Mon histoire commence à mes 18 ans, je me présente, je m’appelle Louis, je viens tout juste d’avoir mon bac. Je rentre à l’université en licence de droit. Mais le plus important, c’est que je reviens de deux mois de vacances qui ont changé ma vie, je parle bien sur de ma vie sexuelle. Cet été fut pour moi celui de la découverte de la chaire. C’est lors d’un voyage en Sicile que je me suis réellement ouvert à mes fantasmes. Aujourd’hui revenu chez moi, j’espère bien m’amuser tout autant.
A côté des cours, je pratique du badminton depuis quelques années, d’abord avec les jeunes maintenant avec les adultes, mais je continue toujours à jouer avec les plus jeunes. Au fil des années les jeunes gars sont passés, toutefois certains enchaînent les années comme mes amis et moi.
J’ai pris l’habitude après le sport, de me laver dans les cabines des vestiaires, je voulais bien sûr me laver, mais j’en profitais aussi pour exposer mon corps devant les autres jeunes du groupe. Mathieu, l’un de mes amis d’enfance, ne me suivait pas vu qu’il habitait en face du gymnase, et pourtant quel dommage vu son corps musclé bâti par des heures de musculations. Il sait que je suis gay, ça ne le dérange aucunement tant que je ne tente rien avec lui, comportement de tout bon hétéro, même si parfois avec l’alcool certaines tentations sont grandes.
Un soir, après une séance de Badminton riche en effort, je proposais un dernier match au jeune Benoit. On a juste 2 ans d’écarts, mais c’est vraiment un gringalet blondinet qui tient à peine sur ses deux jambes. Tout mon contraire, je suis grand, 1m84 pour 75Kg de muscles secs et finement dessinés. Peu importe la différence de morphologie, j’ai un réel faible pour les twinks, je me sens dans le devoir de les initier aux plaisirs sexuels voire de les pervertir.
Mais revenons au fameux soir, il accepte le match, on enchaîne les volants. Je fais tout mon possible pour l’épuiser encore davantage par un jeu très sportif. Après en avoir eu assez de le voir souffrir, je mets fin au match par une victoire 21-11. Benoit était vraiment lessivé par l’effort, je n’étais pas vraiment en pleine forme non plus, il savait se défendre. Je le remerciais pour ce match et j’insistais sur ses progrès faits depuis un an. Je me dirigeais vers le vestiaire lorsqu’il me demanda si j’avais à boire, vu qu’il avait oublié sa gourde. Je répondis qu’il n’y avait aucun problème en pointant du doigt en direction de ma gourde à quelques mètres de lui. Il se baissa pour la ramasser, révélant davantage son sublime petit cul, que j’avais pu observer depuis son arrivée au club l’an passé.
Il finit de boire et nous allons ensemble au vestiaire pour se changer. Arrivé à nos affaires, nous remarquons qu’il ne reste plus que nous dans le gymnase, il était déjà tard, il est vrai. Je commence à me déshabiller, sans vouloir dissimuler quoi que ce soit, je ne me gênais pas pour enlever une à une mes affaires pleines de sueur, mon tee-shirt, mon short, tout en continuant de lui parler du match, de ses réussites en amorti, ses smashs à améliorer, ses positions défensives. Je voyais bien qu’il n’était plus vraiment concentré sur ses affaires, ni même mes paroles, mais bien sur mon corps.
Je décide alors d’essayer quel que chose pour le tenter encore davantage. Au moment où je pouvais mettre mon jean, je dis à haute voix que finalement, j’allais prendre mon temps, et aller à la douche comme à mon habitude. J’avais bien une idée en tête, je voulais qu’il me suive. Je lui fis donc remarquer tout en enlevant mon caleçon, qu’il dégoulinait de sueur et que s’il ne voulait pas salir ses vêtements de ville ou mourir de froid dans ses vêtements de sport, il devait se laver. J’étais prêt à insister en lui proposant mon gel douche et une serviette, mais ceci n’était pas nécessaire, il accepta de suite. Sa simple réponse « oui tu as raison, j’arrive », m’avais laissé imaginer et ce qui se révéla par la suite son extrême docilité.
Je me dirige alors vers les douches collectives, et non vers une cabine individuelle. A l’arrivée de Benoit aux douches, je remarquais son étonnement lorsqu’il me vit totalement nu face à lui, je lui sortit alors une connerie selon laquelle l’eau est plus chaude ici, il approuva et s’approcha. Benoit avait gardé son caleçon pour l’enlever une fois dans la cabine, toutefois le changement de plan lui imposa de se mettre nu devant moi. Je voyais bien qu’il hésitait, pour le sortir de ce bug mental, je lui recommande de l’enlever pour ne pas le mouiller. Mais ne m’écoutant pas, il reste bugé sur mon entre-jambe qui était cette fois en pleine érection. C’est lorsque je lui tendis le savon qu’il reprit ses esprits, passant outre l’excitation, enlevant son sous vêtement et révélant le reste de son corps. A partir de cet instant, je savais qu’il serait à moi, et que la partie était déjà gagnée.
Je continue à parler non pas du match, mais de moi cette fois, de mes heures de sport, mes cours pour les juniors. Tout en restant dans mon monologue, je me tourne face à lui pour l’observer, je le regarde se savonner, ses mains parcourant son corps si frêle. Il ne s’en rendit pas compte, mais je m’avançais jusqu’à ce que ma queue touche ses fesses imberbes. Il sursauta, mais n’essaya pas de se dégager, il resta là sans bouger. C’est moi qui coupais ce silence de plusieurs secondes, je posais une main sur sa fesse droite, tâtant la fermeté de son petit cul. Je ne pouvais calmer l’excitation que je ressentais. Je me penche vers son oreille et lui demande d’une voix grave s’il appréciait. Benoit ne fit aucun mot, mais un gémissement révéla son plaisir. Je le fis se tourner pour l’avoir en face de moi, il bandait également, néanmoins comme je m’en doutais, il n’est que faiblement équipé d’à peine 14 cm. A côté, ma queue de 19 cm semble monstrueuse.
Mon fantasme allait se réaliser pervertir un des jeunes. Comme vous pouvez, vous en doutez, j’adore qu’on me suce, et croyez-moi il n’y a pas de meilleures sensations qu’un minet à genoux qui regarde avec envie une queue.
Tourné face à moi, je remarque son regard gourmand dirigeait sur mon membre, je décide alors sans dire un mot de lui appuyer sur l’épaule, puis sur la tête, il comprit directement le message et se mit à genoux. Il allait prendre ma bite en bouche sans avoir besoin de le demander, toutefois, c’est si excitant de contrôler le plaisir des autres, que je préfère le laisser patienter, pour augmenter son désir, je commence à le tenter en le bifflant, son visage de préadolescent va si bien avec ma queue. Je le prive définitivement de son innocence en insérant ma bite dans sa bouche.
Je sens qu’il est inexpérimenté, c’est probablement sa première fois, je le guide alors sans trop le forcer. Je commence par le laisser faire, il en a envie et comment le priver de ce plaisir. J’étends alors mes bras pour les mettre derrière ma tête, je me sens roi avec le minet à mes pieds. Après quelques minutes à le laisser jouer, je décide d’intervenir, je place ma main derrière sa tête et commence à donner un réel rythme à la fellation. Il se laisse faire, mais a-t-il vraiment le choix à ce moment ; j’en doute. Il est totalement contrôlé par ses pulsions qui en redemandent j’accélère encore jusqu’à sentir monter l’excitation, je sors ma queue in extremis et j’éjacule en me branlant 4-5 jets sur son visage d’ange. Je le regarde là agenouillé par terre souriant, contant de sa première pipe. Je réinsère ma queue dans sa bouche et je coupe enfin ce silence d’extase en le félicitant pour sa performance.
- Moi "Tu peux être fier de toi, tu as un talent certain pour la fellation qui n’attend que de sortir"
Après m’avoir nettoyé la queue, je lui demande de se relever, il s’exécute, il n’a toujours rien dit, je le plaque contre le mur des douches, je saisis sa queue dure comme pas possible, je commence à la branler. Je veux qu’il jouisse. Il couine de plaisir, et ne peut finalement s’empêcher de jouir dans ma main. A ce moment, je décide de pousser le vice toujours plus loin, je lui tends ma main et lui dis de goûter, il ne résiste pas malgré la baisse d’excitation, et lèche délicatement ma main jusqu’à avoir tout avalé.
La soirée se termine, on finit de se laver et de s’habiller, au moment de se séparer pour rentrer chez soi on échange nos Instagram. Je lui dis à la semaine prochaine pour un autre cours de Badminton.
Louisorigine
louis.origine@gmail.com