mes beaux camionneurs. Vous allez tous profiter de moi. Faut se dépêcher avant l’ouverture des portes de garage.

Et je me dirige au même endroit que jeudi dernier, c’est-à-dire entre le camion d’Hamza et le mur. Les hommes me suivent. Ce n’est pas subtil comme mouvement, mais il n’y a personne de ce côté du centre commercial.

Les camionneurs se placent tous autour de moi. Ron, déboutonne sa chemise et laisse sortir sa bedaine. Hamza a remonté son t-shirt et le fait passer derrière son cou. Guy, le cowboy cheyenne se met complètement nu, mais garde son stetson. Je m’accroupis. Je suis devant Marc-André le plus jeune. Il me regarde et me sourit. Il sort sa bite de pantalons molletonnés gris. Immense. Droite. Rose. Non circoncise. Elle pointe vers moi. Et le travail commence. Et le plaisir commence.

Je commence à sucer Marc-André. Il me tient la tête et fait délicatement des va-et-vient avec celle-ci sa teub. Délicieuse. Les autres gars sortent leurs bites aussi. Elles m’entourent. Certains l’ont déposé sur mes épaules. Henri qui est à côté de Marc-André insiste pour que je prenne aussi sa graine. Je continue de branler le jeune pendant que je commence à sucer le plus vieux. Les autres mecs parlent entre eux en se branlant. Je ne saisis pas tout, mais j’entends entre autres :

- Quelle chienne!

- Beau garçon vas-y!

- Il est affamé!

- Mosska Kharba (« sale pute »)

Je suce Henri et Marc-André en alternance en tenant leur queue. J’ai de la difficulté à prendre celle du premier dans ma bouche tellement est large.

Je me retourne et je prends la bite d’un autre dans ma bouche.

- Ah oui! Vas-y mon bébé! dis Ron.

Je le suce sans les mains et je caresse son ventre de daddy tout velu. Ça queue goûte beaucoup. C’est délicieux. Je vais la porter dans le fond de ma gorge et j’enfouis du même coup mon nez et mes yeux dans son pubis touffu. Il se retire de ma bouche. Sa queue dégouline de ma salive. Il se penche pour m’embrasser goulûment. Il enlève en même temps mon t-shirt et le dépose sur son épaule. Il se relève et je me tourne vers Guy. Sa queue est très longue et fine. Dès que ma bouche touche sa verge, il gémit fort. Une main se glisse dans mon short. Je ne porte pas de sous-vêtement. Un doigt caresse sa raie imberbe. C’est Marc-André qui s’est penché pour chercher ma rondelle et joue avec. Hamza attend patiemment son tour en regardant ce qui se passe autour de lui. Marc-André retire sa main, crache dans celle-ci et va la remettre entre mes fesses. Il me doigte. J’ai la rondelle humide. Je suis excité. Il tente un doigt dans mon trou. Ça rentre tout seul. Les autres mecs l’encouragent.

Hamza me relève. Ron baisse mon short. Ma queue bien raide est dressée. Je ne suis plus qu’en basket. Ron me penche à 90 degrés. Je suis devant une bite que je connais : celle d’Hamza. Je commence à le pomper. Sans les mains, comme il aime. J’ai une main sur le mur derrière le bel arabe et de l’autre je me branle. Henri m’écarte les fesses. Ron crache sur mon anus. Marc-André me mange doucement. Puis Guy vient accoter sa longue queue d’amérindien sur mon trou. Je gémis.

- Inquiète-toi-pas mon ami… je vais y aller doucement! qu’il me dit.

Les mecs derrière moi crachent sur le gland de Guy et sur mon trou. Je continue à sucer Hamza qui prend son pied. Il laisse finalement sa place à Ron. Puis Guy, toujours derrière moi, pousse son gland à l’intérieur de moi. Tranquillement. Il est doux le cowboy amérindien. Je sens sa longue verge glisser en moi. C’est bon. Je gémis fort en suçant Ron qui me donne quelques gifles. Guy débute des va-et-vient. Il me tient les hanches. Il se retire doucement. Puis violemment il refait pénétrer son pénis en moi. Il reste au fond quelques secondes. Il répète le tout plusieurs fois.

Ron laisse sa place à Marc-André. Celui-ci me redresse. Je suis appuyé sur lui. On est face à face et on s’embrasse.

- Oui! C’est ça les garçons aimez-vous.

- Quelles chiennes ses deux-là.

- Hanikak (« je vais te baiser »)

Après quelques coups, Guy laisse sa place à Henri. Le plus vieux crache et astique sa tige. C’est à son tour de me faire aller sur la sienne. Je sens la queue large entrer en moi. C’est fou. Mon cul chauffe. Ses mouvements sont plus rapides que ceux de Guy. Il joue avec son gland qui entre et sort de mon anus. Il me donne des petites tapes sur les fesses. Marc-André m’embrasse encore. Nos deux langues s’entremêlent.

- Criss que tu es bon! dit-il. Je vais te fourrer mon beau!

- Oui! S.v.p. je réponds en gémissant en même temps car la queue de Henri glisse en moi.

Guy vient devant moi et je prends sa queue qui sort de mon cul dans ma bouche. Elle est propre. Elle sent la salive. Je le suce vigoureusement. Je vais la porter au fond de ma gorge. Henri donne de grands coups de hanche et fait claquer ses hanches sur mes fesses. Il ressort et c’est maintenant à Marc-André. Sans hésitation il me pénètre alors que le plus vieux qui à peine de sortir. Je ne peux retenir le cri-gémissement. Le plaisir que cela me procure est immense. Je m’attarde alors sur les queues d’Henri, de Guy et d’Hamza pendant que le plus jeune me baise à fond.

Ron, qui était parti vérifier que personne ne nous surprenne, revient vers nous en se branlant. Il prend Marc-André par les hanches et fait aller son bassin. Marc-André a les mains derrière la tête et se laisse guider par Ron. Ce dernier passe sa langue sur les aisselles de son jeune collègue.

- Tu veux y aller? demande Marc-André à Ron.

- Non continue. C’est trop beau.

Le jeune continue à me fourrer en variant le rythme et l’intensité. Si bien que je le sens gémir de plus en plus fort. Un cri s’échappe de ses poumons et il donne 4 grands coups forts. Il est en train de me remplir. Il vient me porter sa queue pour que je la nettoie.

Hamza prend sa place. Il ne tarde pas non plus à jouir. Il me redresse et me tourne le cou pour que je l’embrasse. Il gémit dans ma bouche. Deux grands coups et un soubresaut puis il se détend.

Ron écarte mes fesses. Je sens du jus couler. Il me pénètre à son tour. Rapidement. Il grogne comme un bœuf. Il continue à faire des va-et-vient et sans s’arrêter il jouit aussi en moi. Il me claque les fesses avant de se retirer. Il frappe sa queue épaisse et encore dure sur mon trou humide et gluant.

Guy passe derrière moi. Il va accoter sa longue queue tout au fond et donne des petits sur ma prostate. Ses coups sont si bons que je sens que je vais venir.

- Ah la pute! Il va venir.

- Vas-y bébé répand ton jus!

Sans me toucher, je joui sur l’asphalte. Plusieurs jets. Guy vient à son tour en un silence.

Depuis un moment, je suis sur Henri. Je le suce. J’embrasse son ventre et son torse poilu. Ses gros mamelons bruns que je tète sentent la sueur. Guy continue à me ramoner. J’entends Henri commencer à gémir. Il dirige ma tête vers sa queue gonflée. Je me pose ma bouche sur son gland et il explose. Trois grands jets de jus chaud me remplis la gueule. Avant que j’avale le tout, je vois Marc-André apparaître à côté de moi.

- Embrasse-moi! Donne-moi le jus de Papa! qu’il dit.

Guy se retire. Je me redresse et je mets à embrasser Marc-André. On échange le sperme d’Henri.

On est tous les six nus ou à moitié nus dans notre petite cachette. Suants, essoufflés, rassasiés, heureux.

- Wow. Merci messieurs! que je dis. Vous avez tous parfaits.

Les mecs rigolent un peu. On se rhabille tranquillement. On me donne des tapes sur les fesses. Henri passe un doigt sur ma raie et le lèche. Hamza et Ron m’embrassent. Marc-André me fixe tendrement. Guy me remet mon t-shirt.

- Fuck! J’ai envie de pisser! dit Ron.

- Moi aussi! ajoute Henri.

Tout habillé, je me mets à genoux.

- Allez-y messieurs! Sur moi!

Les mecs se sourient et m’entourent. Les six queues molles pointent vers moi. Les jets se succèdent. Le liquide chaud coule de chaque mec coule sur mes joues, mon cou et mon tronc. Les hommes rigolent. Ils soupirent de soulagement. Ils rangent leur zob une fois terminé. Je me relève détremper. On se fait des high five. On marche tous pour sortir de la cachette. On se salue. Les camionneurs retournent à leur véhicule. Je remonte sur mon vélo. J’ai la rondelle en feu, mais très satisfaite. Je suis plein. Je suis amoureux. Je suis libre.