Premier épisode
Chapitre 2
Il y a maintenant 9 ans, j’avais rencontré Yann sur ce fameux parking. Plus tard, nous nous étions revus, en extérieur pour une simple pipe, puis à l’hôtel pour des rencontres un peu plus chaudes. Mon hétéro avait fini par me baiser, mais toujours timide, il avait bien du mal à se lâcher.
Les rencontres à l’hôtel étant compliquées à organiser et couteuses pour si peu de temps, nous avions fini par nous perdre de vue.
Il y a quelques mois, je pensais à lui, et cherchait s’il avait un profil sur les réseaux sociaux. Je finis par le retrouver, et lui envoyai un message discret pour me rappeler à lui.
Au début, je ne reçus aucune réponse. Mais quelques temps plus tard, Yann finit par me répondre. Il était content que je l’aie recontacté, et me demandait s’il pouvait m’appeler. Quelques minutes de conversation plus tard, nous nous sommes promis de nous convenir d’un rendez-vous. Pendant les semaines qui ont suivi, nous avons tenté de nous rencontrer, mais il avait trop peur de rentrer trop tard chez lui et de se faire griller par sa femme, ou alors il avait un imprévu au boulot. Après plusieurs déconvenues, je finis par lui dire de laisser tomber.
Plusieurs semaines avaient passé, et mon hétéro m’envoyait un message. Il avait un gros chantier dans ma ville, qui allait durer près de deux mois. Il pouvait être dispo à l’occasion, et allait même peut-être passer des nuits sur place. La bonne aubaine ! A ce moment, en vacances dans le sud, je ne prévoyais rien et ne m’emballais pas trop, sachant que ça pouvait capoter…
Un jeudi, je venais de revenir de vacances, et je reçu un message de sa part : il était sur le chantier, et me demandait à quelle heure j’étais dispo. Toujours en congés, j’étais dispo quand il voulait ! Je lui répondis en lui disant ce que j’avais envie de faire avec lui. Et il était ouvert à tout, toujours autant faim de sexe.
Je lui proposai de passer lui dire bonjour pas loin du chantier, ce qu’il accepta. A 11h, j’étais à proximité de son chantier, garé discrètement. Il arriva, avec sa tenue pleine de plâtre, et me serra la main. Toujours aussi intimidé, il m’expliqua rapidement son boulot, et s’assura à plusieurs reprises que j’étais open pour un plan. Je le rassurai, tout en le regardant : il n’avait pas changé, mis à part son bouc qui était devenu blanc. Il était toujours aussi, viril, et n’avait pas grossi malgré les 9 années.
Aussitôt après mon retour à la maison, je lui envoyai mon adresse, et attendis sa réponse. Vers 16h, je reçu un message me disant qu’il buvait un coup avec ses collègues et qu’il arrivait. 15mn plus tard, je vis un fourgon blanc se garer devant ma maison. Le voyant hésiter, je lui confirmai qu’il était au bon endroit. Suivant mes consignes, il entra directement dans la maison, et referma la porte derrière lui.
Moi, j’étais à genoux, dans la douche, l’entendant se déshabiller dans l’entrée. La porte de la salle de bain s’ouvrait, et Yann était à poils. Il avait juste gardé ses chaussettes blanches, qu’il avait porté toute la journée.
Il se plaçait devant moi, la queue à la main. Je le détaillai et remarquai qu’il était toujours aussi bien foutu pour ses 51 ans. Torse poilu, bras poilus et musclés naturellement par son boulot. Il ne se rasait pas la bite ni les couilles, et j’adorais ça.
Tandis que Yann arrivait avec sa queue à main, je finis de prendre une bonne dose de poppers. Je regardais la bite de mon hétéro, quand je vis un jet de pisse en sortir. Une pisse bien jaune, forte, et bien chaude qui m’arrosait le torse, le ventre. De la main, je dirigeai le jet vers mon visage afin de la prendre en bouche. Puis je laissai mon partenaire m’arroser tel qu’il le voulait. Je sentais son urine chaude inonder tout mon corps, torse, ventre, cuisses… Quand il a fini de vider sa vessie, je pris sa bite en bouche afin de le faire bander. Je pompai mon mâle hétéro tout en trempant dans ma pisse.
Je lui proposai d’aller dans la salle à manger pour continuer. Là je me mis de nouveau à genoux afin de continuer à le pomper. Sa bite était bien dure. Bien que timide, il était toujours chaud et excité dès qu’il se faisait sucer. Je pris sa bite au fond de la bouche, essayai de lui faire une gorge profonde afin de me retrouver avec le nez dans ses poils pubiens. Je bouffais ses bonnes grosses couilles poilues tout en le branlant.
Je m’installai sur le canapé, la tête à l’envers sur le bord pour qu’il vienne me baiser la bouche. Il commença ses va-et-vient jusqu’à enfoncer sa teub à fond dans ma bouche. Dans cette position, je me retrouvais avec ses couilles sur le nez. Je pouvais sentir cette bonne odeur de mâle qui a travaillé toute la journée. J’étais de plus en plus excité.
Nous changions de nouveau de position, moi à genoux devant lui pour reprendre ma pipe. Tout en le suçant, j’appliquais du gel sur mon trou afin de le lubrifier et le préparer à l’assaut.
Je me mis à genoux sur le canapé, fesses tendues vers mon actif viril. Je sentis son gland à l’entrée de mon trou, puis toute sa queue me pénétrer. J’étais heureux de me faire de nouveau baiser par Yann, mais je crois qu’il était plus heureux encore de baiser un cul, lui qui n’a jamais ce qu’il veut chez lui avec sa femme. A peine une fois tous les 15 jours selon ses dires…
Je me donnais à fond à mon hétéro viril. Je sentais sa queue me pénétrer, coulisser dans mon trou bien ouvert. Je prenais beaucoup de plaisir à sentir Yann me baiser, enfoncer sa queue dans mon cul. Ses couilles tapaient contre mon cul à chaque coup de reins. Il me tenait par les hanches, et continuait de me limer, en râlant de plaisir et en exprimant son bonheur. Il prenait confiance et se lâchait en me bourrinant de plus en plus. Je bougeais mon cul pour l’inciter à y aller plus fort.
Ses coups de reins devenaient de plus en plus brutaux, ses mains se resserraient sur mes hanches, je le sentais se tendre.
Dans un râle, Yann se vida dans mon cul, et me féconda de son sperme fertile. Il resta quelques instants dans mon cul, le temps de reprendre ses esprits. Il se retira, et j’en profitai pour récupérer les quelques gouttes de jus qui restaient.
Après s’être rhabillé, il but une bière, puis rentra chez lui retrouver sa femme.
En espérant le revoir durant son chantier…
Julien
Julien_soiss@hotmail.fr
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