Je m’appelle Guillaume. J’ai 28 ans. Je suis gay. Célibataire. Je mesure 1 mètre 80. Je m’entraîne 5 fois par semaine. Je suis en forme, mais pas « monsieur muscle » non plus. Je baise 3 à 4 fois semaine avec différents mecs que je rencontre sur Grindr ou dans des soirées. J’ai une belle queue de 7 pouces, droite, large et charnue.
Depuis 2 ans, j’enseigne la littérature et la création littéraire dans un établissement collégial (cégep/postsecondaire) en banlieue de Montréal. J’ai de super collègues, dont Lou avec qui je partage mon bureau et qui est gay aussi. On a été engagé en même temps. Les autres vieux profs du département nous aiment bien même si l’on représente une menace pour eux.
En janvier dernier, j’avais deux classes de 1re année, des élèves de 17 à 20 ans en littérature. J’avais remarqué un étudiant, Anthony. 18-19 ans. Métisse. Très chaud. Corps sculpté et ferme. Ses t-shirts serrés laissant voir un ventre plat, des pectoraux découpés et des gros mamelons. Lèvres charnues. Je ne prête pas vraiment attention au regard des étudiants, car je veux garder mon poste et que j’ai trop d’ambition pour ruiner ma carrière avec une histoire de cul qui tournerait mal.
Anthony était super courtois avec moi. Il me semblait avoir une tête sur les épaules et posséder plusieurs champs d’intérêt différents. À travers nos discussions en groupe ou seul à seul, j’avais vite compris qu’il était gay et qu’il s’assumait. Je l’avais croisé aussi dans une ou 2 soirées gays et queers à Montréal. On s’était salué sans plus.
À la mi-session, j’avais donné comme travail un projet d’autofiction. Je me suis mis à corriger les copies rapidement pour ne pas prendre de retard et recevoir un blâme. La copie d’Anthony fut la dernière que j’ai corrigée. C’était un vendre soir, il était près de 19 h et j’étais encore à mon bureau au lycée. Je suis tombé de ma chaise.
Anthony fait le récit d’une relation incestueuse et consensuelle avec son père, Maxence qui a débuté le jour de ses 18 ans. Son père est, un homme de 45 ans dont le père est Sénégalais et la mère Américaine. Le récit retrace toute l’histoire des débuts jusqu’aux dernières vacances de Noël. Il raconte les douches qu’ils prenaient ensemble, les fins de semaine en camping sauvage où ils étaient nus tout le temps, les pipes dans les toilettes publiques et les ruelles, la première fois que son père l’a sodomisé, le gout du sperme de son père. Il décrivait évidemment le corps musclé et ferme de son père et sa queue de black dans les moindres détails : « La bite de mon père est longue, très longue. Elle est recouverte de veines saillantes. La peau est noire et douce. Le gland est d’un rose parfait. Elle sent souvent l’urine ou la sueur. Son pubis est rasé et son bas ventre est lui aussi parcouru par des veines. »
Je l’ai lu deux fois. La deuxième fois je n’ai pu me retenir : j’ai sorti ma queue et je me suis branlé en lisant l’histoire que mon étudiant m’avait écrite. J’ai ensuite ramassé des affaires en apportant bien évidemment la copie d’Anthony. J’ai texté mon collègue Lou en lui disant que je devais lui montrer quelque chose. Il était chez lui et m’a invité à prendre un verre.
En arrivant là, je lui fais lire l’histoire. Vite il a commencé à se tripoter l’entrejambe.
- Oh my god! Guillaume ! C’est malade ! Ça ne m’arriverait jamais à moi ça ! Tu vas faire quoi ? - Je ne sais pas Lou. C’est hot et en même temps, quel résultat je mets là-dessus. - 100 % voyons, me dit-il en pouffant de rire. Je peux en faire une copie ? - Si tu veux. - Il t’a clairement écrit ça en voulant t’exciter. - Tu penses ? Il a réussi. Je suis venu vraiment intense en lisant ça. - Je comprends. Le bout où il parle de la première fois. Ouf ! Et la fois du threesome avec un voisin ? Tu penses que c’est vrai ? - J’ai tout lu deux fois Lou. Tout est fucking bandant dans ce qu’il raconte. - Je le confronterais si j’étais toi. Tu lui dis : « c’est quoi ça ? ». Et tu attends une réponse. Il va être soit mal à l’aise ou être vraiment fier de son coup. - Je ne peux pas coucher avec lui voyons. - Bah ! Si tu ne le fais pas, je vais le faire moi ! - Très drôle. - Va juste valider ses intentions. Confronte-le. Ça va juste t’exciter. - Je vais y penser.
En rentrant chez moi passé minuit. J’ouvre mon ordi et écris un courriel à Anthony lui demandant de passer à mon bureau en début de semaine, avant le prochain cours. J’étais excité. Cette nuit-là, question de me changer les idées et de faire diminuer la tension, je me suis fait inviter dans un gang bang où un autre mec et moi on s’est retrouvé à être les deux cum dump pour 9 autres gars.
Lundi matin. À peine remis de ma fin de semaine, j’arrive à mon bureau. Je termine certaines corrections. Lou passe en coup de vent. M’embrasse. Ne me reparle pas de vendredi soir et du texte de mon étudiant et quitte tout aussi rapidement.
En fin de journée vers 16 h 30, on cogne sur ma porte ouverte. Je me retourne, le bel Anthony se tient sur le pas de ma porte. Je lui demande d’entrer et de fermer derrière lui. Je prends la chemise rouge dans laquelle j’ai déposé le texte d’une dizaine de pages. Anthony s’assoit devant moi.
- Ça va Anthony ? Tu sais pourquoi je voulais te voir.
J’essaie d’être sérieux. Sans être trop tranchant ni hésitant. Bref, j’essaie d’être en contrôle, mais mon cœur bat super vite et j’ai même un début d’érection sachant ce dont je dois parler avec lui.
- Non. J’ai été surpris de cette convocation. J’en ai discuté avec mon père. Il est inquiet. Je veux vraiment réussir tous mes cours. Surtout le vôtre.
Je souris bêtement. Et je lui tends la chemise rouge.
- C’est à propos du projet d’autofiction et du texte que tu m’as remis il y a deux semaines. - Ah ! OK.
Moment de silence dans mon bureau. On se regardait droit dans les yeux.
- Ça vous a excité ? Vous savez que tout est vrai. J’avais besoin d’enfin en parler et je pense que vous étiez la meilleure personne pour ça. Tout est vrai Guillaume. Ça ne te dérange pas que je t’appelle Guillaume ? Mon père et moi on baise depuis un petit bout. J’adore le sexe. Maxence m’a toujours excité. Quand je l’ai surpris la première fois à se masturber dans le salon devant un porno gay et qu’il a continué même en me voyant je savais que j’aurais enfin ce que je voulais. - Et c’est là que tu t’es avancé vers lui et que tu as sucé son pénis et tout avalé. - Oui. Le cul est malade avec lui. C’est le meilleur mec. On s’aime. La littérature érotique m’a toujours interpelé et je pensais que mon histoire ferait un bon récit de cul. Vous voulez voir mon père ?
J’étais rouge. Il était tellement à l’aise de tout dire. Il a cherché une photo du fameux Maxence sur son iPhone et me l’a montré. La description était plus que fidèle au souvenir de ce que j’avais lu. J’avais son père torse nu, en speedo, à la plage sous les yeux. J’étais sans mot.
- Ça, c’était à Noël, dans au Mexique. Il est très chaud. - Je… Euh ! Je ne sais pas quoi dire… Je ne sais pas quoi faire avec ton travail Anthony. - Dis-moi, ça t’a excité ? Je te trouve tellement chaud. Je le vois bien que tu aies bandé en ce moment. J’ai montré une photo de toi sur Grindr à mon père. Je l’ai sucé pendant qu’il matait ta photo.
Il disait vrai. Je ne pouvais cacher ma queue dure dans mon pantalon serré. Il s’est alors levé et s’est mis à genoux devant moi.
- Anthony ? Euh… - Laisse-toi faire. Je vais te donner un avant-goût et peut-être tu vas avoir envie de te joindre à mon père et moi. On adore les threesome. Et tu es sans doute le plus beau mec avec qui ça pourrait arriver.
Et il écarte mes genoux, rapproche son visage de mon entrejambe. Il me caresse les bras et les pectoraux à travers mon polo. Il défait ma braguette.
- Wôw. Commando ! Tu es vraiment hot.
Il sort ma queue du pantalon et commence à me branler. Je le regarde. J’ai chaud. Mon cœur bat vraiment vite.
- Elle est parfaite ta queue Guillaume.
Il pose ses lèvres charnues sur mon gland tout en continuant ses va-et-vient sur mon bat. Je n’arrive pas à croire que ça m’arrive : un étudiant de 18 ans avec un tel appétit sexuel et une telle aisance. La situation me faisait bander dur.
Il suçait comme un dieu. C’était chaud. Ma queue dégoulinait de salive. Il allait porter ma graine au fond de sa gorge. Il rougissait et des larmes coulaient sur ses joues. Il continuait malgré tout à sucer avec appétit et passion. Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais je suis venu dans sa bouche. Et je suis venu beaucoup.
Il se releva, la bouche pleine. Il me prit le visage en me regardant dans les yeux et me faisant un clin d’œil. Puis il approcha sa bouche de la mienne. Tranquillement il m’embrassa en laissant couler tout mon jus dans ma bouche. Nos lèvres, mentons et joues étaient couverts de mon sperme. Nous nous léchions.
Billy
Autres histoires de l'auteur :